Le cercle des poétes pas disparus!
Le cercle des poétes pas disparus!
Au fond dun trou
infini, exigu
le ciel séloigne
vite
maintenir sa nuque
pour en garder
un dernier souvenir
entraîne
davantage de souffrance
que despoir
quand le plafond
sombre, terreux
plonge à jamais
dans lobscurité
dense , omniprésente
envahi par un souffle glacé
dont les cristaux invisibles
piquent la chair
la douleur de la peau
tirée par les angles osseux
disparaît
plus rien nexiste
surtout pas les étoiles
infini, exigu
le ciel séloigne
vite
maintenir sa nuque
pour en garder
un dernier souvenir
entraîne
davantage de souffrance
que despoir
quand le plafond
sombre, terreux
plonge à jamais
dans lobscurité
dense , omniprésente
envahi par un souffle glacé
dont les cristaux invisibles
piquent la chair
la douleur de la peau
tirée par les angles osseux
disparaît
plus rien nexiste
surtout pas les étoiles
Le cercle des poétes pas disparus!
lengouement disparu
pour ce baigneur joufflu
un il qui pend
le bavoir taché
peluche rongée aux mythes
incrustée de poussière
dégage une odeur acre
autrefois familière
étrange poupée
les mèches hirsutes
déculottée
un air lubrique
sourire béat
le regard mort
les jouets usés
les vieux bébés
devenus disgracieux
et maladroits
reposent dans de vieilles boites
traits, si souvent observés
mots répétés
rabâchés comme des prières
perdent leur sens et leur effet
peaux marquées
et chaires boursouflées
prennent place
à leur tour
dans dautres emballages
les rêves passés
émotions oxydées
au delà de loubli
tombent dans linexistence
leur souvenir paraît
lorsque vient à manquer
un espoir , un ami, une robe de poupée
et linstant qui suit
à nouveau le dédain
feindre lignorance
prétendre ne pas connaître
lauteur de cette usure
invoquant la laideur
des gens usés
poupées datées
ensevelis par
lindifférence
pour ce baigneur joufflu
un il qui pend
le bavoir taché
peluche rongée aux mythes
incrustée de poussière
dégage une odeur acre
autrefois familière
étrange poupée
les mèches hirsutes
déculottée
un air lubrique
sourire béat
le regard mort
les jouets usés
les vieux bébés
devenus disgracieux
et maladroits
reposent dans de vieilles boites
traits, si souvent observés
mots répétés
rabâchés comme des prières
perdent leur sens et leur effet
peaux marquées
et chaires boursouflées
prennent place
à leur tour
dans dautres emballages
les rêves passés
émotions oxydées
au delà de loubli
tombent dans linexistence
leur souvenir paraît
lorsque vient à manquer
un espoir , un ami, une robe de poupée
et linstant qui suit
à nouveau le dédain
feindre lignorance
prétendre ne pas connaître
lauteur de cette usure
invoquant la laideur
des gens usés
poupées datées
ensevelis par
lindifférence
Le cercle des poétes pas disparus!
J´ai joué dans l´abime froid,
des relais téléphoniques,
des fumées des cheminées,
et des toits blancs,
tout en haut,
là où le vent d´un souffle pouvait me reduire,
à ces memes flocons tombants,
en une poussière d´étoile futile,
ni plus lourde ni plus légère,
tandis que mon esprit,
libre,
s´envolait à jamais.
douce fut la chute.
des relais téléphoniques,
des fumées des cheminées,
et des toits blancs,
tout en haut,
là où le vent d´un souffle pouvait me reduire,
à ces memes flocons tombants,
en une poussière d´étoile futile,
ni plus lourde ni plus légère,
tandis que mon esprit,
libre,
s´envolait à jamais.
douce fut la chute.
- Juliendelacolline
- Messages : 0
- Inscription : 07 novembre 2004, 18:03
Le cercle des poétes pas disparus!
Un verre à l'envers
Un guéridon et puis un verre
sur un tableau qui tient a l'envers.
