Le Transporteur 2
Publié : 23 août 2005, 22:02
LE TRANSPORTEUR 2
[je cherche un jeu de mot a mettre ici mais j'ai aps d'idées si vousen avez, aidez moi]
Je préviens tout de suite les gens qui liraient cette critique que je nai pas vu Le Transporteur premier du nom, et que dailleurs après avoir vu le deuxième, je ne tiens absolument pas à le voir alors je vous prie dexcuser le fait que je ne puisse effectuer des comparaisons par rapport à lopus précédent.
Imaginezimaginez une production franco américaine dans laquelle est impliquée Luc Besson. Voila, me direz vous, qui a tout lair detre un nouveau blockbuster, eh bien vous avez tout a fait raison car le Transporteur II est un blockbuster « film daction » parfaitement assumé.
Le scénario, en premier lieu, est parfaitement accessoire. Pour être tout a fait franc, on peut même dire quon sen contrebalance, il sert juste à trouver quelques répliques aux acteurs pendant les temps morts du film (comprendre par là, les moments ou ça ne tape pas, ça ne tire pas et où ça ne se poursuit pas dans tout les sens en voiture, jet ski,avion ou tout véhicule qui passera à portée du héros). Par ces temps morts donc, on peut comprendre que notre héros du jour joue les chauffeurs pour un gosse de millionnaire avec qui il est super copain.. On les voit même jouer aux devinettes, cest pour dire à quel point ils sont potes ! Mais, chose totalement imprévisible, le gosse en question va se faire kidnapper et ça sera à Frank (le nom du héros) daller le chercher parce que vous savez comment sont les flics, ils comprennent jamais quun homme seul est bien meilleur quune centaine, à croire quils vont jamais au cinéma. Grâce (à cause ?) de cet enlèvement, on va pouvoir se rendre compte que Frank que lon croyait jusque là un chauffeur plutôt aimable du moment quon en veut pas à sa voiture, est en réalité le fruit dun croisement entre Rambo et James Bond. Rambo, parce que cest une machine à tuer et James Bond parce quil a toujours son costard.
Quest-ce que ce film a en plus des innombrables films daction plus ou moins inintéressants qui déferlent chaque année sur nos écrans ? Eh bien, on peut dire quil pousse tellement le ridicule et les stéréotypes de ce genre de films quon se demande si lon a pas en face de soi, une parodie qui refuse de safficher. Il faut dire que si lon prend au premier degré ce film on ne peut quêtre rebuté par la maigreur du scénario qui flirte avec lanorexie, par laccumulation de clichés ou encore par labsence de crédibilité des scènes daction (qui doivent pourtant être le cur même de ce genre de film). Mais si lon considère le film comme une parodie alors là tout devient clair et franchement hilarant chacun des éléments précités nétant là que pour accentuer la critique dun genre de films ou seuls les gros budgets font la loi et qui noffrent que du spectacle au détriment de beaucoup dautres éléments essentiels dun film.
Un film regardable donc si on arrive a la prendre au second degré
Pour la note, javoue que là non plus je sais pas trop quoi mettre faut dire que j'ai aucune notion de musique allez disons ... si bémol !
[je cherche un jeu de mot a mettre ici mais j'ai aps d'idées si vousen avez, aidez moi]
Je préviens tout de suite les gens qui liraient cette critique que je nai pas vu Le Transporteur premier du nom, et que dailleurs après avoir vu le deuxième, je ne tiens absolument pas à le voir alors je vous prie dexcuser le fait que je ne puisse effectuer des comparaisons par rapport à lopus précédent.
Imaginezimaginez une production franco américaine dans laquelle est impliquée Luc Besson. Voila, me direz vous, qui a tout lair detre un nouveau blockbuster, eh bien vous avez tout a fait raison car le Transporteur II est un blockbuster « film daction » parfaitement assumé.
Le scénario, en premier lieu, est parfaitement accessoire. Pour être tout a fait franc, on peut même dire quon sen contrebalance, il sert juste à trouver quelques répliques aux acteurs pendant les temps morts du film (comprendre par là, les moments ou ça ne tape pas, ça ne tire pas et où ça ne se poursuit pas dans tout les sens en voiture, jet ski,avion ou tout véhicule qui passera à portée du héros). Par ces temps morts donc, on peut comprendre que notre héros du jour joue les chauffeurs pour un gosse de millionnaire avec qui il est super copain.. On les voit même jouer aux devinettes, cest pour dire à quel point ils sont potes ! Mais, chose totalement imprévisible, le gosse en question va se faire kidnapper et ça sera à Frank (le nom du héros) daller le chercher parce que vous savez comment sont les flics, ils comprennent jamais quun homme seul est bien meilleur quune centaine, à croire quils vont jamais au cinéma. Grâce (à cause ?) de cet enlèvement, on va pouvoir se rendre compte que Frank que lon croyait jusque là un chauffeur plutôt aimable du moment quon en veut pas à sa voiture, est en réalité le fruit dun croisement entre Rambo et James Bond. Rambo, parce que cest une machine à tuer et James Bond parce quil a toujours son costard.
Quest-ce que ce film a en plus des innombrables films daction plus ou moins inintéressants qui déferlent chaque année sur nos écrans ? Eh bien, on peut dire quil pousse tellement le ridicule et les stéréotypes de ce genre de films quon se demande si lon a pas en face de soi, une parodie qui refuse de safficher. Il faut dire que si lon prend au premier degré ce film on ne peut quêtre rebuté par la maigreur du scénario qui flirte avec lanorexie, par laccumulation de clichés ou encore par labsence de crédibilité des scènes daction (qui doivent pourtant être le cur même de ce genre de film). Mais si lon considère le film comme une parodie alors là tout devient clair et franchement hilarant chacun des éléments précités nétant là que pour accentuer la critique dun genre de films ou seuls les gros budgets font la loi et qui noffrent que du spectacle au détriment de beaucoup dautres éléments essentiels dun film.
Un film regardable donc si on arrive a la prendre au second degré
Pour la note, javoue que là non plus je sais pas trop quoi mettre faut dire que j'ai aucune notion de musique allez disons ... si bémol !