Hard candy (critique)
Hard candy (critique)
Synopsis:
Hayley et Jeff se sont connus sur Internet. Elle est une très belle adolescente de 14 ans, et lui un séduisant photographe trentenaire. C'est elle qui a suggéré d'aller chez lui pour être plus tranquille, elle qui a voulu qu'il prenne quelques photos, elle qui leur a servi à boire et a commencé à retirer ses vêtements...
Lorsqu'il se réveille, Jeff est ligoté et Hayley retourne tout chez lui. Elle a des questions à lui poser, et elle est décidée à obtenir des réponses. Elle sait qu'elle n'est pas la première adolescente à venir chez Jeff, elle veut découvrir ce qu'est devenue Donna Mauer.
Sur le net, elle a également appris comment on pouvait jouer avec un bistouri, et elle meurt d'envie d'essayer...
Très attendu de part son sénario allechant et pour avoir agreablement surpris les spectateurs de Deauville, Hard Candy est finalement passez inaperçu lors de sa sortie en France...C'est dommage car on tient là l'un des meilleurs, voir le meilleur, thriller de l'année...
La première qualité du film: c'est son ambiance stressante et lourde, on comprend très vite qu'on est pas en face d'un thriller comme les autres, et même si on ne voit pas une seule goute de sang on est peu être encore plus traumatisé que devant un film d'horreur "classique" et donc gore. Pourtant le tout commence très calmement, les quinzes premières minutes du film sont complétements différentes du reste, le déroulement n'est donc pas s'en nous rappeler celui de 13 Tzameti qui commençait aussi de manière banale avant de nous plongés dans un enfer sans nom. Ici le contraste entre le début et le reste du film est encore plus accentué, on à vraiment l'impression d'avoir changer de film entre temps et d'être passé d'une comédie sentimentale à un 8 clos terrifiants. Oui Hard Candy est bien un 8 clos: un lieu, deux personnages seulement, tous les deux charismatiques, tous les deux étranges et on joue un peu à "qui nous dégoute le plus?" sans pour autant trouver la réponse tant tout deux paraissent dérangers à l'extrême.
Bien entendu il fallait des acteurs de talent pour faire un 8 clos digne de ce nom et vu le caractère complexe et tortueu des personnages on se doute que ce n'était pas chose facile...Et pourtant Ellen Page est tout simplement magnifique, elle est si innocente, si jeune et si diabolique: c'est le petit chaperon rouge et son anti-thèse à la fois et, au final, l'actrice comme le personnage fascine. Même chose pour Patrick Wilson dans un rôle vraiment difficile et dans lequel il est tout simplement crédible, il nous ferait douter de sa culpabilité de part son apparence angélique et pourtant tout au long du film on sait de quoi il est capable. Là encore le personnage fascine par sa complexité et par sa dualité. Le casting est donc tout simplement parfait.
Enfin la réalisation est soignée, le montage est vif, saccadé et dérangeant tout comme le film. Les décors sont vides et mettent mal à l'aise dotant plus que les couleurs sont fades, il n'y a rien vraiment rien de rassurant là dedans et l'ambiance du film s'en ressent alors jusque dans cette maison qui joue office de lieu principal du film. Musicalement c'est vide, mais dans le bon sens du terme, cette abscence rend le tout encore plus réaliste et laisse le spectateur vraiment seul, On n'a juste le droit à des morceaux de rock qui contrastent avec ce vide par leurs violences et ce veulent encore plus stressants que l'absence de musique si fréquente. La réalisation nous fait vivre un cauchemard dont on se delecte presque honteusement!
Hard candy est donc LE thriller de l'année, histoire travaillée, personnages et acteurs fascinants et realisation de qualité compose se film hors norme qui reussit à ne pas nous faire dormir alors que le tout aurait rapidement pu tourné en rond. Une vrai réussite!
Hayley et Jeff se sont connus sur Internet. Elle est une très belle adolescente de 14 ans, et lui un séduisant photographe trentenaire. C'est elle qui a suggéré d'aller chez lui pour être plus tranquille, elle qui a voulu qu'il prenne quelques photos, elle qui leur a servi à boire et a commencé à retirer ses vêtements...
Lorsqu'il se réveille, Jeff est ligoté et Hayley retourne tout chez lui. Elle a des questions à lui poser, et elle est décidée à obtenir des réponses. Elle sait qu'elle n'est pas la première adolescente à venir chez Jeff, elle veut découvrir ce qu'est devenue Donna Mauer.
Sur le net, elle a également appris comment on pouvait jouer avec un bistouri, et elle meurt d'envie d'essayer...
Très attendu de part son sénario allechant et pour avoir agreablement surpris les spectateurs de Deauville, Hard Candy est finalement passez inaperçu lors de sa sortie en France...C'est dommage car on tient là l'un des meilleurs, voir le meilleur, thriller de l'année...