Les rayons se pressent aux rideaux
pour voir le verre à l'envers,
ce verre remplit d'eau
Et le verre sur le dévers
tombe et chute tout a l'envers
chute et se vide de son eau
tombe et se casse parterre,
les rayons diamantent ses morceaux
Un guéridon et plus de verre
sur un tableau qui tient a lenvers
les rayons s'en vont tout la haut
des morceaux brillent parterre,
parterre en dessous du tableau
Un guéridon et puis un verre
sur un tableau qui tient a l'envers.
Les rayons se pressent aux rideaux
pour voir le verre à l'envers,
ce verre remplit d'eau
Et le verre sur le dévers
tombe et chute tout a l'envers
chute et se vide de son eau
tombe et se casse parterre,
les rayons diamantent ses morceaux
Un guéridon et plus de verre
sur un tableau qui tient a lenvers
les rayons s'en vont tout la haut
des morceaux brillent parterre,
parterre en dessous du tableau
Le cercle des poétes pas disparus!
sensation naissant dans la poitrine
puis dans le ventre
puis dans la gorge
douleur sourde éclipsant le reste
tous les organes semblent disparaître
quand survient la nausée
gavé de paroles inutiles
masquant lennui
pas la bêtise
mélange de colère et de tristesse
dégoût profond
de lignorance crasse et insolente
de la suffisance menant sans détour
à la cruauté
répulsion au delà des mots
fureur contenue
par une barrière invisible
de mépris impuissant
ravalée
comme une remontée dacide
nausée du matin
face au jour qui recommence
écurement du midi
entrailles nouées
refusant la perspective
de la moindre bouchée
vouloir se libérer
par une flaque fumante
en vain
lorsque la nuit se fait
résigné et exsangue
subir sans fin
ce que lon nomme
des hauts le cur
puis dans le ventre
puis dans la gorge
douleur sourde éclipsant le reste
tous les organes semblent disparaître
quand survient la nausée
gavé de paroles inutiles
masquant lennui
pas la bêtise
mélange de colère et de tristesse
dégoût profond
de lignorance crasse et insolente
de la suffisance menant sans détour
à la cruauté
répulsion au delà des mots
fureur contenue
par une barrière invisible
de mépris impuissant
ravalée
comme une remontée dacide
nausée du matin
face au jour qui recommence
écurement du midi
entrailles nouées
refusant la perspective
de la moindre bouchée
vouloir se libérer
par une flaque fumante
en vain
lorsque la nuit se fait
résigné et exsangue
subir sans fin
ce que lon nomme
des hauts le cur
Le cercle des poétes pas disparus!
Quelle amertume Grrr !
Peut être pouvons nous collaborer à un ptit poème imagé tous ensemble ?
Les chaudes mesures de la chanson,
ne peuvent suffire,
à réchauffer mon coeur,
tandis que mes mains gelées,
sans cesse cherchent,
au fond de mes poches,
la clé d'une inespérée
félicité.
Peut être pouvons nous collaborer à un ptit poème imagé tous ensemble ?
Les chaudes mesures de la chanson,
ne peuvent suffire,
à réchauffer mon coeur,
tandis que mes mains gelées,
sans cesse cherchent,
au fond de mes poches,
la clé d'une inespérée
félicité.
Le cercle des poétes pas disparus!
dans une seconde,
il sera là.
dans cet espace-temps, la peur
terrible,
qui prend aux tripes,
moment volé,
à la mort,
moment rêvé ?
non,
il est là.
il sera là.
dans cet espace-temps, la peur
terrible,
qui prend aux tripes,
moment volé,
à la mort,
moment rêvé ?
non,
il est là.
Le cercle des poétes pas disparus!
