Les larmes du soleil [Film]
Publié : 24 juillet 2003, 17:55
Histoire C'est la guerre au Nigeria. Des rebelles musulmans se sont emparés du pouvoir et entreprennent une épuration ethnique et religieuse. L'ONU ne fait rien et un petit groupe de soldats américains sont chargés de rapatrier d'autres américains se trouvant sur le sol nigérian dont surtout le docteur Lena Kendricks qui s'occupe des petits pauvres.
Critique Voilà un film qui porte bien son titre (sauf pour le soleil), alors sortez vos mouchoirs et préparez vous à chialer. Enfin, en théorie, parce qu'il faut d'abord que le sujet vous touche le sort de quelques réfugiés nigériens chrétiens (notez le bien, c'est important) dont le sort dépend de quelques soldats américains (la nationalité est aussi importante). Le film est donc parti mais il s'avère d'une lenteur et d'une simplicité navrante. Le réalisateur se contente durant le quart du film de filmer les réfugiés en gros plan, ce qui sous-entend grosses larmes, visages apeurés et gouttes de sueur. Au début çà va, mais à la fin c'est bon on a pigé. D'autant plus que le réalisateur se révèle aussi mauvais directeur d'acteurs. Les personnages ne sont pas attachants, Bruce Willis en soldat repenti n'est pas convaincant et Monica Belluci ne sait pas jouer. Côté scénario, le film se limite à une lutte du bien contre le mal où plutôt de Dieu avec les chrétiens contre les musulmans. On aura compris qui sont les gentils et qui sont les méchants, le tout avec des soldats qui meurent au ralenti sous une musique flonflon à l'américaine. Heureusement les scènes d'action sont plutôt bien faites et relèvent le niveau de cette mélasse patriotique.
Une phrase du film à retenir venant de Monica « le gentil docteur » Belluci lorsqu'elle cherche à traverser la frontière « Laissez moi passer, je suis américaine ». Ils sont rigolos ces américains (mais c'est dommage qu'ils ne soient pas comme çà qu'au cinéma).
Pour conclure patriotique, moraliste, religieux donc le résulat est vraiment pas terrible.
Critique Voilà un film qui porte bien son titre (sauf pour le soleil), alors sortez vos mouchoirs et préparez vous à chialer. Enfin, en théorie, parce qu'il faut d'abord que le sujet vous touche le sort de quelques réfugiés nigériens chrétiens (notez le bien, c'est important) dont le sort dépend de quelques soldats américains (la nationalité est aussi importante). Le film est donc parti mais il s'avère d'une lenteur et d'une simplicité navrante. Le réalisateur se contente durant le quart du film de filmer les réfugiés en gros plan, ce qui sous-entend grosses larmes, visages apeurés et gouttes de sueur. Au début çà va, mais à la fin c'est bon on a pigé. D'autant plus que le réalisateur se révèle aussi mauvais directeur d'acteurs. Les personnages ne sont pas attachants, Bruce Willis en soldat repenti n'est pas convaincant et Monica Belluci ne sait pas jouer. Côté scénario, le film se limite à une lutte du bien contre le mal où plutôt de Dieu avec les chrétiens contre les musulmans. On aura compris qui sont les gentils et qui sont les méchants, le tout avec des soldats qui meurent au ralenti sous une musique flonflon à l'américaine. Heureusement les scènes d'action sont plutôt bien faites et relèvent le niveau de cette mélasse patriotique.
Une phrase du film à retenir venant de Monica « le gentil docteur » Belluci lorsqu'elle cherche à traverser la frontière « Laissez moi passer, je suis américaine ». Ils sont rigolos ces américains (mais c'est dommage qu'ils ne soient pas comme çà qu'au cinéma).
Pour conclure patriotique, moraliste, religieux donc le résulat est vraiment pas terrible.