La première qualité du film: c'est son ambiance stressante et lourde, on comprend très vite qu'on est pas en face d'un thriller comme les autres, et même si on ne voit pas une seule goute de sang on est peu être encore plus traumatisé que devant un film d'horreur "classique" et donc gore. Pourtant le tout commence très calmement, les quinzes premières minutes du film sont complétements différentes du reste, le déroulement n'est donc pas s'en nous rappeler celui de 13 Tzameti qui commençait aussi de manière banale avant de nous plongés dans un enfer sans nom. Ici le contraste entre le début et le reste du film est encore plus accentué, on à vraiment l'impression d'avoir changer de film entre temps et d'être passé d'une comédie sentimentale à un 8 clos terrifiants. Oui Hard Candy est bien un 8 clos: un lieu, deux personnages seulement, tous les deux charismatiques, tous les deux étranges et on joue un peu à "qui nous dégoute le plus?" sans pour autant trouver la réponse tant tout deux paraissent dérangers à l'extrême.
Bien entendu il fallait des acteurs de talent pour faire un 8 clos digne de ce nom et vu le caractère complexe et tortueu des personnages on se doute que ce n'était pas chose facile...Et pourtant Ellen Page est tout simplement magnifique, elle est si innocente, si jeune et si diabolique: c'est le petit chaperon rouge et son anti-thèse à la fois et, au final, l'actrice comme le personnage fascine. Même chose pour Patrick Wilson dans un rôle vraiment difficile et dans lequel il est tout simplement crédible, il nous ferait douter de sa culpabilité de part son apparence angélique et pourtant tout au long du film on sait de quoi il est capable. Là encore le personnage fascine par sa complexité et par sa dualité. Le casting est donc tout simplement parfait.
Enfin la réalisation est soignée, le montage est vif, saccadé et dérangeant tout comme le film. Les décors sont vides et mettent mal à l'aise dotant plus que les couleurs sont fades, il n'y a rien vraiment rien de rassurant là dedans et l'ambiance du film s'en ressent alors jusque dans cette maison qui joue office de lieu principal du film. Musicalement c'est vide, mais dans le bon sens du terme, cette abscence rend le tout encore plus réaliste et laisse le spectateur vraiment seul, On n'a juste le droit à des morceaux de rock qui contrastent avec ce vide par leurs violences et ce veulent encore plus stressants que l'absence de musique si fréquente. La réalisation nous fait vivre un cauchemard dont on se delecte presque honteusement!
Hard candy est donc LE thriller de l'année, histoire travaillée, personnages et acteurs fascinants et realisation de qualité compose se film hors norme qui reussit à ne pas nous faire dormir alors que le tout aurait rapidement pu tourné en rond. Une vrai réussite!
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alastor78 a écrit :8 clos
:bwehe:
C'est Huis Clos. Pas 8 clos
Sinon ça a l'air d'être bien comme film. Tant de films, si peu de temps...
Rêve américain. Cauchemar indien. Pogo avec les loups.
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lol merci de me prevenir, j'avoue que je l'ignorais...
Sinon oui c'est un très bon film passé malheureusement un peu inaperçu...
Sinon oui c'est un très bon film passé malheureusement un peu inaperçu...
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obtez pour des cartes illimités ça revient vraiment pas chere et on peut voir tout ce qu'on veut. (j'ai vu près de 90 films depuis Janvier)
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alastor78 a écrit:
8 clos
C'est Huis Clos. Pas 8 clos
:bwehe: j'osais pas ^^
J'aurai bien aimé voir Hard candy, meuh l'aurait fallu un jour de repos
Le sujet en question est rarement abordé dans une fiction. si en plus c'est une franche réussite, d'après alastor, c'est à voir.
sinon, c'est vrai que dans une bone année cinématographique, la carte illimitée pourrait être bien économique.
A songer
...
Ben quoi? Oo
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alastor78 a écrit :obtez pour des cartes illimités ça revient vraiment pas chere et on peut voir tout ce qu'on veut. (j'ai vu près de 90 films depuis Janvier)
Oui enfin le cinéma "illimité" vers chez moi ne propose pas de films en VO. Et pis faut quand même trouver le temps
Enfin on nest pas sur le bon topic!
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Mouais enfin regretter pas trop, c'est un scénario vu trente-six fois (la jeune fille et la mort, ou Save the green planet plus récement), avec des dialogues pas franchements convaincant, les acteurs sont plutôt bon en fait, mais on y croit pas trop, trop artificiel souvent.
Pour le thème de la pédopholie J'irais pas jusqu'a dire que le est traité lamentablement, mais on est quand même très loin de Mystérious Skin, ou d'un film de Solondz.
