
Introduction à la psychanalyse
Introduction à la psychanalyse
Rrrroo Harrokaï c'est terrible je peux pas répondre tout de suite comme je voudrais , mais je sens qu'on va encore passer un bon moment toi et moi, alors je te dis a + tard 

Introduction à la psychanalyse
Harookaï je t'avais oublié , je suis impardonnable on va réparer ça, je n'ai pas eu le temps de faire de recherche donc je te réponds maintenant mais je complèterais plus tard si nécessaire.
Le propre des psychanalystes est qu'ils ont eux-mm subis une analyse, et font régulièrement des vistes de contrôles -non pas chez speedy
- (les psychiatres eux n'ont jamais consulté en théorie^^), c'est obligatoire, donc forcément y'a des chances qu'à un moment de leur vie , ils n'aient pas été au mieux ....évidemment qu'ils ont leur comptes de cinglés comme toutes les professions, y compris les psychiatres (qui ne subissent aucun controlent une fois sortis de l'école de médecine sauf énorme bourde). C'est vrai certains déraillent gravement , mais les psychiatres aussi , j'en connais qui sont eux-mm dépressifs
et traitent leurs patients (avec médocs) , depuis 25 ans ,sans que personne ne s'étonne qu'aucun n'ait jamais guéri!!!
Je me garderait d'évoquer , par ailleurs les liens entre l'industrie pharmaceutique et certains psy -chercheurs pas toujours très scrupuleux....(ben zut je l'ai dit)
En résumé je ne pense pas qu'un type de thérapie doit prévaloir sur l'autre ça dépend de ce qu'on recherche et de toutes autres sortes de critères.
Quant aux séparations amoureuses , familiales ou autres elles en sont pas dues à cela mais plus certainement à des problèmes sou-jacents et mis à jour par ce travail. C'est normal à un moment d'en vouloir à ses parents ou je sais pas trop quoi , c'est pas pour autant définitif , une juste mesure est à trouver une distance raisonnable à instaurer.
Pour le suicide c'est qlqchose de très délicat et rien ne prouve que les psychnalystes en enregistrent plus que les psychiatres, effectivement parmi les premiers il peut exister des crétins accrochés à leur dogme et refusant toute aide alternative.....mais mieux vaut changer dans ces cas là, parce que ce ne sont pas de bons professionnels, qu'ils ont probablement perdu de vue qu'ils intervenaient sur un être vivant et pas sur une petite lumière sans enveloppe charnelle (non je parle pas de Cirse
)....
D'ordinaire je suis assez critique(c'est le moins qu'on puisse dire) vis à vis de tout ça , mais j'ai trouvé ton post était vraiment caricatural et maladroit , mm si je respecte totalement ton point de vue
Je souhaiterais également parler ,plus tard, de l'hystérie féminine (spécial dédicace à Yann Moix
LOOOOOOOOOOOOL) et des traitements médiacamenteux chez les petiots (ces êtres qui pleurent ris trop forts se roulent par terre font pas leur devoir .....et mm que c'est normal!!)en attendant je mets un lien :
http://www.lexpress.fr/info/sciences/dossier/ritaline/dossier.asp?ida=418814
fin là y'a de la lecture je pense
En fait, ce qu'est la psychanalyse diverge selon les gens... c'est tout et n'importe quoi. Et ça explique le nombre de chapelles, par ailleurs... Le jour où on se rendra compte que la psychanalyse a une valeur nulle d'un point de vue thérapeutique, nulle doute que la psychanalyse deviendra, selon de nouvelles chapelles, une philosophie, une manière de faire la cuisine, une religion, une aide efficace au suicide assisté, etc.
Quand on sait sur quelles bases sont forgées ces concepts (généralisation d'un cas particulier comme le concept du complexe d'dipe).
Aucune véritable expérience n'a essayé de valider les thèses proposées par Freud, Lacan, etc ...
C'est donc facile de se reposer sur des acquis, un peu comme l'astrologie, la scientologie, etc ...
la psychanalyse n'est pas n'importe quoi , il s'agit , comme d'autres l'ont déjà souligné d'une théorie développée par Sigmund (j'ai eu un chat qui s'appelait ainsi autrefois...), F., médecin -psychiatre de son état. Il est tout a fait logqieu , comme le dit Schiste que son oeuvre figure aussi dans les cours de philo , puisque comme d'autres auteurs de cette matière il s'est inspiré des mythes grecs (Oedipe en est l'exmple le plus connu) pour formuler ses théories.
