Chez les Bitmap Brothers, on a coutume de réaliser un hit, puis d'hiberner longtemps, longtemps, avant d'en sortir un autre histoire de refaire ses provisions. Pire que chez Blizzard. Les premiers hits des Bitmap Brothers étaient les Xenon, du temps de la préhistoire informatique, de bons shoot'em Up à la R-type, puis longue periode de calme, avant de sortir les Speedball, du temps du moyen-age informatique (puis ils enchaineront avec Gods, Magic Poket, Chaos-engine et les Z ).
Speedball, c'est un jeu de sport, mélange de football et de handball, où une équipe de guerrieros en affronte une autre dans une arène futuriste, et pour lequel tout les coups sont permis. Ainsi, le joueur qui porte la balle peut la lancer à un coéquiper, puis balancer un bon coup de boule au joueur adverse, et reprendre la balle pour aller la loger dans les buts, mais il peut aussi se faire tacler avant, pendant, ou après son lancer, et une fois à terre, se faire achever à coups de tatanes. La partie est alors interrompue le temps d'envoyer ce qu'il en reste à l'hosto.
Hormis cette légère brutalité ludique, Speedball possède aussi un niveau de gestion. Avec les gains ammassés au cours d'un tournois, on peut gérer son équipe en améliorant les caractéristiques d'un ou plusieurs joueurs, en vendant ses éclopés, ou en recrutant des super-stars.
Speedball nous arrive donc dans une version remaniée, après une dizaine d'années d'hibernation, entièrement en 3D, sur PC et consoles.
Site officiel :
[url=http://www.speedball2.com" title="speedball2">www.
(Mais en fait je foudrait un smiley qui bave.)
Quoi ! Avec le bonus de la balle qui tue et tout 
Et aussi avec l'effet que tu fais en forçant avec le joystick, effet dit du "après ça j'm'en rachète un neuf, de toute façon". C'était surtout l'occasion de laminer son frangin sur le même ordis : "tu vois c'est toi qui fait la vaisselle, j'te l'avais dit !"