A la limite, personnellement, je conseillerais nettement plus d'attendre le Dvd d'"el metodo" un huis clos corporatif sur un entretien d'embauche de groupe, bien plus original dans le thème et le traitement.
Pour le thème de la pédopholie J'irais pas jusqu'a dire que le est traité lamentablement, mais on est quand même très loin de Mystérious Skin, ou d'un film de Solondz.
A la limite, personnellement, je conseillerais nettement plus d'attendre le Dvd d'"el metodo" un huis clos corporatif sur un entretien d'embauche de groupe, bien plus original dans le thème et le traitement.
La bactérie est la culture du futur !
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si tu dis: trop artificiel, ou "on y croit pas trop", il serait bien d'argumenter parce que je ne vois pas où tu veux en venir...
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J''avais déjà donné mon avis après celui de Vincent, donc j'ai un petit peu la flemme de redébattre^^... mais je crois que je comprends en quoi Vet trouve que certains dialogues et certaines scènes font artificiel : notamment le manque de crédibilité du personnage de la petite, parceque trop "parfait" (je ne sais pas si je suis claire^^) Attention, je n'ai pas dit qu'Ellen Page jouait mal, au contraire, on sent à chaque plan son investissement, mais une gamine de 14 ans de cette trempe, même pour servir un parti pris fort comme ici, ça fait un peu too much, je trouve (et du coup ça édulcore le personnage de Jeff... enfin je répète ce que j'avais dit, donc j'arrête )
Critique sympathique, par ailleurs
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alastor78 a écrit :si tu dis: trop artificiel, ou "on y croit pas trop", il serait bien d'argumenter parce que je ne vois pas où tu veux en venir...
Tu prend a gauche, place Bellecour à droite et enfin à gauche au grand croisement, et tu vois le grand bâtiment. Et ben cest là que ou je voulais aller.
Sinon, pour être plus précis, lexemple le plus frappant est lorsque la folle fait semblant dêtre convaincu quelle a des problèmes. Le problème est pas quelle est pas coinvancante, mais que le script (je peux pas le citer, je men souviens plus trop) ne convaincrait personne de rien. (Je pense faire référence au même passage que la totorette1 finnallement.)
Mais bon de manière plus globale, comme le dit élégament HiddenPLace, la folle se comporte nimporte comment (a la limite se serait normal pour une folle), mais là elle agit des fois comme une fillette, dautre fois comme la représentante dune association anti-pédophilie, et dautre fois comme une entité omnisciente
Quand au type, qui est censé être plutôt machiavélique, il fait quand même leffet dêtre une grosse tâche, mais je dis ça entre nous.
Mouais, c'est sympa comme critique. M'enfin annoncé le Thriller de l'année en octobre, même si on a aimé, c'est un peu prématuré. (Le prestige ça va grave dépotter, je vous le prédit...)
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Ps après relecture du message lointain de Totorette 1er : Un digital colorist c'est quelqu'un qui peint avec ses doigts en se mettant de la peinture dessus, non ?
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Si c'est ça être "digital colorist", alors j'en suis une qui s'ignore
Ca existe "nose colorist", pour celui ou celle qui peint avec son nez?
Désolée, Alastor (Maugrey Fol Oeil? :stp::stp: ), on arrête, on va pas te bousiller ton topic, quand même
Ca existe "nose colorist", pour celui ou celle qui peint avec son nez?
Désolée, Alastor (Maugrey Fol Oeil? :stp::stp: ), on arrête, on va pas te bousiller ton topic, quand même
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après octobre il ne reste que novembre et décembre, je pense que ce n'est pas si tôt mais là n'est pas le principal.
En ce qui concerne la crédibilité de l'héroïne je comprends ton points de vue mais je ne le partage pas.
Je pense que ce "surréalisme" (appelons le comme cela) est volontaire de la part de l'auteur, après tout son but est de nous présenté un anti-chaperon rouge, il se doit donc d'être à la fois angélique et diabolique.
Quand aux dialogues justement je trouve que le côté infantile de ceux-ci créaient un malaise. De plus cela renforce la dualité du personnage de manière à ce qu'on ne sache pas trop quoi en penser...
Pour ce qui est de l'homme c'est ) peu près la même chose mais le procédé est inversé. On prend un criminel et on le rend sympathique...Alors certes il reste un criminel mais on ne peut s'empecher de douter de ses actes, on lui accorde le bénéfice du doute...
En ce qui concerne la crédibilité de l'héroïne je comprends ton points de vue mais je ne le partage pas.
Je pense que ce "surréalisme" (appelons le comme cela) est volontaire de la part de l'auteur, après tout son but est de nous présenté un anti-chaperon rouge, il se doit donc d'être à la fois angélique et diabolique.