laideur d hématomes violacés
du corps traître
il se cabre et convulse
sous les assauts de la douleur
loin des plages idylliques
des brises douces et fleuries
laideur du ventre atrophié
de nous avoir abrité
sans amour et sans joie
déçu et revanchard
laideur de la solitude
du désarroi
désemparé
désormais reponsable
du destin qui l'a engendré
laideur des enfants sages
aux boyaux constellés de trous
étouffés par la bille ravalée
tristesse contenue
polie, vernie à souhait
laideur des mensonges empilés
formant des tours de manigances
singeries se rêvant ténébreuses
nageant dans le grotesque
ridicule et fier
laideur de mains autrefois tendues
aux tricheurs démasqués
imbéciles et lâches
réfugiés dan le silence
écho plat de leur semblant dâme
laideur du cynisme nauséabond
des ventres repus
plaintifs
mélancoliques complaisants
vite résignés
pour le sort dautrui
laideur des curs lyophilisés
nourris de chair fraîche
de candeur
de visages enfantins
docilité promise
remède à limpuissance
tarissant avec déléctation
la source du sourire
dont ils miment le rictus
sans connaître l'émotion
laideur des sangsues
semant avec mépris
des carcasses vides
à leur image
sur leur chemin morbide
laideur de la nature humaine
paresseuse et satisfaite
parasite égocentrique
qui gigote puis se vautre
blasée et avide
de nouvelles proies
laideur de ce fantôme
aperçu dans un reflet
notre silhouette et nos traits
des jardins secrets dévastés
faute de soins
et de murets de pierres
confiance quil ne faudrait jamais offrir
excès de naïveté déplacé
exploitée
dans un moment à découvert
laideur du thorax creux
où la musique ne raisonne plus
enveloppe rigide
imperméable aux vibrations
laideur de lenvie quon a pas
des cupides et des rats
pour qui les choses ont un sens
laideur des images évaporées
avant mm davoir pu être rêvées
des souvenirs ternis
des poissons bigarrés
désormais gris et flous
laideur des saveurs disparues
des parfums, des bouquets de textures
ce que lon croyait palpable et délicieux
dont il ne reste rien
laideur infinie
des larmes sans sel
sans sanglots
sans passion
haïr les cercueils , les tombeaux, les mausolées
hypocrites
préférer les poignées de cendre
légères et définitivement libres.
du corps traître
il se cabre et convulse
sous les assauts de la douleur
loin des plages idylliques
des brises douces et fleuries
laideur du ventre atrophié
de nous avoir abrité
sans amour et sans joie
déçu et revanchard
laideur de la solitude
du désarroi
désemparé
désormais reponsable
du destin qui l'a engendré
laideur des enfants sages
aux boyaux constellés de trous
étouffés par la bille ravalée
tristesse contenue
polie, vernie à souhait
laideur des mensonges empilés
formant des tours de manigances
singeries se rêvant ténébreuses
nageant dans le grotesque
ridicule et fier
laideur de mains autrefois tendues
aux tricheurs démasqués
imbéciles et lâches
réfugiés dan le silence
écho plat de leur semblant dâme
laideur du cynisme nauséabond
des ventres repus
plaintifs
mélancoliques complaisants
vite résignés
pour le sort dautrui
laideur des curs lyophilisés
nourris de chair fraîche
de candeur
de visages enfantins
docilité promise
remède à limpuissance
tarissant avec déléctation
la source du sourire
dont ils miment le rictus
sans connaître l'émotion
laideur des sangsues
semant avec mépris
des carcasses vides
à leur image
sur leur chemin morbide
laideur de la nature humaine
paresseuse et satisfaite
parasite égocentrique
qui gigote puis se vautre
blasée et avide
de nouvelles proies
laideur de ce fantôme
aperçu dans un reflet
notre silhouette et nos traits
des jardins secrets dévastés
faute de soins
et de murets de pierres
confiance quil ne faudrait jamais offrir
excès de naïveté déplacé
exploitée
dans un moment à découvert
laideur du thorax creux
où la musique ne raisonne plus
enveloppe rigide
imperméable aux vibrations
laideur de lenvie quon a pas
des cupides et des rats
pour qui les choses ont un sens
laideur des images évaporées
avant mm davoir pu être rêvées
des souvenirs ternis
des poissons bigarrés
désormais gris et flous
laideur des saveurs disparues
des parfums, des bouquets de textures
ce que lon croyait palpable et délicieux
dont il ne reste rien
laideur infinie
des larmes sans sel
sans sanglots
sans passion
haïr les cercueils , les tombeaux, les mausolées
hypocrites
préférer les poignées de cendre
légères et définitivement libres.
Le cercle des poétes pas disparus!
J´ai mangé de la compassion,
morceau dur de viande amère,
sèche, pourrie, plaine de larmes.
J´ai révé que la mort,
là haut nous emportait,
mais qu´il ne fallait pas etre triste,
de ne pas lui avoir fait confiance,
de s´etre laissés surprendre,
car elle, elle sait nous comprendre.
