Page 1 sur 2

L'effet vache qui rit

Publié : 28 novembre 2007, 20:56
par Danorah
Kikou tous les gens !


Un petit jeu littéraire, ça vous dirait ? On va donc appeler ce jeu "l'effet vache qui rit", même si dans l'idée c'est quand même pas tout à fait ça, enfin bref. (Ce titre n'est pas de moi, je décline toute responsabilité !)


C'est simple. Je vais vous proposer un tout petit extrait d'un livre. La première personne qui répondra choisira 3 mots de ce texte et les remplacera par une périphrase. Le suivant reprendra son texte en remplaçant 3 autres mots par des périphrases et ainsi de suite. Ca peut vite donner des trucs assez biscornus :)

Ah oui, et pour ceux qui auraient des petites hésitations, faire une périphrase, c'est remplacer un mot par un groupe de mots qui le définit (pas taper si ma définition est pas tout à fait rigoureuse :stp: ) Par exemple : éléphant = "gros animal grisâtre à la peau parcheminée muni d'une trompe émettant des barissements" Facile non ?


Voici la phrase que je vous propose pour commencer. C'est un extrait de Madame Bovary, de Flaubert :


Elle aurait voulu vivre dans quelque vieux manoir, comme ces châtelaines au long corsage, qui sous le trèfle des ogives, passaient leurs jours le coude sur la pierre et le menton dans la main, à regarder venir du fond de la campagne, un cavalier à plume blanche qui galope sur un cheval noir.


C'est peut-être trop court, ou trop long, ou trop compliqué, j'ajusterai s'il le faut. :)

Voilà, à vous de jouer maintenant ! :D

L'effet vache qui rit

Publié : 28 novembre 2007, 21:23
par valmont
Elle aurait voulu vivre dans quelque vieux [color=#ff0000;">petit château glauque, comme ces châtelaines au long corsage, qui sous le trèfle des ogives, passaient leurs jours le coude sur la pierre, et la partie saillante du visage dans la main, à regarder venir du fond de

L'effet vache qui rit

Publié : 28 novembre 2007, 21:40
par Danorah
Pourquoi hors-jeu Z ? :) C'est rigolo ce que vous avez fait tous les deux ^^


Sinon pour le bug des couleurs, c'est pas très grave, comme ça on se rappelle qui a apporté quoi au texte.


Vous pouvez aussi vous amuser à périphraser des mots contenus dans les périphrases des joueurs précédents, d'ailleurs (comme les poupées russes, ou les vaches qui rient ^^)

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 08:30
par Kei
Elle aurait voulu [color=#ff9900;">couler des jours heureux dans quelque vieux [color=#000000;">petit château glauque, comme ces vieilles hautaines au long corsage, qui sous l'équivalent végétal des fers à chevaux des bombes atomiques, passaient leurs jours le coude sur la pierre, et la partie saillante du visage dans la terminaison de son bras munie de cinq doigts, à regarder venir du fond de cet endroit verdoyant où tout le monde s'emmerde,

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 09:08
par riffhifi
Elle aurait voulu [color=#ff9900;">[color=#000000;">couler des jours heureux dans quelque vieille petite construction médiévale glauque, comme ces vieilles hautaines au long vêtement féminin avec col et manches longues qui recouvre le buste et le haut du corps en se fermant sur le devant avec des boutons, qui sous l'équivalent végétal des fers à chevaux des bombes atomiques, passaient leurs jours le coude sur la roche extraite de l'écorce terrestre, et la partie saillante du visage dans la terminaison de son bras munie de cinq doigts, à regarder venir du fond de cet endroit verdoyant où tout le monde s'emmerde, une drag-queen qui

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 09:40
par nazonfly
Elle aurait voulu couler des jours heureux dans quelque vieille petite construction médiévale *aussi verte que l'eau d'un étang*, comme ces vieilles hautaines au long vêtement féminin avec col et manches longues qui recouvre le buste et le haut du corps en se fermant sur le devant avec des boutons, qui sous l'équivalent végétal des fers à chevaux des bombes atomiques, passaient leurs jours *le point de flexion entre le bras et l'avant-bras* sur la roche extraite de l'écorce terrestre, et la partie saillante du visage dans la terminaison de son bras munie de cinq doigts, à regarder venir du fond de cet endroit verdoyant où tout le monde s'emmerde, une drag-queen qui cravache comme un fou sur un quadrupède brutal qui aime casser les jambes de acteurs *des abrutis qui se promène en slip bleu et rouge* et n'arbore aucune couleur du spectre.

