Somewhere de Sofia Coppola
Publié : 22 février 2012, 09:46
Coppo-lent.
Avec la plus grande volonté du monde, je ne peux y voir autre chose qu'un film chiant. Pétri d'indulgence et d'espoir, ce Somewhere m'a profondément emmerdé. Utilisé comme une thérapie vaine et creuse par sa réalisatrice, ce film ne raconte quasiment rien. Un acteur connu riche à millions ne sait pas quoi faire de ses journées à part regarder des gonzesses faire du pole-dance, en tirer d'autres et rouler dans sa Ferrari. Comme il glande au Chateau Marmont, il y croise Michelle Monaghan ou Benicio Del Toro pour faire style. Et enfin, il s'occupe de sa fille de 11 ans laissée par son ex. Mais faut pas déconner, quand il doit baiser, y'a son pote Chris Pontius qui dessine sa gratte Guitar Hero et qui joue à Wii Sports avec elle.
Coppola nous montre donc avec une grande subtilité que le cinéma est un monde hypocrite où les acteurs sourient devant la caméra et se chient dessus derrière. Qu'avoir du succès, c'est cool mais qu'on a du mal à tisser de vraies relations avec ceux qu'on aime. Qu'être père, c'est compliqué et qu'on se rend toujours compte après qu'on a mal fait.
Alors t'es bien gentille Georgette, j'aime bien tes deux premiers films et ton homme, c'est Monsieur Phoenix. Donc c'est la classe. Mais ton film contemplatif inutile sur la douleur d'être une enfant dont le père est absent qui pourrait tenir sur un court-métrage ne va pas me rendre l'heure et demie de vie que tu m'as fait perdre. Ton film a gâché une partie de ma vie donc je devrais en faire un aussi pour l'expliquer ?
Ce type d'oeuvre est à ranger dans le même carton que le Roman Français de Beidbeger dans la catégorie "Vous voyez être riche, ça a l'air cool mais en fait, on se fait chier, vous la sentez ma douleur ?".
Avec la plus grande volonté du monde, je ne peux y voir autre chose qu'un film chiant. Pétri d'indulgence et d'espoir, ce Somewhere m'a profondément emmerdé. Utilisé comme une thérapie vaine et creuse par sa réalisatrice, ce film ne raconte quasiment rien. Un acteur connu riche à millions ne sait pas quoi faire de ses journées à part regarder des gonzesses faire du pole-dance, en tirer d'autres et rouler dans sa Ferrari. Comme il glande au Chateau Marmont, il y croise Michelle Monaghan ou Benicio Del Toro pour faire style. Et enfin, il s'occupe de sa fille de 11 ans laissée par son ex. Mais faut pas déconner, quand il doit baiser, y'a son pote Chris Pontius qui dessine sa gratte Guitar Hero et qui joue à Wii Sports avec elle.
Coppola nous montre donc avec une grande subtilité que le cinéma est un monde hypocrite où les acteurs sourient devant la caméra et se chient dessus derrière. Qu'avoir du succès, c'est cool mais qu'on a du mal à tisser de vraies relations avec ceux qu'on aime. Qu'être père, c'est compliqué et qu'on se rend toujours compte après qu'on a mal fait.
Alors t'es bien gentille Georgette, j'aime bien tes deux premiers films et ton homme, c'est Monsieur Phoenix. Donc c'est la classe. Mais ton film contemplatif inutile sur la douleur d'être une enfant dont le père est absent qui pourrait tenir sur un court-métrage ne va pas me rendre l'heure et demie de vie que tu m'as fait perdre. Ton film a gâché une partie de ma vie donc je devrais en faire un aussi pour l'expliquer ?
Ce type d'oeuvre est à ranger dans le même carton que le Roman Français de Beidbeger dans la catégorie "Vous voyez être riche, ça a l'air cool mais en fait, on se fait chier, vous la sentez ma douleur ?".