Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
Voilà, je compte essayer d'écrire une petite"critique" si çà n'a pas déjà été fait par un internaute. Ca arrive bientot, je vais essayer de faire de mon mieux, mais j'hésite à faire une tracklist ou une critique d'ensemble....
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
Surtout que moi j'aime bien le titre de l'album, si, si !
:)
:)
La bactérie est la culture du futur !
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
C'est un album sortis en mai 2003
[une critique comunautaire]
[une critique comunautaire]
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
13 Juin 2003
Je pense qu'au bout de trois ans de reflexion, il aura eu le temps de faire un choix...
"Michael Bay a une grosse queue, Mais j'aime à penser que la mienne est encore plus grosse." - McG
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
En fait c'est du Teasing pour une critique en TROIS Parties ! Dont une des parties aura même un rapport avec le CD, bande de veinard !
En exclu l'annonce et le JDMP
THE GOLDEN AGE OF GROTESQUE de MARILYN MANSON
Je suis pas gros, je mange des pommes golden agé
En exclu l'annonce et le JDMP
THE GOLDEN AGE OF GROTESQUE de MARILYN MANSON
Je suis pas gros, je mange des pommes golden agé
La bactérie est la culture du futur !
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
PART I : AU COMMENCEMENT ETAIT LE VERBE
Vous êtes vous déjà demandez pourquoi les chroniqueurs de krinein faisaient des critiques ? Bon peut être pas les superstars comme SuperJuro, mais du moins, nous, les pustuleux confinés dans cette partie confidentielle mais malgré tout aéeré du site ?
La plupart diront quils cherchent à faire découvrire leur passion, que le net permet léchange dinformations entre les hommes de bonnes volontés et tout ça. Mais cest faux, toujours, en fait chaque critique à une genèse unique, des circonstances qui font quelle est comme elle, qui font du critiqueur amateur plus quun simple rapporteur dune uvre, mais qui, pour un temps, le transforme en témoin de son époque. Elle marque dune pierre blanche virtuelle un jour. Cest en fait une histoire, un récit, une épopée, du gonzo.
La critique qui suit raconte des événements passés et, euh, un peu moins passé, qui se sont déroulé à Lyon en France, du 17 au 21 Mars 2006, je prierais mon lectorat de couper leur téléphone portable pendant leur lecture.
The golden Age of grotesque ! Ah ah ! Mais jadoooorrreee ce titre, quel phénoménale subtilité que voilà !
-Vraiment taime ça le métal ?
La jhésite, je peux dire quelques propos subtil genre : « Ouais, mais jaime manger mes défécations aussi. » ou alors montrez ladmiration que japprouve pour une personne sensible à ce genre musical : « Ce CD tu te le fous là où le soleil ne brille jamais ».
Mais jugeant ces propos quelques peu inconvenant pour une dame je me modérais :
-Le métal ! Bien sûr je suis tombé dedans étant petit, mais cest surtout Marylin Manson dont je suis fan, Ce mélange de dérision dans une étreinte de limmortalité du rock a limagerie Gothique tel quévoqué par Matthew Lewis est une représentation extatique dune sorte, euh, proche du courant quon appelle en peinture le suprastructuralisme »
A ceux qui me dise, « mais Vet ! Quest ce que tu veux que je dise, jen ai jamais entendu parler de ce truc ! » Et bien il suffit de parler de chose dont les autres nont jamais entendu parler nont plus. Et voilà, dailleurs jai jamais lu Matthew Lewis, et quune vague idée du suprastructuralisme si ça sappelle bien comme ça.
« -Ah ouais Et the golden age of the grotesque tas aimer quels morceaux sinon ?
-Oh ! Et bien, en fait, tu vois, il se trouve que, bon jtexplique quoi, en fait cest pas de pot, en fait un jour jétais parti a la FNAC, et la à peine je sort de chez moi je vois un chat noir qui fonce sous une échelle et qui marche de la patte gauche antérieur sur une crotte de chien. Alors cest pas que je sois superstitieux, mais quand on voit ça et quon veut prendre des trucs sataniques cest mauvais signe, alors je me suis abstenu.