Quand aux dialogues justement je trouve que le côté infantile de ceux-ci créaient un malaise. De plus cela renforce la dualité du personnage de manière à ce qu'on ne sache pas trop quoi en penser...
Pour ce qui est de l'homme c'est ) peu près la même chose mais le procédé est inversé. On prend un criminel et on le rend sympathique...Alors certes il reste un criminel mais on ne peut s'empecher de douter de ses actes, on lui accorde le bénéfice du doute...
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Personnellement je ne le trouve pas spécialement sympathique, le bonhomme. Je n'aurais pas été jusqu'à "grosse tâche" comme l'a dit Vet mais en tout cas, vraiment maladroit.
Pour quelqu'un de supposé calculateur et "précautionneux" (puisqu'il a réussi à mener son activité malsaine au nez et à la barbe du reste du monde (sauf de la "petite chaperonne rouge"), je le trouve ici bien naïf et peu imaginatif.
Et du coup je trouve le rôle que l'on octroie à l'adolescente bien trop ambitieux, en plus on se demande quel est son réel intérêt dans cette histoire (à part assouvir justement ses pulsions de justicière en risquant outrageusment sa peau...)
edit: par contre pour revenir à l'idée de petit chaperon rouge, je trouve l'affiche très belle et très efficace:
Pour quelqu'un de supposé calculateur et "précautionneux" (puisqu'il a réussi à mener son activité malsaine au nez et à la barbe du reste du monde (sauf de la "petite chaperonne rouge"), je le trouve ici bien naïf et peu imaginatif.
Et du coup je trouve le rôle que l'on octroie à l'adolescente bien trop ambitieux, en plus on se demande quel est son réel intérêt dans cette histoire (à part assouvir justement ses pulsions de justicière en risquant outrageusment sa peau...)
edit: par contre pour revenir à l'idée de petit chaperon rouge, je trouve l'affiche très belle et très efficace:
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Désolée, Alastor (Maugrey Fol Oeil? ), on arrête, on va pas te bousiller ton topic, quand même
non pas fol oeil (plutôt le démon alastor, voir celui de devil may cry si vous préferez)
Il n'y a pas de mal, chacun à le droit de donné son point de vue, où est l'interet d'un topic sinon?
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Je me demande dans quelle mesure le jeu de l'actrice n'est pas volontairement artificiel, vu qu'au final, le personnage est sencé jouer un role de petite fille innocente et un peu allumeuse pour séduire le pédophile. La fin du film explique bien que la fille veut se poser en stéréotype (rappelez vous du dialogue final), ce qui expliquerait son jeu un peu surfait.
En plus, le personnage est clairement un mix entre petite fille joueuse (son gout pour la mise en scene) et carrément sournoise (son objectif réel), et bon, vu sous cet angle, la performance tient la route. Maintenant il est clair que nous n'avons pas l'actrice du siécle, mais elle rempli assez bien son contrat.
Quant au film, j'en garde un souvenir sympathique, mais peut etre pas aussi extasié que celui d'alastor (d'ailleurs t'es au courant que l'Officiel des Spectacles à pompé sur ta critique pour le résumé du film?)
En plus, le personnage est clairement un mix entre petite fille joueuse (son gout pour la mise en scene) et carrément sournoise (son objectif réel), et bon, vu sous cet angle, la performance tient la route. Maintenant il est clair que nous n'avons pas l'actrice du siécle, mais elle rempli assez bien son contrat.
Quant au film, j'en garde un souvenir sympathique, mais peut etre pas aussi extasié que celui d'alastor (d'ailleurs t'es au courant que l'Officiel des Spectacles à pompé sur ta critique pour le résumé du film?)
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Jade a écrit :(d'ailleurs t'es au courant que l'Officiel des Spectacles à pompé sur ta critique pour le résumé du film?)
Lol, j'osais pas le dire, de peur de faire encore ma "justicière" moi aussi, mais j'avais remarqué que le résumé que tu as mis Alastor, est un peu le résumé que l'on voit partout pour le film (je crois que je l'ai aussi vu sur Allociné)
Je pense donc qu'il est IMPERATIF, quand on cite des articles d'ailleurs, de citer ses sources. Mais bon, j'ai l'impression de radoter parfois, donc je suis contente de pas l'avoir dit la première cette fois-ci^^
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a oui désolé j'ai pris le synopsis qu'on voit sur allociné quand j'ai fais ma critique sur un blog allociné, et comme j'ai simplement fait un copier coller de la critique de mon blog, j'ai oublié de mettre la source (allociné) pour le synopsis.
Mais je crois que en plus c'est le synopsis officiel donc je sais pas trop quel source mettre
Mais je crois que en plus c'est le synopsis officiel donc je sais pas trop quel source mettre
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