De Vinci.
Publié : 02 février 2005, 04:05
Les critiques sont sur ce site tres interessantes, et change des avis totalement positifs de lecteurs et souvent lectrices que j'ai pu trouver sur d'autres site.Merci a vous.
J'ai commencé ce livre, et dans les premieres cent pages, je me laissais volontier happer par la somme des informations delivrées, redecouvrant certaines que j'avais oublié. Ma surprise s'arreta la. Nette. Tout le reste ne s'apparente qu'a des blagues carambars. Tout est entierement previsible. Et comme le souligne un critique, le plus decevant, et le plus gerbant, c'est cette phrase d'introduction, inacceptable pour un roman de la sorte.
J'ai lu dans un des messages que l'auteur, etait historien, ou en tout cas amateur d'histoire. Alors pourquoi faire des fautes, artistique , historique aussi enorme ? Marketing est il le maitre mot ? je pense que oui, en effet, l'auteur, et l'editeur, cherchent a faire coup double. Attirer les badots sur un mystere meme fictif dans un premier temps. Attirer les sceptiques dans un second temps, pour contrecarrer les 'verités' annoncées comme telles. Rien d'innocent aussi dans le format choisi pour ce livre. Il fait 510 pages je crois. Je suis quasiment sur qu'il y en a 200 de trop.Mais peut etre que l'epaisseur de ce mini pavé rassure, les lectrices de la veracité de son contenu.Le meilleur exemple est au Ch.71,p336. Comment 3 cerveaux, dont un de harvard, n'arrivent ils pas a dechiffrer ce message? Il faudra quasiment 2 p 1/2 a l'auteur pour nous l'expliquer. L'opinion de l'auteur, a bien des egards est d'une romance et d'une miévrerie ridicule, bref toute americaine ! Quand cette femme de 30 ans explique entre trois sanglots ce qui l'a traumatisé depuis ces 20 ans je m'attendais a tout, sauf a ca !(les lecteurs/rices me comprendront j'espere). J'aimerais avoir le recul necessaire de belefegore, et sa sagesse face a ces inepties montées en epingle par quelques medias, mais pour moi c'est un livre destiné a un public majoritairement feminin, de croyance catholique, et americaine. Ce qui, d'une certaine facon resume precisement le bien fondé de ce type "d'ouvrage". merci . sixty.
J'ai commencé ce livre, et dans les premieres cent pages, je me laissais volontier happer par la somme des informations delivrées, redecouvrant certaines que j'avais oublié. Ma surprise s'arreta la. Nette. Tout le reste ne s'apparente qu'a des blagues carambars. Tout est entierement previsible. Et comme le souligne un critique, le plus decevant, et le plus gerbant, c'est cette phrase d'introduction, inacceptable pour un roman de la sorte.
J'ai lu dans un des messages que l'auteur, etait historien, ou en tout cas amateur d'histoire. Alors pourquoi faire des fautes, artistique , historique aussi enorme ? Marketing est il le maitre mot ? je pense que oui, en effet, l'auteur, et l'editeur, cherchent a faire coup double. Attirer les badots sur un mystere meme fictif dans un premier temps. Attirer les sceptiques dans un second temps, pour contrecarrer les 'verités' annoncées comme telles. Rien d'innocent aussi dans le format choisi pour ce livre. Il fait 510 pages je crois. Je suis quasiment sur qu'il y en a 200 de trop.Mais peut etre que l'epaisseur de ce mini pavé rassure, les lectrices de la veracité de son contenu.Le meilleur exemple est au Ch.71,p336. Comment 3 cerveaux, dont un de harvard, n'arrivent ils pas a dechiffrer ce message? Il faudra quasiment 2 p 1/2 a l'auteur pour nous l'expliquer. L'opinion de l'auteur, a bien des egards est d'une romance et d'une miévrerie ridicule, bref toute americaine ! Quand cette femme de 30 ans explique entre trois sanglots ce qui l'a traumatisé depuis ces 20 ans je m'attendais a tout, sauf a ca !(les lecteurs/rices me comprendront j'espere). J'aimerais avoir le recul necessaire de belefegore, et sa sagesse face a ces inepties montées en epingle par quelques medias, mais pour moi c'est un livre destiné a un public majoritairement feminin, de croyance catholique, et americaine. Ce qui, d'une certaine facon resume precisement le bien fondé de ce type "d'ouvrage". merci . sixty.