Quant à sa valeur thérapeuthique, je ne suis pas d'accord , Freud a été un des premiers à s'intéresser à ce qu'on appelait "l'hystérie féminine"( en gros toutes les femmes un peu hors normes de l'époque , (et pas seulement regardez Family life de Ken loach , j'en ai déjà parlé mais c'est éloquent) et à permettre de résoudre leur malaise. Il est important de mentionner que ces genres de "désordres" étaient soignés à coup d'électrochcocs avant , pas une promenade de santé donc^^
Ensuite si , du fait du type de traitement que constitue l'analyse , et plus généralement du gout pour le secret qu'entretiennent ces praticiens , il n'existe pas de statistiques sur leurs "résultats", ça ne signifie en aucun cas qu'ils n'existent pas ou soient nuls, nombre de personnes connues en témoignent régulièrement (ex, entre autres Françoise Giroud), et dans ton entourage si tu cherches un peu tu trouveras probablement qlqn pour en témoigner.
c'est vrai que le milieu des psys et autres "thérapeutes" est plus qu'opaque et brouillon et a ainsi donné lieu à pas mal de dérives , d'où une volonté du législateur de clarifier tout ça (j'ignore où ça en est), mais il existe des institutions qui surveillent leurs membres et permettent d'offrir une relative garantie aux patients (enfin s'agit de pas de consulter le premier venu trouvé dans l'annuaire ....)
Il existe effectivement plusieurs mouvements (lacaniens , freudiens pplmt ) , mais la scientologie , l'astrologie et autres bouffoneries ne sont pas des dérivés de la psychanalyse
Pendant ce temps là, aux Etats-Unis, où on pense que l'expérience a un intérêt pour faire progresser la science (et où la psychanalyse concerne 2% des études publiées en psy au sens large) :par exemple on se demande de plus en plus si la dépression, lorsqu'elle est répétée sur une longue période, n'est pas à être classée dans ce qu'on appelle les troubles bipolaires (concernerait 60 % des cas de dépressions !)... Or se basant sur des études sur des jumeaux et sur des études familiales, il est aquis théoriquement que l'origine des troubles bipolaires est génétique (mais on n'a pas encore trouvé le ou les gènes... même si des hypothèses se confirment). Cette prédisposition génétique serait la cause d'un dysfonctionnement dans le cerveau, capture de la sérotonine, notamment.
Tout ceci explique pourquoi les antidépresseurs marchent (les AD ont été découverts par hasard à la fin des années 40) et oriente la recherche vers des AD plus efficaces, plus ciblés et aux effets secondaires moins importants. Quant aux thérapies aux Etat-unis, elles bannissent pour la plupart la psychanalyse et font appel à la psychologie comportementale ou cognitive... Et pourquoi est-ce qu'aucune recherche psy importante n'a eu lieu en France ? Pourquoi est-ce que la France a 50 ans de retard tant dans la recherche que dans la pratique ? Demandez à Lacan et ses sbires... Essayez de chercher un psychiatre sur Paris qui ne soit pas lacanien ! Vous allez en essayer beaucoup avant de tomber sur un type sérieux qui va pas vous embarquer pour 10 ans de psychothérapie sans jamais vous dire de quoi vous souffrez (il paraît que nommer retarde la guérison...).
AAAAhhh ma vieille marotte , le tout génétique (zen Grrr , tout va bien ,aaooommmm
)
bien , les USA ont en grande partie renoncé à la psychanalyse (au contraire de la France et de l'Amérique du Sud), au profit du tout génétique : vous êtes dépressifs ,alcooliques , homos(!), grincheux? vous avez ratée votre vie? c'est génétique vous inquitez pas ma bonne dame on va arranger tout ça avec une pilulle (les mm que celles de Déde), et si y'en a pas encore , c'est qu'elle est en développement, suffit d'être patient....
qui de l'oeuf ou du cul De la poule était là en premier,: est-ce qu'on est génétiquement programmé pour ça ou est-ce qu'être élevé par des parents dépressifs (eux-mm élevés par de parents pas au top) ça joue pas un peu
???
N'importe quel psychiatre honnête reconnaitra que tout traitement ne peut qu'être temporaire mis à part pour les maniaco-dépressifs et autres maladies graves), et qu'il doit forcément être couplé d'une "thérapie" mm très courte. Et , normalement , les psychanalystes compétents savent conseiller (ou prescrire s'ils sont également psychiatres) à leurs patients de prendre un triatement temporaire en cas de moment trop difficile , quitte à faire une pause avec le reste.
Quant aux thérapies cognitives , pourquoi pas , mais leurs résultats statistiques sont parfois trompeurs, il faut d'abord prendre en compte les nombreux cas où le patient conserve un traitement médicamenteux, et surtout les "déplacements de symptôme": vous consultez parce que vous êtes agoraphobes , on vous traite , vous ne l'êtes plus , mais 6 mois plus tard vous développez une nouvelle phobie , avec un autre objet , mais la mm angoisse !
