Mortimer [Pratchett]
Publié : 16 décembre 2004, 22:34
C'est déja le quatrième livre des Annales, et l'intrigue concerne un personnage que nous connaisson desormais bien : La mort.
Prathett nous emmène donc chez la mort, chose qu'il avait déjà commencé à faire dans Le huitième Sortilège.Pour certain, c'est le meilleur livre des annales.Pour moi, c'est un livre qui va de paire avecLe Faucher et Accros du RocSurtout si on veut savoir pourquoi la Mort epargne Morty.
Mais tout d'abord, qui est Morty.Comme se plait à dire son oncle "Il manque pas de coeur, c'est le reste qui lui manque..." Bref, il a pas de bol dans sa vie jusqu'au jour où son père decide de faire de lui un homme et l'envoie cherher un apprentisage.Apprentisage qui sera des plus etranges car il devient l'apprenti de la Mort en personne.
Pratchett nous emmene donc jouer avec la Mort, ce personnage si réel, si humain et inévitable.Avec le temps libre que lui apporte Morty, il commence à gamberger et à ressentir des etats d'âme, chose comprehensible quand on sait que persone ne nous dit merci pour le travail bien fait et qu'on sera là même apres les Dieux et la grande A Tui'n.
Ainsi donc, on accompagne ainsi Morty dans son travail de grand faucheur, de ses doutes, et de sa grosse boulette: sauver la vie d'une princesse.De par ce fait incongru c'est toute la réalité qui s'en trouve boulversé et à trop vouloir reparer ses bêtises, Morty commence à devenir vraiment la mort.
Mortimer, c'est aussi la précense d'Isabelle, fille adoptive de la mort, d'Albert, le cuisiner ancien grand mage fondateur de l'Université de l'invisible et de Bigadin le fidèle destrier.
Avec ce tome, Pratchett nous emmene en terrain connu, à savoir humour, reference à d'autres oeuvres, et reflexion sur l'ordre naturel des choses, sur la vie et sur la mort.Rien de nouveau sous la plume de Prathett si e n'est sa verve habituelle toujours aussi entrainante, son gout pour les comparaisons qui font mouches et son renouveau à trouver des idées geniales pour faire une serie geniale.
Comme je l'ai dit plus haut, certains pensent que 'est le meilleur des annales, je crois juste qu'il est un peu haut dessus du niveau de certain car la mort est un personnage ambigu complexe, complexité qui sera enore plus mise en avant dans Le Faucheur. A mon avis, ce dernier reste quand meme le meilleur pour se faire une idée precise de ce que recherche la mort et de son blues de la vie.
Note 8/10
Prathett nous emmène donc chez la mort, chose qu'il avait déjà commencé à faire dans Le huitième Sortilège.Pour certain, c'est le meilleur livre des annales.Pour moi, c'est un livre qui va de paire avecLe Faucher et Accros du RocSurtout si on veut savoir pourquoi la Mort epargne Morty.
Mais tout d'abord, qui est Morty.Comme se plait à dire son oncle "Il manque pas de coeur, c'est le reste qui lui manque..." Bref, il a pas de bol dans sa vie jusqu'au jour où son père decide de faire de lui un homme et l'envoie cherher un apprentisage.Apprentisage qui sera des plus etranges car il devient l'apprenti de la Mort en personne.
Pratchett nous emmene donc jouer avec la Mort, ce personnage si réel, si humain et inévitable.Avec le temps libre que lui apporte Morty, il commence à gamberger et à ressentir des etats d'âme, chose comprehensible quand on sait que persone ne nous dit merci pour le travail bien fait et qu'on sera là même apres les Dieux et la grande A Tui'n.
Ainsi donc, on accompagne ainsi Morty dans son travail de grand faucheur, de ses doutes, et de sa grosse boulette: sauver la vie d'une princesse.De par ce fait incongru c'est toute la réalité qui s'en trouve boulversé et à trop vouloir reparer ses bêtises, Morty commence à devenir vraiment la mort.
Mortimer, c'est aussi la précense d'Isabelle, fille adoptive de la mort, d'Albert, le cuisiner ancien grand mage fondateur de l'Université de l'invisible et de Bigadin le fidèle destrier.
Avec ce tome, Pratchett nous emmene en terrain connu, à savoir humour, reference à d'autres oeuvres, et reflexion sur l'ordre naturel des choses, sur la vie et sur la mort.Rien de nouveau sous la plume de Prathett si e n'est sa verve habituelle toujours aussi entrainante, son gout pour les comparaisons qui font mouches et son renouveau à trouver des idées geniales pour faire une serie geniale.
Comme je l'ai dit plus haut, certains pensent que 'est le meilleur des annales, je crois juste qu'il est un peu haut dessus du niveau de certain car la mort est un personnage ambigu complexe, complexité qui sera enore plus mise en avant dans Le Faucheur. A mon avis, ce dernier reste quand meme le meilleur pour se faire une idée precise de ce que recherche la mort et de son blues de la vie.
Note 8/10