Ohhh Grrr ton amertume me rend triste.
morceau dur de viande amère,
sèche, pourrie, plaine de larmes.
J´ai révé que la mort,
là haut nous emportait,
mais qu´il ne fallait pas etre triste,
de ne pas lui avoir fait confiance,
de s´etre laissés surprendre,
car elle, elle sait nous comprendre.
Ohhh Grrr ton amertume me rend triste.
Le cercle des poétes pas disparus!
Quelle drôle d'époque on vit,
Ne plus réfléchir, fuir,
Se rendre étranger à soi-même,
Musique dans les oreilles,
Entendre parler sans cesse,
Sans même faire attention à soi,
Aux raisons qui font que notre coeur bat.
J'ai rêvé à un silence d'or,
un silence jusque dehors,
Qui me mettait face à moi-même,
Me laissant penser,
Que seul l'ennui permet de créér,
De se dépasser.
Ne plus réfléchir, fuir,
Se rendre étranger à soi-même,
Musique dans les oreilles,
Entendre parler sans cesse,
Sans même faire attention à soi,
Aux raisons qui font que notre coeur bat.
J'ai rêvé à un silence d'or,
un silence jusque dehors,
Qui me mettait face à moi-même,
Me laissant penser,
Que seul l'ennui permet de créér,
De se dépasser.
Le cercle des poétes pas disparus!
l'ennui est une récréation, une rêverie
un intermède à la souffrance
c'est cette douleur ce dégout
qui pousse certains à écrire
naifs croyant s'en libérer
jusqu'à la découverte
que ce n'est qu'un puit sans fond
que les mots sont vains
le soulagment éphémère
et que chaque matin tou recommence
inlassablement
et qu'on est supposé s'en réjouir
un intermède à la souffrance
c'est cette douleur ce dégout
qui pousse certains à écrire
naifs croyant s'en libérer
jusqu'à la découverte
que ce n'est qu'un puit sans fond
que les mots sont vains
le soulagment éphémère
et que chaque matin tou recommence
inlassablement
et qu'on est supposé s'en réjouir
Le cercle des poétes pas disparus!
La bulle vaine de la tristesse,
Empêche,
De remonter à la surface,
De nager à nouveau,
De lutter en somme.
S'abandonner dans les bras,
De cette mort lente
En suicide,
Est pire qu'abdiquer.
Non seulement tout recommence,
Mais en plus,
En le voulant,
Rien n'empêche de nager,
De reprendre pied,
Sur cette vague,
Au roulis jamais rassasié.
Empêche,
De remonter à la surface,
De nager à nouveau,
De lutter en somme.
S'abandonner dans les bras,
De cette mort lente
En suicide,
Est pire qu'abdiquer.
Non seulement tout recommence,
Mais en plus,
En le voulant,
Rien n'empêche de nager,
De reprendre pied,
Sur cette vague,
Au roulis jamais rassasié.
Le cercle des poétes pas disparus!
Dawa, ton poème pourrait être une bonne intro pour un bouquin SM. Quelle part de vécu y a-t-il ?
Mordant,
Comme le froid de nos âmes,
Qui se meurent,
D'attendre ce que personne,
Ne peut définir.
Bonheur, Liberté,
Des mots tellements vains,
Seulement la conscience d'un but
Qui,
Une fois atteind,
Ne sert plus à rien.
Mordant,
Comme le froid de nos âmes,
Qui se meurent,
D'attendre ce que personne,
Ne peut définir.
Bonheur, Liberté,
Des mots tellements vains,
Seulement la conscience d'un but
Qui,
Une fois atteind,
Ne sert plus à rien.
Le cercle des poétes pas disparus!
dawa a écrit :Dawa, loin d'être une poète. :P
Tu rigoles ou quoi?
C'était trés joli ton poéme!
Le cercle des poétes pas disparus!
Réflechir sans cesse à ce qui doit etre écrit, et à ce qui doit rester en nous meme, pour toujours, au risque d´étouffer, mais au risque aussi de réaliser, que les différences ne rapprochent pas les gens.
Au contraire,
1 et 1 ne peuvent faire 3
l´exponentialité des talents,
est vaine et reste 2,
si Quelqu´un veut la différence,
C´est pour voir s´animer
Les fourmis inutiles,
Que sont les hommes.
