En clair, les sociétés d'auteurs et producteurs de disque vont pouvoir elles-même repérer les internautes qui partagent un peu trop goulument leur répertoire musicale.
On se dit que de cette façon, on pourra, en cas d'infraction, recevoir un joli mail d'avertissement au lieu d'aller pourrir en prison ? Et bien non, cela impliquerait que lesdites sociétés récupèrent des emails auprès des f.a.i.
Ce sera donc soit une plainte, soit rien du tout. Sympa
![what ? :)](./images/smilies/smile.gif)
De toute façon, on vous le répète, pirater c'est mal, ça peut faire mourir les auteurs de faim.
Par contre, tout cela implique que les sociétés d'auteurs et de producteurs de disque vont se mettre à surveiller (automatiquement) tout ce qui se passe sur les réseaux p2p, et qu'elles en auront le droit... même si vous ne faites rien d'illégal. Un bon moyen de recueillir toutes sortes de statistiques et d'infos.
On peut tout de même se demander comment la surveillance répressive va s'organiser. Mise en place de filtre d'analyse des contenus et des volumes ? Détection sur mots clefs ? On n'en sait encore rien...
La surveillance continue c'est bon, mangez en !