-Dingue ça ! Bah prend le CD tu verra bien, et puis jai pas déchelle, ni de chien. »
Donc me voilà avec un CD de Maylin Manson, au titre sympathique certes. Mais je navais aucune envie découter lintérieur. Du coup je part sur mon site préféré chercher une critique toute faite par un métalleux aux cheveux bien gras (plus un métalleux sy connaît plus ses cheveux son gras.) et je me retrouve avec ce truc que vous voyez en haut de topic.
Je me décidais donc den faire la critique, par générosité et altruisme certes si lon veut, mais aussi parce que comme ça jaurais des trucs tout prêt a dire.
PART II : ET PUIS LA LUMIERE FUT
Et donc voilà je dois faire la critique.
Le ridicule étant évidemment que je connais rien au métal, jai jamais aimé ça, et me voilà pourtant embarqué la-dedans. Le critique amateur débutant fera des généralité passe-partout et réussira et sen sortir sans trop de casse. Mais moi jai ma réputation, sur le chan je connais WeirdKorn qui est fan de Korn, et qui me casserait la gueule virtuellement à la moindre entorse aux stricts contrevérité métalleuse. Je peux pas non plus dire cest jolie ou cest moche, sinon on dira que ça manque de sérieux. Par conséquent, il existe une seul solution : Lattaque frontale. Ceci vaguement justifié par un brin dhumour débile, du genre MM il fond dans la bouche pas dans la main. Je pourrais toujours dire quils ont pas dhumour.
« Alors globalement peu de surprise, beaucoup de bruit assourdissant (si vous voulez des précisions demandez a quelquun avec des cheveux gras, sil arrive à articuler une phrase), Marylin a toujours la voix éraillé, (Happy birthday Mr President est bien loin) mais jaime plutôt bien sa voix, avec ses changements de ton assez suggestif qui doivent faire fantasmer le métalleux adolescent. »
Bon voilà, les métalleux se sont sans doute dit que je me foutais de leur gueule et arrêté de lire, ou alors ils posteront un truc insultant, auquel je répondrait que : « Plutôt de me chercher des poux, ils feraient mieux de regarder dans leurs cheveux ». Reste plus que les rieurs, et les anti-métalleux, et la je peux me la jouer consensuelle histoire de passer pour un type bien.
« Mais évitons les généralités sur le métal, Marylin Manson est un artiste controversé qui mérité que lon sattarde sur sa musique, et sur ses paroles.
Lintro annonce quelque chose de métallisé, dindustrielle, et puis surtout que cest un « album-concept » a priori cest en fait quand y a des transitions entre les morceaux voilà.
niveau morceau justement "This is the new shit" est peut être une parabole sur le CPE, mais bon ça ma semblé peu clair tout ça. "KA-Boom", quel horreur ! La musique est plus monstrueuse que jamais, avec des gros Ka-Boom, a la limite de lécoutable quoi, quand au texte, ça doit être du punk mélangé avec du Peter-Pan jai vite laissé tombé. Bon je passe sur les morceaux qui mont pas trop plus, en gros ça ditt « Fuck the system ».
Notons tout de même para-noir, qui doit atteindre les proportions de 50% de « fuck you » et que "The golden age of grotesque", j'en suis navré Zd, aurait tendance a me donner des maux de tête.
Niveau bien, y a « Spade » sans doute assez commercial, mais bon les ka-boom très peu pour moi. Ca semble être une métaphore de lamour dune junkie pour sa seringue à travers sa dépendance.
Mobscene est sympathique ça parle de lattraction pour lobscene, et ça me semble assez bien allé avec lui et sa musique (cest un compliment je précise). Sympathique aussi Doll-dagga buzz-buzz ziggety-zag, une espèce dhommage aux vieux du punk et du Rock N Roll.
Slutgarden, ma beaucoup amusé étant donné les raisons qui mont poussé a lécouté. Le titre parlant de lui-même je pense. Quelques intentions cachées seraient telle caché derrière ? Du genre « I will memorise the words of porno movies. » ou bien « When i mean Sweet i mean Dirty »
Menfin Marilyn Manson nest pas forcément connu pour être un fin psychologue de la psyché féminine. »
Bon voilà une critique de torché, ça convaincra pas grand monde, de toute façon jen sais trop rien si cest bien ou pas, jaime pas le métal de toute façon. Ouais, pas un truc que jécouterais forcément volontairement, mais jen mourrais pas.
