Voilà. Tout commença sur le moteur de recherche Google. L'envie me prit de voir les critiques d'une série, je ne sais plus laquelle. Et que vis-je en tête de la multitude de trouvailles que me montrait fièrement le sympathique Google, claironnant qu'il avait trouvé tout ça en moins d'une seconde ?
Un nom en grec changit de couleur sous l'ordre du curseur : Krinein. Explosée de rire j'étais devant la lecture de la critique, qui décrivait avec sarcasmes et ironie un pur navet.
Aussitôt, je passai en mode efficacité absolue. Grâce à mon incroyable talent d'archéologue, je cherchai tous les navets critiqués de Krinein, afin de recevoir ma dose quotidienne de gloussements. Les critiques qui me plaisaient particulièrement, je n'hésitai point à les mettre dans ma liste de favoris, histoire de les relire en cas de blues. Dès que je voyais ce smiley :
![what ? :bah:](./images/smilies/baaah.gif)
Donc, je commencerai pas remercier les rédacteurs de Krinein, même si l'humour n'est pas le but de ce site ^^ Sans eux, je me serais bien des fois ennuyée sur le Net.
Et puis... l'appétit vient en mangeant. J'avais souvent envie d'y aller de mon commentaire lorsqu'il s'agissait de films ou de livres que j'avais vus et je rageais lorsque, cliquant avec espoir sur le bouton "répondre", me disant qu'un miracle se produirait, que les invités pouvaient sûrement parler, je me confrontais à un refus. Dieu n'existait pas, il ne voulait même pas que je m'exprime sur Krinein. "Après tout, tu peux t'inscrire, n'est-ce pas ?" songeais-je à maintes fois. Mais je n'osais pas parce que je suis assez jeune, voire même très jeune, peut-être trop, vous avouerais-je que... non, je ne vous avouerais pas. Ne vous fiez pas à ma façon d'écrire : c'est uniquement parce que je lis trop. Et puis voilà, je craquai et je m'inscrivis, plaise à Dieu.
Navrée si cette introduction est longuette. Je vais abréger. Je suis belge, j'adore la lecture, j'aime bien le cinéma, voilà c'est super, au revoir ^^