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 10:18
par Wax
Elle aurait voulu couler des *intervalles séparant le lever et le coucher du soleil* heureux dans quelque vieille petite
construction médiévale aussi verte que l'eau d'un étang, comme ces
vieilles hautaines au long vêtement féminin avec col et manches longues
qui recouvre le buste et le haut du corps en se fermant sur le devant
avec des boutons, qui sous l'équivalent végétal des fers à chevaux des
bombes *basées sur la fission nucléaire d'éléments fissiles*, passaient leurs jours le point de flexion entre le
bras et l'avant-bras sur la roche extraite de l'écorce terrestre, et
la partie saillante du visage dans la terminaison de son bras munie de
cinq doigts, à regarder venir du fond de cet endroit verdoyant où tout
le monde s'emmerde, une drag-queen qui cravache comme un fou sur un
quadrupède brutal qui aime casser les *membres inférieurs à vocation notamment locomotrice* des abrutis
qui se promènent en slip bleu et rouge et n'arbore aucune couleur du
spectre.

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 11:14
par Cineman
Elle aurait voulu couler des intervalles séparant le lever et le coucher du soleil heureux dans quelque vieille petite construction médiévale aussi verte que l'eau d'un étang, comme ces vieilles hautaines au long vêtement féminin avec col et manches longues qui recouvre le buste et le haut du corps en se fermant sur le devant avec des boutons, qui sous l'équivalent végétal des fers à chevaux des bombes basées sur la fission nucléaire d'éléments fissiles, passaient leurs jours le point de flexion entre le bras et l'avant-bras sur la roche extraite de l'écorce terrestre, et la partie saillante du visage dans la terminaison de son bras munie de cinq doigts, à regarder venir du fond de cet endroit verdoyant où tout le monde s'emmerde, [color=#ff0000;">un hommes qui s'habille en femme souvent de façon exagérée ou loufoque pour amuser ou à titre d'animation , qui cravache comme un fou sur un quadrupède brutal qui aime casser les membres inférieurs à vocation notamment locomotrice des abrutis qui se promènent en culotte généralement très échancrée sur les cuisses recouvrant le bas du bassin , bleu et rouge et n'arbore aucune couleur

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 12:17
par valmont
Elle aurait voulu couler des intervalles séparant le lever et le
coucher de [color=#0000ff;">

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 14:45
par Danorah
Moi je trouve que ça commence à devenir marrant, au contraire ^^ (Il faut essayer de le lire sans reprendre sa respiration pour bien saisir le piquant de la chose :P)


Elle aurait voulu couler des intervalles séparant le lever et le coucher de l'astre qui fait [color=#ff00ff;">prendre une nuance chaude et ambrée à nos peaux heureux dans quelque vieille petite construction médiévale aussi verte que l'eau d'un étang, comme ces vieilles femmes qui pètent plus haut que leur cul au long vêtement féminin avec col et manches longues qui recouvre le buste et le haut du corps en se fermant sur le devant avec des[color=#ff00ff;"> pièces en plastique le plus souvent rondes et pourvues de trous dans lesquels les fils s'enchevêtrent, qui sous l'équivalent végétal des fers à chevaux des bombes basées sur la fission nucléaire d'éléments fissiles, passaient leurs jours le point de flexion entre le bras et l'avant-bras sur la roche extraite de l'écorce terrestre, et la partie saillante du visage dans la terminaison de son bras munie de cinq doigts, à regarder venir du fond de cet endroit verdoyant où tout le monde s'emmerde, un homme qui s'habille en femme souvent de façon exagérée ou loufoque pour amuser ou à titre d'animation, qui cravache comme un type qu'on devrait enfermer dans un asile sur un quadrupède brutal qui aime casser les membres inférieurs à vocation notamment locomotrice des abrutis qui se promènent en culotte généralement très échancrée sur les cuisses recouvrant le bas du bassin, bleu et rouge et n'arbore aucune couleur d'une source de ce sentiment humain aux effets

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 15:49
par KaSuGayZ
Ce jeu devient trop compliqué, faudrait imposer une limite.