Reste la stupide note a mettre, histoire de faire un clin dil aux fans dH2G2 je décide de mettre un 42 suivit dun nombre plus ou moins aléatoire pour refléter labsurdité dune note. Cest le genre de chose qui coûte rien mais ajoute une note personnelle.
« Note 42/69 »
PART III : ET ALORS IL DIT DE SE REPRODUIRE.
-Tiens au fait je te rapporte ton CD !
-Oh merci, tas pas trouver ça euh, Grotesque ?
- HAHAAAHAAHHAHAHAHAHAHAHAAAaaahahhahaHAHAHHAAHAH !!!!! Bien sur que non.
-Mais tas aimé ?
A cette minute la, à travers les brumes éthérées de mon cerveau je sortais la réponse quil fallait ni trop pédante, ni trop vulgaire :
« -Ouais, cest cool.
-Génial
-Et toi tu trouve ça comment ?
-Cool. »
Cest dans ces moments là, quon a limpression de vivre dans un roman de B.E.Ellis. Ce que jaime pas du tout comme sensation. Devrais-je dans ma critique laissez cette impression qua notre époque nexistait quune jeunesse dépravé nétant quun stéorotype fictif et mou ?!
« -Y a des trucs sacrements salé dedans quand même, non ?
-Ouais ? En fait je fais pas trop attention aux paroles jaime bien quand ça fait wiizzz wappp
-Cest sur, cest sur
Il fallait que je fasse quelque chose, latroce inertie du jmen foutisme me tiraillait, je fis donc la seul chose raisonnable a faire, je retirais le CD devant les yeux halluciné de ma darling, lenfournait dans le lecteur CD et mettait Slutgarden.
Le silence régna pendant quelques secondes puis arrivèrent les premiers bruits de basse :
I'll pretend that I want you for what is on the inside
But when I get inside I'll just want to get out
When I said we, you know, I meant me
And when I said sweet I meant dirty
.
I memorize the words to the porno movies
This is a new religion to me
.
You are the church, I am the steeple
When we f.u.c.k, we are all God's people
.
Le silence régna dans la pièce pendant toute la duré de la musique, les paroles empreignant lair. Je me demandais fragmentairement ce que Bukowsky aurait fait dans ce cas là, puis limaginant vomir sur la moquette jarrêtais.
« hum » fis-je.
«. cest de la parole quand même faut avouer. »
sweet.
Vous êtes vous déjà demandez pourquoi les chroniqueurs de krinein faisaient des critiques ? Bon peut être pas les superstars comme SuperJuro, mais du moins, nous, les pustuleux confinés dans cette partie confidentielle mais malgré tout aéeré du site ?
La plupart diront quils cherchent à faire découvrire leur passion, que le net permet léchange dinformations entre les hommes de bonnes volontés et tout ça. Mais cest faux, toujours, en fait chaque critique à une genèse unique, des circonstances qui font quelle est comme elle, qui font du critiqueur amateur plus quun simple rapporteur dune uvre, mais qui, pour un temps, le transforme en témoin de son époque. Elle marque dune pierre blanche virtuelle un jour. Cest en fait une histoire, un récit, une épopée, du gonzo.
La critique qui suit raconte des événements passés et, euh, un peu moins passé, qui se sont déroulé à Lyon en France, du 17 au 21 Mars 2006, je prierais mon lectorat de couper leur téléphone portable pendant leur lecture.
The golden Age of grotesque ! Ah ah ! Mais jadoooorrreee ce titre, quel phénoménale subtilité que voilà !
-Vraiment taime ça le métal ?
La jhésite, je peux dire quelques propos subtil genre : « Ouais, mais jaime manger mes défécations aussi. » ou alors montrez ladmiration que japprouve pour une personne sensible à ce genre musical : « Ce CD tu te le fous là où le soleil ne brille jamais ».