Réaliser au final,
Qu´il vaut mieux se taire,
Que de chercher à exister,
De manière si virtuelle.
La victoire,
est de rendre passager,
ce qui touche et blesse,
S´en renforcer l´esprit,
Et savoir que toujours,
Des alter egos errent,
Et comme nous,
Cherchent et ne trouvent pas,
Une terre qui leur va.
Pourrons-nous nous aimer tous un jour ?
Au contraire,
1 et 1 ne peuvent faire 3
l´exponentialité des talents,
est vaine et reste 2,
si Quelqu´un veut la différence,
C´est pour voir s´animer
Les fourmis inutiles,
Que sont les hommes.
Réaliser au final,
Qu´il vaut mieux se taire,
Que de chercher à exister,
De manière si virtuelle.
La victoire,
est de rendre passager,
ce qui touche et blesse,
S´en renforcer l´esprit,
Et savoir que toujours,
Des alter egos errent,
Et comme nous,
Cherchent et ne trouvent pas,
Une terre qui leur va.
Pourrons-nous nous aimer tous un jour ?
Le cercle des poétes pas disparus!
Le souffle du vent aride,
Transportant des rêves enfuis,
Est le seul bruit dans ce monde
Perdu ...
Ici,
est un monde vaincu pour ceux
Qui,
Gelés,
Ont cru que rêver
pourrait les réchauffer.
Des être ont ainsi choisi de s'enfuir,
Dans des chimères cernées d'images,
Trouvant l'âcre chaleur des dunes,
Mais ne pouvant en déchiffrer les runes.
Transportant des rêves enfuis,
Est le seul bruit dans ce monde
Perdu ...
Ici,
est un monde vaincu pour ceux
Qui,
Gelés,
Ont cru que rêver
pourrait les réchauffer.
Des être ont ainsi choisi de s'enfuir,
Dans des chimères cernées d'images,
Trouvant l'âcre chaleur des dunes,
Mais ne pouvant en déchiffrer les runes.
Le cercle des poétes pas disparus!
Le larsen,
Enfle, grandit sans cesse,
Dans ma tête,
Comment est-ce possible ?
Un mal si audible ?
Décibels, bel et bien indécis,
De retour, cette si belle ritournelle,
Sans fin, le refrain repris sans frein,
Le larsen,
Assène,
Un couplet
Sans fin.
Enfle, grandit sans cesse,
Dans ma tête,
Comment est-ce possible ?
Un mal si audible ?
Décibels, bel et bien indécis,
De retour, cette si belle ritournelle,
Sans fin, le refrain repris sans frein,
Le larsen,
Assène,
Un couplet
Sans fin.
Le cercle des poétes pas disparus!
D'une fatigue telle,
Que les membres oubliés,
Ne sont que les restes inutiles,
D'une espèce transformée,
De manière délibérée,
En mollusque décérébré.
Le pur esprit est issu,
D'un néant vraiment bienvenu.
Que les membres oubliés,
Ne sont que les restes inutiles,
D'une espèce transformée,
De manière délibérée,
En mollusque décérébré.
Le pur esprit est issu,
D'un néant vraiment bienvenu.
Le cercle des poétes pas disparus!
Une lune pleine
Blanche, ronde, et qui,
Comme une marée,
Nous attire à elle,
Vers son mystère entier,
Si proche et si lointain.
Sans sommeil et sous influence,
Porté par le moelleux des draps,
Rivé sur le fil de la frontière
Entre reve et réalité,
Dans un monde insoupconné,
Difficile à cotoyer,
Qui laisse entrevoir la lune,
et l´origine de toute pensée.
Dieu, qu´il est bon de rever
Blanche, ronde, et qui,
Comme une marée,
Nous attire à elle,
Vers son mystère entier,
Si proche et si lointain.
Sans sommeil et sous influence,
Porté par le moelleux des draps,
Rivé sur le fil de la frontière
Entre reve et réalité,
Dans un monde insoupconné,
Difficile à cotoyer,
Qui laisse entrevoir la lune,
et l´origine de toute pensée.
Dieu, qu´il est bon de rever
Le cercle des poétes pas disparus!
La quête
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.