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 17:01
par Danorah
Ca m'aurait étonnée, aussi, que Kasu ait participé sans rechigner ^^ Comme je le disais précédemment, si de l'avis général ça devient trop fouillis, on peut en recommencer un autre, à vous de me dire :)

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 17:56
par Kei
On recommence ! Non seulement ça n'a plus de sens, mais maintenant il faut beaucoup réfléchir avant de retrouver les morceaux qui ont été changés...

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 18:22
par hiddenplace
Ben c'est pas ça qui est marrant?^^ Si ce texte est encore là ce week end (ou un autre, c'est pas grave), je m'y collerais bien aussi! :D

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 19:46
par Danorah
Bon bon alors si vous en voulez un nouveau, le voilà, extrait du Vieux qui lisait des romans d'amour de Luis Sepulveda :


Le vieux se coucha dans son hamac en attendant le sommeil, bercé par la rumeur violente et monocorde de l'eau omniprésente. Antonio José Bolivar dormait peu. Jamais plus de cinq heures par nuit et de deux heures de sieste. Le reste de son temps, il le consacrait à lire les romans, à divaguer sur les mystères de l'amour et à imaginer les lieux où se passaient ces histoires.


Je vous rappelle que pour que le texte n'enfle pas trop vite, il vaut mieux se limiter à 3 périphrases par personne :)

Bon jeu !

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 20:15
par Luz
[color=#999999;">L'homme d'un age bien avancé se coucha dans son hamac en attendant le sommeil, bercé par la rumeur violente et monocorde de l'eau omniprésente. Antonio José Bolivar dormait peu. Jamais plus de quatre plus une heures par nuit et de deux heures de

L'effet vache qui rit

Publié : 29 novembre 2007, 20:35
par valmont
L'homme d'un age bien avancé
se coucha dans son filet casse-gueule en attendant le sommeil, bercé par la rumeur
violente et monocorde de l'eau omniprésente. Antonio José Bolivar
dormait peu. Jamais plus de [color=#999999;">quatre plus une heures par ce moment de la journée où on est censé fermer sa gueule et de deux heures de

L'effet vache qui rit

Publié : 30 novembre 2007, 09:47
par riffhifi
[color=#999999;">L'homme d'un âge bien avancé se coucha dans son [color=#ff0000;">filet casse-gueule en attendant la perte de conscience réparatrice idéalement peuplée de rêves épiques, bercé par la rumeur violente et monocorde de l'eau omniprésente. Antonio José Bolivar dormait peu. Jamais plus de quatre plus une fois soixante minutes par ce moment de la journée où on est censé fermer sa gueule et de deux heures de sport intense qui consiste à fermer les yeux et somnoler. Le reste de

L'effet vache qui rit

Publié : 30 novembre 2007, 10:53
par valmont
[color=#999999;">[color=#0000ff;">L'individu qui apparemment ne pense qu'avec son sexe d'un âge bien avancé se coucha dans son filet casse-gueule en attendant la perte de conscience réparatrice idéalement peuplée de rêves épiques, bercé par la fortune des magazines poubelles violente et monocorde de l'eau omniprésente. Antonio José Bolivar dormait peu. Jamais plus de quatre plus une fois soixante minutes par ce moment de la journée où on est censé fermer sa gueule et de deux heures de cette activité qu'on devrait faire plus souvent intense qui consiste à fermer les yeux et somnoler. Le reste de

L'effet vache qui rit

Publié : 30 novembre 2007, 11:09
par Luz
[color=#999999;">[color=#0000ff;">L'individu qui apparemment ne pense qu'avec son sexe d'un âge bien avancé se glissa à l'horizontal dans son filet casse-gueule en attendant la perte de conscience réparatrice idéalement peuplée de rêves épiques, bercé par la fortune des magazines poubelles violente et monocorde de l'eau omniprésente. Antonio José Bolivar dormait peu. Jamais plus de quatre plus une fois soixante minutes par ce moment de la journée où on est censé fermer sa gueule et de deux heures de cette activité qu'on devrait faire plus souvent intense qui consiste à fermer les yeux et somnoler. Le reste de sa quatrième dimension, il le consacrait à lire des pages encrées racontant une histoire, à divaguer sur les mystères de