Mais jugeant ces propos quelques peu inconvenant pour une dame je me modérais :
-Le métal ! Bien sûr je suis tombé dedans étant petit, mais cest surtout Marylin Manson dont je suis fan, Ce mélange de dérision dans une étreinte de limmortalité du rock a limagerie Gothique tel quévoqué par Matthew Lewis est une représentation extatique dune sorte, euh, proche du courant quon appelle en peinture le suprastructuralisme »
A ceux qui me dise, « mais Vet ! Quest ce que tu veux que je dise, jen ai jamais entendu parler de ce truc ! » Et bien il suffit de parler de chose dont les autres nont jamais entendu parler nont plus. Et voilà, dailleurs jai jamais lu Matthew Lewis, et quune vague idée du suprastructuralisme si ça sappelle bien comme ça.
« -Ah ouais Et the golden age of the grotesque tas aimer quels morceaux sinon ?
-Oh ! Et bien, en fait, tu vois, il se trouve que, bon jtexplique quoi, en fait cest pas de pot, en fait un jour jétais parti a la FNAC, et la à peine je sort de chez moi je vois un chat noir qui fonce sous une échelle et qui marche de la patte gauche antérieur sur une crotte de chien. Alors cest pas que je sois superstitieux, mais quand on voit ça et quon veut prendre des trucs sataniques cest mauvais signe, alors je me suis abstenu.
-Dingue ça ! Bah prend le CD tu verra bien, et puis jai pas déchelle, ni de chien. »
Donc me voilà avec un CD de Maylin Manson, au titre sympathique certes. Mais je navais aucune envie découter lintérieur. Du coup je part sur mon site préféré chercher une critique toute faite par un métalleux aux cheveux bien gras (plus un métalleux sy connaît plus ses cheveux son gras.) et je me retrouve avec ce truc que vous voyez en haut de topic.
Je me décidais donc den faire la critique, par générosité et altruisme certes si lon veut, mais aussi parce que comme ça jaurais des trucs tout prêt a dire.
PART II : ET PUIS LA LUMIERE FUT
Et donc voilà je dois faire la critique.
Le ridicule étant évidemment que je connais rien au métal, jai jamais aimé ça, et me voilà pourtant embarqué la-dedans. Le critique amateur débutant fera des généralité passe-partout et réussira et sen sortir sans trop de casse. Mais moi jai ma réputation, sur le chan je connais WeirdKorn qui est fan de Korn, et qui me casserait la gueule virtuellement à la moindre entorse aux stricts contrevérité métalleuse. Je peux pas non plus dire cest jolie ou cest moche, sinon on dira que ça manque de sérieux. Par conséquent, il existe une seul solution : Lattaque frontale. Ceci vaguement justifié par un brin dhumour débile, du genre MM il fond dans la bouche pas dans la main. Je pourrais toujours dire quils ont pas dhumour.
« Alors globalement peu de surprise, beaucoup de bruit assourdissant (si vous voulez des précisions demandez a quelquun avec des cheveux gras, sil arrive à articuler une phrase), Marylin a toujours la voix éraillé, (Happy birthday Mr President est bien loin) mais jaime plutôt bien sa voix, avec ses changements de ton assez suggestif qui doivent faire fantasmer le métalleux adolescent. »
Bon voilà, les métalleux se sont sans doute dit que je me foutais de leur gueule et arrêté de lire, ou alors ils posteront un truc insultant, auquel je répondrait que : « Plutôt de me chercher des poux, ils feraient mieux de regarder dans leurs cheveux ». Reste plus que les rieurs, et les anti-métalleux, et la je peux me la jouer consensuelle histoire de passer pour un type bien.
« Mais évitons les généralités sur le métal, Marylin Manson est un artiste controversé qui mérité que lon sattarde sur sa musique, et sur ses paroles.
Lintro annonce quelque chose de métallisé, dindustrielle, et puis surtout que cest un « album-concept » a priori cest en fait quand y a des transitions entre les morceaux voilà.
niveau morceau justement "This is the new shit" est peut être une parabole sur le CPE, mais bon ça ma semblé peu clair tout ça. "KA-Boom", quel horreur ! La musique est plus monstrueuse que jamais, avec des gros Ka-Boom, a la limite de lécoutable quoi, quand au texte, ça doit être du punk mélangé avec du Peter-Pan jai vite laissé tombé. Bon je passe sur les morceaux qui mont pas trop plus, en gros ça ditt « Fuck the system ».