Jacques Brel
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.
Jacques Brel
Le cercle des poétes pas disparus!
Malgré les blessures, la douleur et le temps
Pourquoi est-ce que je l'aime toujours autant
J'ai essayé de l'oublier, de lui en vouloir
Autant essayer de pas se voir dans un miroir
Filles faciles, alcool et endemol
Recette extra pour le nirvana
Filles faciles, alcool et endemol
Et pourtant je ne t'oublie pas
Te revoir, pourquoi?
T'embrasser, pourquoi pas?
Moi je veux juste être dans tes bras
Mais toi, tu ne sais pas...
Filles faciles, alcool et potassium
Recette extrême pour un long voyage
Filles faciles, alccol et potassium
En plein desespoir je nage...
Pourquoi est-ce que je l'aime toujours autant
J'ai essayé de l'oublier, de lui en vouloir
Autant essayer de pas se voir dans un miroir
Filles faciles, alcool et endemol
Recette extra pour le nirvana
Filles faciles, alcool et endemol
Et pourtant je ne t'oublie pas
Te revoir, pourquoi?
T'embrasser, pourquoi pas?
Moi je veux juste être dans tes bras
Mais toi, tu ne sais pas...
Filles faciles, alcool et potassium
Recette extrême pour un long voyage
Filles faciles, alccol et potassium
En plein desespoir je nage...
Le cercle des poétes pas disparus!
ninjardin a écrit :Malgré les blessures, la douleur et le temps
Pourquoi est-ce que je l'aime toujours autant
J'ai essayé de l'oublier, de lui en vouloir
Autant essayer de pas se voir dans un miroir
Filles faciles, alcool et endemol
Recette extra pour le nirvana
Filles faciles, alcool et endemol
Et pourtant je ne t'oublie pas
Te revoir, pourquoi?
T'embrasser, pourquoi pas?
Moi je veux juste être dans tes bras
Mais toi, tu ne sais pas...
Filles faciles, alcool et potassium
Recette extrême pour un long voyage
Filles faciles, alccol et potassium
En plein desespoir je nage...
Eeeeehhhhh VOLEUR - Celle-là tu l'as piquée à James Volyan
"ENDEMOL Blues"
Le cercle des poétes pas disparus!
Tel le caméléon,
Un oeil à droite,
L´autre pointé vers le ciel,
On m´a dit de rever,
Un monde virtuel,
Où il faudrait appeler Dieu
´Le Grand Programmeur´.
Alors,
Les yeux en vrille,
J´ai apercu les lignes, les codes,
En des collines d´éther pur,
Les définitions enfuies de notre cognition
Qui,
Pour etre dépassée,
Doit etre purement revée.
Alors, on sort du programme ?
Un oeil à droite,
L´autre pointé vers le ciel,
On m´a dit de rever,
Un monde virtuel,
Où il faudrait appeler Dieu
´Le Grand Programmeur´.
Alors,
Les yeux en vrille,
J´ai apercu les lignes, les codes,
En des collines d´éther pur,
Les définitions enfuies de notre cognition
Qui,
Pour etre dépassée,
Doit etre purement revée.
Alors, on sort du programme ?
Le cercle des poétes pas disparus!
ninjardin a écrit :Malgré les blessures, la douleur et le temps
Pourquoi est-ce que je l'aime toujours autant
J'ai essayé de l'oublier, de lui en vouloir
Autant essayer de pas se voir dans un miroir
Filles faciles, alcool et endemol
Recette extra pour le nirvana
Filles faciles, alcool et endemol
Et pourtant je ne t'oublie pas
Te revoir, pourquoi?
T'embrasser, pourquoi pas?
Moi je veux juste être dans tes bras
Mais toi, tu ne sais pas...
Filles faciles, alcool et potassium
Recette extrême pour un long voyage
Filles faciles, alccol et potassium
En plein desespoir je nage...
Bah mon nin t'as l'air tout chbof?!?
Tu nous fait une petite déprime???
Le cercle des poétes pas disparus!
CIRSE a écrit : Eeeeehhhhh VOLEUR - Celle-là tu l'as piquée à James Volyan
"ENDEMOL Blues"
c'est qui lui?
et à baby, oui un petit peu mais ça va allez
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