c'est pas sytématique , mais ça arrive qd mm très souvent, tout simplement parce que par souci d'efficacité , de rapidité , ou de pas trop "chambouler les choses", on s'intéresse au symptôme pas à la cause plus profonde et parfois plus "dérangeante".
Quant au fait de ne pas nommer le trouble , ben c'est peut-être tout simplement parce que au début c'et pas forcément évident de l'identifier, c'est pas comme une fracture du bras , c'est pas aussi net , les psy disent souvent que eux ne savent pas c'est le patient qui inconsciement les guide vers le problm, ce ne sont pas des médiums"!
Et puis imagine: "Vous êtes dépressif , c'est parce que votre papa a dit ça ou que votre maman à pas fait ça ou que vous avez vécu tel évènement traumatisant, voilà , maintenant faut arrêter de se mettre la rate au court-bouillon comme ça mon grand!!" Honnêtement ça marche pas comme ça , si je te dis que ton poignet est cassé que c'est normal que ça fasse mal mais que bon ben voilà faut arrêter de crier......le temps passé chez le psy ben c'est comme un plâtre , ça permet entre autres de s'approprier tout ça, et de régler le problm , par soit-mm
Mais quand vous êtes malade, vous ne vous posez pas ces questions, vous êtes complètement perdu, vous avez besoin d'aide... et puis, la psychanalyse a une extraordinaire réputation chez nous. Alors voilà, des dépressifs vont se retrouver chez le psy à chercher des causes dans des traumatismes de la petite enfance, refoulés par la mémoire... et je peux vous garantir que l'homme a une grand pouvoir à s'inventer des traumatismes... Je vous épargne les suicides, les ruptures familiales, les ruptures sentimentales dues à la psychanalyse. Un chiffre ? Il n'y en a pas.. j'en ai un cependant : sur les 200 premiers psychanalystes ayant exercé au début du siècle, 25 se sont suicidés. Le pourcentage de suicidés en France est de 25 pour 100 000. On parle bien ici des soignants...
Quand on sait sur quelles bases sont forgées ces concepts (généralisation d'un cas particulier comme le concept du complexe d'dipe).
Aucune véritable expérience n'a essayé de valider les thèses proposées par Freud, Lacan, etc ...
C'est donc facile de se reposer sur des acquis, un peu comme l'astrologie, la scientologie, etc ...
la psychanalyse n'est pas n'importe quoi , il s'agit , comme d'autres l'ont déjà souligné d'une théorie développée par Sigmund (j'ai eu un chat qui s'appelait ainsi autrefois...), F., médecin -psychiatre de son état. Il est tout a fait logqieu , comme le dit Schiste que son oeuvre figure aussi dans les cours de philo , puisque comme d'autres auteurs de cette matière il s'est inspiré des mythes grecs (Oedipe en est l'exmple le plus connu) pour formuler ses théories.
Quant à sa valeur thérapeuthique, je ne suis pas d'accord , Freud a été un des premiers à s'intéresser à ce qu'on appelait "l'hystérie féminine"( en gros toutes les femmes un peu hors normes de l'époque , (et pas seulement regardez Family life de Ken loach , j'en ai déjà parlé mais c'est éloquent) et à permettre de résoudre leur malaise. Il est important de mentionner que ces genres de "désordres" étaient soignés à coup d'électrochcocs avant , pas une promenade de santé donc^^
Ensuite si , du fait du type de traitement que constitue l'analyse , et plus généralement du gout pour le secret qu'entretiennent ces praticiens , il n'existe pas de statistiques sur leurs "résultats", ça ne signifie en aucun cas qu'ils n'existent pas ou soient nuls, nombre de personnes connues en témoignent régulièrement (ex, entre autres Françoise Giroud), et dans ton entourage si tu cherches un peu tu trouveras probablement qlqn pour en témoigner.
c'est vrai que le milieu des psys et autres "thérapeutes" est plus qu'opaque et brouillon et a ainsi donné lieu à pas mal de dérives , d'où une volonté du législateur de clarifier tout ça (j'ignore où ça en est), mais il existe des institutions qui surveillent leurs membres et permettent d'offrir une relative garantie aux patients (enfin s'agit de pas de consulter le premier venu trouvé dans l'annuaire ....)
Il existe effectivement plusieurs mouvements (lacaniens , freudiens pplmt ) , mais la scientologie , l'astrologie et autres bouffoneries ne sont pas des dérivés de la psychanalyse