Notons tout de même para-noir, qui doit atteindre les proportions de 50% de « fuck you » et que "The golden age of grotesque", j'en suis navré Zd, aurait tendance a me donner des maux de tête.
Niveau bien, y a « Spade » sans doute assez commercial, mais bon les ka-boom très peu pour moi. Ca semble être une métaphore de lamour dune junkie pour sa seringue à travers sa dépendance.
Mobscene est sympathique ça parle de lattraction pour lobscene, et ça me semble assez bien allé avec lui et sa musique (cest un compliment je précise). Sympathique aussi Doll-dagga buzz-buzz ziggety-zag, une espèce dhommage aux vieux du punk et du Rock N Roll.
Slutgarden, ma beaucoup amusé étant donné les raisons qui mont poussé a lécouté. Le titre parlant de lui-même je pense. Quelques intentions cachées seraient telle caché derrière ? Du genre « I will memorise the words of porno movies. » ou bien « When i mean Sweet i mean Dirty »
Menfin Marilyn Manson nest pas forcément connu pour être un fin psychologue de la psyché féminine. »
Bon voilà une critique de torché, ça convaincra pas grand monde, de toute façon jen sais trop rien si cest bien ou pas, jaime pas le métal de toute façon. Ouais, pas un truc que jécouterais forcément volontairement, mais jen mourrais pas.
Reste la stupide note a mettre, histoire de faire un clin dil aux fans dH2G2 je décide de mettre un 42 suivit dun nombre plus ou moins aléatoire pour refléter labsurdité dune note. Cest le genre de chose qui coûte rien mais ajoute une note personnelle.
« Note 42/69 »
PART III : ET ALORS IL DIT DE SE REPRODUIRE.
-Tiens au fait je te rapporte ton CD !
-Oh merci, tas pas trouver ça euh, Grotesque ?
- HAHAAAHAAHHAHAHAHAHAHAHAAAaaahahhahaHAHAHHAAHAH !!!!! Bien sur que non.
-Mais tas aimé ?
A cette minute la, à travers les brumes éthérées de mon cerveau je sortais la réponse quil fallait ni trop pédante, ni trop vulgaire :
« -Ouais, cest cool.
-Génial
-Et toi tu trouve ça comment ?
-Cool. »
Cest dans ces moments là, quon a limpression de vivre dans un roman de B.E.Ellis. Ce que jaime pas du tout comme sensation. Devrais-je dans ma critique laissez cette impression qua notre époque nexistait quune jeunesse dépravé nétant quun stéorotype fictif et mou ?!
« -Y a des trucs sacrements salé dedans quand même, non ?
-Ouais ? En fait je fais pas trop attention aux paroles jaime bien quand ça fait wiizzz wappp
-Cest sur, cest sur
Il fallait que je fasse quelque chose, latroce inertie du jmen foutisme me tiraillait, je fis donc la seul chose raisonnable a faire, je retirais le CD devant les yeux halluciné de ma darling, lenfournait dans le lecteur CD et mettait Slutgarden.
Le silence régna pendant quelques secondes puis arrivèrent les premiers bruits de basse :
I'll pretend that I want you for what is on the inside
But when I get inside I'll just want to get out
When I said we, you know, I meant me
And when I said sweet I meant dirty
.
I memorize the words to the porno movies
This is a new religion to me
.
You are the church, I am the steeple
When we f.u.c.k, we are all God's people
.
Le silence régna dans la pièce pendant toute la duré de la musique, les paroles empreignant lair. Je me demandais fragmentairement ce que Bukowsky aurait fait dans ce cas là, puis limaginant vomir sur la moquette jarrêtais.
« hum » fis-je.
«. cest de la parole quand même faut avouer. »
sweet.
La bactérie est la culture du futur !
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
Bukowsky aurait plutôt vomi sur le lecteur de CD, en fait.
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
Vet qui fait une critique de metal, on aura tout vu
Et alors ?
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
Sublime Veterini!
- nirnaetharnoediad
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- Messages : 13
- Inscription : 01 juin 2003, 16:28
Marilyn Manson: The Golden Age Of Grotesque
He is alive ! Alive !
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Whaooo apres trois ans a vivre dans une grotte au fin fond de la syberie orientale, le revoila... Ca doit etre dur non ?
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