Chrono Trigger par Squaresoft Snes [jeux video]
Publié : 07 septembre 2005, 14:43
En 1994, dès l'annonce de son arrivée sur Super Nintendo, le RPG Chrono Trigger fleurait déjà bon le "must have". Un projet de Squaresoft avec Akira Toriyama (Monsieur [url=http://manga-anime.krinein.com/Dr-Slump-2193.html" title="Dr Slump">Dr Slump et
Du Squaresoft pur jus, peut-être un peu trop, le coup du héros qui se réveille, rencontre des adjuvants, puis subit l'élément perturbateur, on connaît.
Cependant la spécificité de CT réside dans la possibilité de voyager dans le temps à différentes époques, de la Préhistoire, au Moyen Age, de l'Ere glacière au Futur jusqu'à la Fin des temps, lieu suspendu, convergence de toutes les époques qui permet de voyager à volonté et de voir les conséquences de ses actes. Ces possibilités permettent au scénario de gagner en intérêt et de construire des intrigues alambiquées et passionnantes. Remarquez aussi, le thème du voyage dans le temps, bah on connaît
Mais bon, il n'empêche qu'ici il est rudement bien mené, les destinées d'entrecroisent de façon limpide, les personnages sont attachants et animés d'une vraie flamme.
En plus de Crono, Marle et Lucca, ils seront trois, rencontrés lors des divers voyages temporels, à rejoindre l'équipe. Ayala (Préhistoire), Frog (Moyen-Age), Robo (Futur) et un dernier, optionnel. J'en tairai le nom tellement il semble aussi peu probable qu'un retour de Michel Platini dans le Onze français. De plus, tous ont une storyline élaborée et des lignes de textes propres.
La profondeur est au rendez-vous, la volonté de refaire chaque passage avec des persos différents pour découvrir de nouveaux dialogues aussi.
L'histoire, dense, est portée par des graphismes superbes, dans un style très manga, (normal avec Toriyama san au charadesign). La console carbure à fond, les bosses peuvent être gigantesque, les magies se déploient sur tout l'écran, les décors touchent au sublime (la scène du procès à se damner). La palette de couleurs est utilisée de manière souvent judicieuse et toujours chatoyante avec effets spéciaux de rigueur (transparence, zoom, etc.). L'animation, elle, est un modèle de fluidité. La Snes donne tout ce qu'elle a dans le ventre, pour le plaisir des mirettes.
Du Squaresoft pur jus, peut-être un peu trop, le coup du héros qui se réveille, rencontre des adjuvants, puis subit l'élément perturbateur, on connaît.
Cependant la spécificité de CT réside dans la possibilité de voyager dans le temps à différentes époques, de la Préhistoire, au Moyen Age, de l'Ere glacière au Futur jusqu'à la Fin des temps, lieu suspendu, convergence de toutes les époques qui permet de voyager à volonté et de voir les conséquences de ses actes. Ces possibilités permettent au scénario de gagner en intérêt et de construire des intrigues alambiquées et passionnantes. Remarquez aussi, le thème du voyage dans le temps, bah on connaît
Mais bon, il n'empêche qu'ici il est rudement bien mené, les destinées d'entrecroisent de façon limpide, les personnages sont attachants et animés d'une vraie flamme.
En plus de Crono, Marle et Lucca, ils seront trois, rencontrés lors des divers voyages temporels, à rejoindre l'équipe. Ayala (Préhistoire), Frog (Moyen-Age), Robo (Futur) et un dernier, optionnel. J'en tairai le nom tellement il semble aussi peu probable qu'un retour de Michel Platini dans le Onze français. De plus, tous ont une storyline élaborée et des lignes de textes propres.
La profondeur est au rendez-vous, la volonté de refaire chaque passage avec des persos différents pour découvrir de nouveaux dialogues aussi.
L'histoire, dense, est portée par des graphismes superbes, dans un style très manga, (normal avec Toriyama san au charadesign). La console carbure à fond, les bosses peuvent être gigantesque, les magies se déploient sur tout l'écran, les décors touchent au sublime (la scène du procès à se damner). La palette de couleurs est utilisée de manière souvent judicieuse et toujours chatoyante avec effets spéciaux de rigueur (transparence, zoom, etc.). L'animation, elle, est un modèle de fluidité. La Snes donne tout ce qu'elle a dans le ventre, pour le plaisir des mirettes.