Pendant ce temps là, aux Etats-Unis, où on pense que l'expérience a un intérêt pour faire progresser la science (et où la psychanalyse concerne 2% des études publiées en psy au sens large) :par exemple on se demande de plus en plus si la dépression, lorsqu'elle est répétée sur une longue période, n'est pas à être classée dans ce qu'on appelle les troubles bipolaires (concernerait 60 % des cas de dépressions !)... Or se basant sur des études sur des jumeaux et sur des études familiales, il est aquis théoriquement que l'origine des troubles bipolaires est génétique (mais on n'a pas encore trouvé le ou les gènes... même si des hypothèses se confirment). Cette prédisposition génétique serait la cause d'un dysfonctionnement dans le cerveau, capture de la sérotonine, notamment.
Tout ceci explique pourquoi les antidépresseurs marchent (les AD ont été découverts par hasard à la fin des années 40) et oriente la recherche vers des AD plus efficaces, plus ciblés et aux effets secondaires moins importants. Quant aux thérapies aux Etat-unis, elles bannissent pour la plupart la psychanalyse et font appel à la psychologie comportementale ou cognitive... Et pourquoi est-ce qu'aucune recherche psy importante n'a eu lieu en France ? Pourquoi est-ce que la France a 50 ans de retard tant dans la recherche que dans la pratique ? Demandez à Lacan et ses sbires... Essayez de chercher un psychiatre sur Paris qui ne soit pas lacanien ! Vous allez en essayer beaucoup avant de tomber sur un type sérieux qui va pas vous embarquer pour 10 ans de psychothérapie sans jamais vous dire de quoi vous souffrez (il paraît que nommer retarde la guérison...).
AAAAhhh ma vieille marotte , le tout génétique (zen Grrr , tout va bien ,aaooommmm

