Selon Allen Carr, la dépendance chimique est facile à supporter, il en veut pour preuve que le fumeur, même invétéré, ne se réveille pas pour fumer la nuit et reste ainsi parfois plus de 10 heures sans en griller une

Pour cet ancien expert-comptable, la source de la dépendance est liée avant tout au lavage de cerveau qui nous a amenés à fumer : on fait comme les autres, dès l'adolescence même si nous n'y trouvons aucun plaisir. Au fur et à mesure de l'emprise plus forte de la nicotine ce lavage de cerveau s'intensifie
Si bien qu'alors même que nous sommes conscients des inconvénients du tabagisme, nous continuons de plus belle, persuadés que fumer est source de plaisir de concentration et de détente. Résultat : le fumeur a peur d'arrêter, anticipant les sacrifices liés au manque
Se focalisant uniquement sur la dépendance psy, la méthode Allen Carr n'est donc pas adepte des substituts nicotiniques et encore moins de l'arrêt progressif qui d'après lui, entretiennent ce conditionnement négatif.