Kundera - L'insoutenable légèreté de l'être
Publié : 14 mars 2005, 12:37
C'est certainement l'un des plus célèbres roman de Kundera. Professeur à lEcole des Hautes Etudes de Paris, Milan Kundera est un auteur contemporain de nationalité française, originaire de Tchécoslovaquie, engagé contre les systèmes politiques totalitaires, tel que le communisme autoritaire dont il a personnellement vécu la cruauté, notemment lors du "printemps de Prague" (le 21 août 1968, l'URSS et 4 autres pays membres du pacte de Varsovie envahissent la Tchécoslovaquie pour mettre fin au mouvement libérale mené par Alexandre Dubçek) .
C'est l'histoire de Thomas, jeune chirugien éperdu de conquètes féminines, de Tereza, qui ne supporte pas ses infidélités et les interiorise jusqu'à en faire des cauchemards récurrents. C'est aussi celle de Sabina, maîtresse de Thomas, artiste peintre, qui quitte ses partenairs par principe, et celle de Franz, une victime de Sabina qui ne cessera de l'idéaliser et d'en faire la maîtresse imaginaire de ses décisions.
Mais ce qui frappe le plus dans ce roman, c'est l'aspect philosophique de l'ensemble, basé sur l'absurde, la futilité, le non-sens de la vie des protagonistes en période de troubles politiques. C'est un roman aux couleurs de la désillusion, dans lequel la vie perd de sa valeur, de son poid, pour être en fin de compte d'une insoutenable légèreté.
Pour ma part, je ne trouve pas celà trés flatteur pour la condition humaine ; ça manque de piments, de joies intenses, et de chaleur. Mais il est bien écrit, intérressant et mérite d'être lu.
C'est l'histoire de Thomas, jeune chirugien éperdu de conquètes féminines, de Tereza, qui ne supporte pas ses infidélités et les interiorise jusqu'à en faire des cauchemards récurrents. C'est aussi celle de Sabina, maîtresse de Thomas, artiste peintre, qui quitte ses partenairs par principe, et celle de Franz, une victime de Sabina qui ne cessera de l'idéaliser et d'en faire la maîtresse imaginaire de ses décisions.
Mais ce qui frappe le plus dans ce roman, c'est l'aspect philosophique de l'ensemble, basé sur l'absurde, la futilité, le non-sens de la vie des protagonistes en période de troubles politiques. C'est un roman aux couleurs de la désillusion, dans lequel la vie perd de sa valeur, de son poid, pour être en fin de compte d'une insoutenable légèreté.
Pour ma part, je ne trouve pas celà trés flatteur pour la condition humaine ; ça manque de piments, de joies intenses, et de chaleur. Mais il est bien écrit, intérressant et mérite d'être lu.