bien , les USA ont en grande partie renoncé à la psychanalyse (au contraire de la France et de l'Amérique du Sud), au profit du tout génétique : vous êtes dépressifs ,alcooliques , homos(!), grincheux? vous avez ratée votre vie? c'est génétique vous inquitez pas ma bonne dame on va arranger tout ça avec une pilulle (les mm que celles de Déde), et si y'en a pas encore , c'est qu'elle est en développement, suffit d'être patient....
qui de l'oeuf ou du cul De la poule était là en premier,: est-ce qu'on est génétiquement programmé pour ça ou est-ce qu'être élevé par des parents dépressifs (eux-mm élevés par de parents pas au top) ça joue pas un peu

N'importe quel psychiatre honnête reconnaitra que tout traitement ne peut qu'être temporaire mis à part pour les maniaco-dépressifs et autres maladies graves), et qu'il doit forcément être couplé d'une "thérapie" mm très courte. Et , normalement , les psychanalystes compétents savent conseiller (ou prescrire s'ils sont également psychiatres) à leurs patients de prendre un triatement temporaire en cas de moment trop difficile , quitte à faire une pause avec le reste.
Quant aux thérapies cognitives , pourquoi pas , mais leurs résultats statistiques sont parfois trompeurs, il faut d'abord prendre en compte les nombreux cas où le patient conserve un traitement médicamenteux, et surtout les "déplacements de symptôme": vous consultez parce que vous êtes agoraphobes , on vous traite , vous ne l'êtes plus , mais 6 mois plus tard vous développez une nouvelle phobie , avec un autre objet , mais la mm angoisse !
c'est pas sytématique , mais ça arrive qd mm très souvent, tout simplement parce que par souci d'efficacité , de rapidité , ou de pas trop "chambouler les choses", on s'intéresse au symptôme pas à la cause plus profonde et parfois plus "dérangeante".
Quant au fait de ne pas nommer le trouble , ben c'est peut-être tout simplement parce que au début c'et pas forcément évident de l'identifier, c'est pas comme une fracture du bras , c'est pas aussi net , les psy disent souvent que eux ne savent pas c'est le patient qui inconsciement les guide vers le problm, ce ne sont pas des médiums"!
Et puis imagine: "Vous êtes dépressif , c'est parce que votre papa a dit ça ou que votre maman à pas fait ça ou que vous avez vécu tel évènement traumatisant, voilà , maintenant faut arrêter de se mettre la rate au court-bouillon comme ça mon grand!!" Honnêtement ça marche pas comme ça , si je te dis que ton poignet est cassé que c'est normal que ça fasse mal mais que bon ben voilà faut arrêter de crier......le temps passé chez le psy ben c'est comme un plâtre , ça permet entre autres de s'approprier tout ça, et de régler le problm , par soit-mm

Mais quand vous êtes malade, vous ne vous posez pas ces questions, vous êtes complètement perdu, vous avez besoin d'aide... et puis, la psychanalyse a une extraordinaire réputation chez nous. Alors voilà, des dépressifs vont se retrouver chez le psy à chercher des causes dans des traumatismes de la petite enfance, refoulés par la mémoire... et je peux vous garantir que l'homme a une grand pouvoir à s'inventer des traumatismes... Je vous épargne les suicides, les ruptures familiales, les ruptures sentimentales dues à la psychanalyse. Un chiffre ? Il n'y en a pas.. j'en ai un cependant : sur les 200 premiers psychanalystes ayant exercé au début du siècle, 25 se sont suicidés. Le pourcentage de suicidés en France est de 25 pour 100 000. On parle bien ici des soignants...
Le propre des psychanalystes est qu'ils ont eux-mm subis une analyse, et font régulièrement des vistes de contrôles -non pas chez speedy


Je me garderait d'évoquer , par ailleurs les liens entre l'industrie pharmaceutique et certains psy -chercheurs pas toujours très scrupuleux....(ben zut je l'ai dit)
En résumé je ne pense pas qu'un type de thérapie doit prévaloir sur l'autre ça dépend de ce qu'on recherche et de toutes autres sortes de critères.
Quant aux séparations amoureuses , familiales ou autres elles en sont pas dues à cela mais plus certainement à des problèmes sou-jacents et mis à jour par ce travail. C'est normal à un moment d'en vouloir à ses parents ou je sais pas trop quoi , c'est pas pour autant définitif , une juste mesure est à trouver une distance raisonnable à instaurer.
Pour le suicide c'est qlqchose de très délicat et rien ne prouve que les psychnalystes en enregistrent plus que les psychiatres, effectivement parmi les premiers il peut exister des crétins accrochés à leur dogme et refusant toute aide alternative.....mais mieux vaut changer dans ces cas là, parce que ce ne sont pas de bons professionnels, qu'ils ont probablement perdu de vue qu'ils intervenaient sur un être vivant et pas sur une petite lumière sans enveloppe charnelle (non je parle pas de Cirse

D'ordinaire je suis assez critique(c'est le moins qu'on puisse dire) vis à vis de tout ça , mais j'ai trouvé ton post était vraiment caricatural et maladroit , mm si je respecte totalement ton point de vue

Je souhaiterais également parler ,plus tard, de l'hystérie féminine (spécial dédicace à Yann Moix

http://www.lexpress.fr/info/sciences/dossier/ritaline/dossier.asp?ida=418814
fin là y'a de la lecture je pense

