Starsailor [Musique]
Publié : 07 novembre 2002, 20:24
Il y a 2 ans est apparu sans crier gare un groupe anglais, profitant du profond sillage laissé par Muse, Travis et autre Coldplay. Vu comme ça, on pouvait craindre le pire, un disque Micro-Onde peu inspiré. Seulement voilà, a lécoute de Love is here, lalbum de quatuor, il apparait que Starsailor nest pas un sous-muse ou un clone de Coldplay. Pourtant tout prêterai a la comparaison : les chansons plaintives, la voix androgyne et écorché de chanteurMais Starsailor a ce que dautre non pas, a savoir du talent. Et ils en ont a revendre.
Autant le dire tout de suite, Love is Here napparaît pas comme un disque très joyeux. Les thèmes en sont souvent grave, comme dans lexcellent Alcoholic, seule véritable chanson médiatisée de Starsailor. Plus que les morceaux en eux-même, cest leurs constructions qui font toutes la force du groupe et du disque. Starsailor na rien a envié au groupe de Matthieu Bellamy. La plupart des morceaux sont assez surprenants. Dabord bercé par la voix de James Walsh, les instruments prennent soudain le relais et on se fait littéralement transporter par la musique. Ici et là, des changements de rythme, une soudaine envolée des guitares, un piano qui vient en renfort.Coldplay et consorts seffacent peu à peu, et on se met a penser a Bowie voir à Jeff Bukley. L'album est exellent, loin d'être un brouillon. 11 Chansons et une cinquantaine de minutes plus tard, on en redemande. Peut être un poil trop cours, mais l'album et le groupe méritent vraiment d'être découvert.
Je vais mettre 10, tient
Autant le dire tout de suite, Love is Here napparaît pas comme un disque très joyeux. Les thèmes en sont souvent grave, comme dans lexcellent Alcoholic, seule véritable chanson médiatisée de Starsailor. Plus que les morceaux en eux-même, cest leurs constructions qui font toutes la force du groupe et du disque. Starsailor na rien a envié au groupe de Matthieu Bellamy. La plupart des morceaux sont assez surprenants. Dabord bercé par la voix de James Walsh, les instruments prennent soudain le relais et on se fait littéralement transporter par la musique. Ici et là, des changements de rythme, une soudaine envolée des guitares, un piano qui vient en renfort.Coldplay et consorts seffacent peu à peu, et on se met a penser a Bowie voir à Jeff Bukley. L'album est exellent, loin d'être un brouillon. 11 Chansons et une cinquantaine de minutes plus tard, on en redemande. Peut être un poil trop cours, mais l'album et le groupe méritent vraiment d'être découvert.
Je vais mettre 10, tient