Oui je sais je suis un petit peu en retard mais je rappelle à tous ceux qui ne l'ont pas encore vu: Les Temps Modernes, tourné par un certain Charlie Chaplin en 1936 et dont j'ai rédigé la critique il y a quelques temps, ressort dans quelques salles de France et de Navarre.
Voilà, voilà... Ah oui, j'oubliais: ce film est un véritable chef d'oeuvre du cinéma classique et moderne. Un film que tout cinéphile se doit bien entendu d'avoir vu au moins une fois. 8)8)
http://www.krinein.com/critiques/743.php
4 juin- Chaplin
4 juin- Chaplin
Pour Figo et tous les fans de Chaplin, le site Chaplinmuseum.com vous fait découvrir un musée dédié à Chaplin (Suisse, au Domaine de Ban), on y trouve objets évocateurs, clichés de films, photos etc.
Bonne visite!!
http://www.chaplinmuseum.com/index_fr.html
Bonne visite!!
http://www.chaplinmuseum.com/index_fr.html
4 juin- Chaplin
"Les Temps Modernes" est le Chaplin que je préfère, très visionnaire ce film !
J'aime beaucoup "le Dictateur", même si, dans le style comédie-qui-réussit-à-faire-rire-même-avec-un-sujet-aussi-grave-que-le-nazisme, je trouve "To be or not to be" de Lubitsch largement supérieur, cela étant du au fait que je trouve que Chaplin est plus un personnage cinématographique exceptionnel qu'un cinéaste.
Et si vous aimez les black comedies, essayez "Monsieur Verdoux", un Chaplin au premier abords déroutant et inhabituel, mais finalement pas si déroutant que ça quand on connait un peu la vie de Chaplin.
Banane
J'aime beaucoup "le Dictateur", même si, dans le style comédie-qui-réussit-à-faire-rire-même-avec-un-sujet-aussi-grave-que-le-nazisme, je trouve "To be or not to be" de Lubitsch largement supérieur, cela étant du au fait que je trouve que Chaplin est plus un personnage cinématographique exceptionnel qu'un cinéaste.
Et si vous aimez les black comedies, essayez "Monsieur Verdoux", un Chaplin au premier abords déroutant et inhabituel, mais finalement pas si déroutant que ça quand on connait un peu la vie de Chaplin.
Banane
4 juin- Chaplin
Bon bah là c'était encore moi qui parlait... excusations les plus distinguées.
4 juin- Chaplin
Oh un sujet sur Chaplin : ) Il a bercé mon enfance (euh les rediffs parce que je suis pas si vieille que ça).
Il y a quelques semaines j'ai vu un document formidable qui est passé sur la RTBF, une chaîne belge. Ca s'appelait "Chaplin-Hitler, le vagabond et le dictateur". Un document vraiment intéressant.
On y voit le parallèle et les destins croisés de ces deux personnages contemporains, des images en couleurs du tournage du dictateur par le frère de Chaplin, les raisons du film, l'historique, les réactions nazies, Hitler s'est fait projeter le film 2 fois, on ne connait pas ses réactions, c'était des projections privées.
En même temps le document parlait du contexte économique et social de l'époque, du courage de Chaplin à faire des films en apparence drôles mais dont les messages et les symboles contre une certaine société ou des personnages étaient bien présents et évidents comme pour les temps modernes où il fustigeait Ford et ses usines (d'ailleurs le patron dans le film est très ressemblant à ford). Dans le dictateur le discours final n'est plus le discours du personnage du film dans un scénario, mais le propre discours de Charles Chaplin directement adressé aux spectateurs.
Pour ce film, Chapli a subi des pressions énormes, mais il a tout financé et est allé jusqu'au bout.
Il y a quelques semaines j'ai vu un document formidable qui est passé sur la RTBF, une chaîne belge. Ca s'appelait "Chaplin-Hitler, le vagabond et le dictateur". Un document vraiment intéressant.
On y voit le parallèle et les destins croisés de ces deux personnages contemporains, des images en couleurs du tournage du dictateur par le frère de Chaplin, les raisons du film, l'historique, les réactions nazies, Hitler s'est fait projeter le film 2 fois, on ne connait pas ses réactions, c'était des projections privées.
En même temps le document parlait du contexte économique et social de l'époque, du courage de Chaplin à faire des films en apparence drôles mais dont les messages et les symboles contre une certaine société ou des personnages étaient bien présents et évidents comme pour les temps modernes où il fustigeait Ford et ses usines (d'ailleurs le patron dans le film est très ressemblant à ford). Dans le dictateur le discours final n'est plus le discours du personnage du film dans un scénario, mais le propre discours de Charles Chaplin directement adressé aux spectateurs.
Pour ce film, Chapli a subi des pressions énormes, mais il a tout financé et est allé jusqu'au bout.
Enter again the sweet forest, Enter the hot dream, Come with us, Everything is broken up and dances.
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