Introduction à la psychanalyse
Quand y'en a plus y'en a encore , Harookaï doit un peu regretter de m'avoir lancé sur le sujet
!!
j'ai oublié d'aborder le problm du ''l'homme est malade", je crois que ce que Schiste voulait dire c'est qu'on est tous un peu névrosés.
Les névroses , en super simplifié (faudra vraiment que je fasse des recherches plus tard histoire d'être précis) , sont des barrières que l'on se pose et qui nous contraignent ,c'est vrai, nous limitent dans nos actes (entre autres choses), comme l'a déjà dit Cirse, il me semble ,c'est pas une mauvaise chose en soit , sans névroses , sans limites donc ,ce serait un gros bordel, une planète peuplée de despote persuadés d'avoir raison....
les névroses doivent être traitées lorsqu'elles sont tellement fortes qu'elles empêchent de vivre, d'agir ou ménent à des échecs répétés par exemple.
Pour info les rares personnes qui n'ont pas de névroses sont.......les psychotiques
, qui souvent ont de grandes facilités d'apprentissages (pas le 1er de la calsse hein , mais plutpôt le type qui apprend tout le bouquin de maths en 15 minutes mais est incapable de se souvenir du chemin de sa maison , pour donner une idée)
donc oui on est tous névrosés , mais c'est pas une maladie et c'est mm ce qui nous permet de vivre ensembles sans s'entretuer ('fin
)
Ensuite y'a le fameux ''c'est rien que du sexe''. La conception qu'on a de la sexualité en général est assez étroite , en réalité c'est tout ce qui nous emplit de plaisir (oui mm le chocolat
), et qd bien mm on la conçoit parfois au sens de frotti frotta en psychanalyse , c'est au "plan symbolique", quand on dit que le complexe d' Oedipe consiste à vouloir ravir sa mère à son père c'est un symbole , les petits enfants n'y voient pas les mm implications -charnelles-que nous , qd bien mm ils formulent de tels souhaits.
Si Freud a été autant attaqué c'est peut-être à cause de cette argumention mal comprise ou mal lue. De mm il a déclenché des foudres lorsq'uil a évoqué que l'être humain avait dès la naissance une sexualité (mm intra utérine selon certains), car encore une fois on l'a interprété d'un point de vue adulte. Ce qui n'est absolument pas le cas, mais qui a malheureusement pu servir d'argumentation dans les années 60 à des gens probalement paumés ou tout simplement pervers et bienheureux de trouver un tel appui à leurs crimes.
et pour en revenir à ce que disait Harookaï sur le suicide , je n'ai pas de lien (oui , faut que je cherche), mais très récemment des antidépresseurs ont été accusés de favoriser le suicide chez les ados, on s'est aperçu que le labo qui me prduisait le savait mais avait tarder à le dire et à prévenir les psy qu'ils ne fallaient plus les prescrire à cette tranche d'âge^^.
Je terminerais par un conseil du Dr Grrr, qd ça va pas un petit carré de chocolat et un petit moment avec John Cleese, c'est qd mm royal (mm qd ça va en fait
)
voilà , ça fera 75 , et je prends que le liquide, merci
désolé au modérateur de ce forum (je sais pas trop qui sait), c'est vrai que c'est trèèèès long, en mm temps il ou elle aura appris des trucs ...

j'ai oublié d'aborder le problm du ''l'homme est malade", je crois que ce que Schiste voulait dire c'est qu'on est tous un peu névrosés.
Les névroses , en super simplifié (faudra vraiment que je fasse des recherches plus tard histoire d'être précis) , sont des barrières que l'on se pose et qui nous contraignent ,c'est vrai, nous limitent dans nos actes (entre autres choses), comme l'a déjà dit Cirse, il me semble ,c'est pas une mauvaise chose en soit , sans névroses , sans limites donc ,ce serait un gros bordel, une planète peuplée de despote persuadés d'avoir raison....
les névroses doivent être traitées lorsqu'elles sont tellement fortes qu'elles empêchent de vivre, d'agir ou ménent à des échecs répétés par exemple.
Pour info les rares personnes qui n'ont pas de névroses sont.......les psychotiques

donc oui on est tous névrosés , mais c'est pas une maladie et c'est mm ce qui nous permet de vivre ensembles sans s'entretuer ('fin

Ensuite y'a le fameux ''c'est rien que du sexe''. La conception qu'on a de la sexualité en général est assez étroite , en réalité c'est tout ce qui nous emplit de plaisir (oui mm le chocolat

Si Freud a été autant attaqué c'est peut-être à cause de cette argumention mal comprise ou mal lue. De mm il a déclenché des foudres lorsq'uil a évoqué que l'être humain avait dès la naissance une sexualité (mm intra utérine selon certains), car encore une fois on l'a interprété d'un point de vue adulte. Ce qui n'est absolument pas le cas, mais qui a malheureusement pu servir d'argumentation dans les années 60 à des gens probalement paumés ou tout simplement pervers et bienheureux de trouver un tel appui à leurs crimes.
et pour en revenir à ce que disait Harookaï sur le suicide , je n'ai pas de lien (oui , faut que je cherche), mais très récemment des antidépresseurs ont été accusés de favoriser le suicide chez les ados, on s'est aperçu que le labo qui me prduisait le savait mais avait tarder à le dire et à prévenir les psy qu'ils ne fallaient plus les prescrire à cette tranche d'âge^^.
Je terminerais par un conseil du Dr Grrr, qd ça va pas un petit carré de chocolat et un petit moment avec John Cleese, c'est qd mm royal (mm qd ça va en fait

voilà , ça fera 75 , et je prends que le liquide, merci

désolé au modérateur de ce forum (je sais pas trop qui sait), c'est vrai que c'est trèèèès long, en mm temps il ou elle aura appris des trucs ...
Introduction à la psychanalyse
Ben je suis pas non plus tout psychanalyse non plus , loin de là 
pour les résultats , en fait je ne sais pas ce que tu entends par là:
le but de ce type de thérapie est, je crois , surtout d'apprendre à gérer ses angoisses , ses névroses, à vivre avec sans les subir dans la souffrance.
La critique que j'émets par rapport à ton post c'est d'ignorer que les psychiatres eux-mm admettent que les médicaments ne sont qu'une étape , qu'un passage et qu'ils ne "guérissent" pas à eux seuls les patients. Si on s'en contente, dès que le traitement s'arrête le symptôme réapparaît...
Il faudrait que tu m'expliques ce que tu appelles "guérir"?
prendre des somniphères ou des anti-dépresseurs à vie (or les cas spéciaux déjà mentionnés), ou enchaîner les troubles les uns après les autres , c'et pas vraiment une guérison je trouve.

pour les résultats , en fait je ne sais pas ce que tu entends par là:
le but de ce type de thérapie est, je crois , surtout d'apprendre à gérer ses angoisses , ses névroses, à vivre avec sans les subir dans la souffrance.
La critique que j'émets par rapport à ton post c'est d'ignorer que les psychiatres eux-mm admettent que les médicaments ne sont qu'une étape , qu'un passage et qu'ils ne "guérissent" pas à eux seuls les patients. Si on s'en contente, dès que le traitement s'arrête le symptôme réapparaît...
Il faudrait que tu m'expliques ce que tu appelles "guérir"?
prendre des somniphères ou des anti-dépresseurs à vie (or les cas spéciaux déjà mentionnés), ou enchaîner les troubles les uns après les autres , c'et pas vraiment une guérison je trouve.
Introduction à la psychanalyse
J'ai eu beaucoup de mal avec ta phrase, mon cher Grrr...Grrr a écrit :Ben je suis pas non plus tout psychanalyse non plus , loin de là

Introduction à la psychanalyse
Oui, je crois que mon surmoi était crevé
, à moins que ça ne soit mon ça
?
La psychanalyse est une solution parmi d'autres à choisir selon ce qu'on recherche , selon sa personnalité , le temps qu'on est prêt à y consacrer....pour certaines personnes une thérapie cognitive sera plus efficace ,pour d'autres ce sera de entrevues avec un psychologue (ni analyste , ni psychiatre).....pour d'autres le chocolat, un bon film
, il n'y a jamais qu'une seule méthode. C'est l'aspect pillule du bonheur qui m'exaspérait un peu, et les gènes qu'on nous ressort à intervalles régulières ....bienvenue à Gattaca
.


La psychanalyse est une solution parmi d'autres à choisir selon ce qu'on recherche , selon sa personnalité , le temps qu'on est prêt à y consacrer....pour certaines personnes une thérapie cognitive sera plus efficace ,pour d'autres ce sera de entrevues avec un psychologue (ni analyste , ni psychiatre).....pour d'autres le chocolat, un bon film


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