je l'avais dit à jade et dawa que je le ferais en rentrant du ciné et je suis en train de le faire, la critique du film les choristes et c'est une drole de chose que je suis en train de faire...
ben oui,souvenez-vous pour la sortie d'amelie poulain, tout le monde en as dit du bien et quand je suis allez le voir je m'attendais à un truc enorme ressentir de l'emotion,pleurer je sais pas moi tout lemonde disait que c'etait LE film du bonheur et à trop en parler on à gacher ce plaisir...
et donc je ne veux pas gacher ce plaisir qu'est la projection des "choristes"
et comment traduire un tel panel de sentiment ressenti par des mots alors que la musique du film les retranscrits si bien avec une telle justesse, un travail d'orfèvre à tout point de vue...
oui c'est gentil,oui c'est cousu de fil blanc MAIS OUI QUE C'EST BEAU et que c'est bon ces jeunes talents ce gérard jugno, ce kad meconnaisable et cette musique oh oui cette musique qui vous prend par le bras et vous guide durant cette 1h30 trop courte ou il n'y pas assez de musique justement...
mais quel orfevre que ce gerard jugnot quel magie quel film epatant tout simplement
mais je m'arrete car je vois que vous n'etes deja plus là,vous avez raison courez-y le voir ce film
les choristes [film]
-
Jesuswasapunk
- Messages : 0
- Inscription : 14 février 2004, 13:02
les choristes [film]
je voçulais déjà le voir ce film mais après cette superbe critique j'y cours
enfin si je peux ...
enfin si je peux ...
-
Jesuswasapunk
- Messages : 0
- Inscription : 14 février 2004, 13:02
les choristes [film]
J'EN DIT QUE TU AS RAISON !!! 
les choristes [film]
andré a écrit :Aussi bien J'AFFIRME que jugnot est un grand acteur, et vous pourrez dire ce que vous voulez je m'en fiche
Jugnot n'est pas grand!!! Il est petit et chauve
Rêve américain. Cauchemar indien. Pogo avec les loups.
les choristes [film]
Jesuswasapunk a écrit :je voçulais déjà le voir ce film mais après cette superbe critique j'y cours
enfin si je peux ...
merci mon talent est immense
les choristes [film]
J'ai trouvé ce petit film bien fait et émouvant et en même temps marrant ... un Gérard Jugnot magnifique, en bref, un bon petit film français à voir !
les choristes [film]
Moi j'ai adoré!
J'adore le gamin qui dit: "Je connais pas de chanson", comment il ds'appelle déjà?
J'adore le gamin qui dit: "Je connais pas de chanson", comment il ds'appelle déjà?
les choristes [film]
il s'appelle pepeto ou pepito, cheplu ! 
les choristes [film]
Pépinot joué par Maxence Perrin!
Trop trip ce ptit gars!
Trop trip ce ptit gars!
les choristes [film]
ah oui c'est ca! oui, il joue bien ce gosse!
les choristes [film]
Carrément!
J'espére que Jugnot va le prendre sous son aile pour qu'il fasse pas de la merde aprés ce succés!
J'espére que Jugnot va le prendre sous son aile pour qu'il fasse pas de la merde aprés ce succés!
les choristes [film]
ouais qui sait ... mais tu sais les gosses, il faut aussi qu'ils aillent à l'ecole!
-
hiddenplace
- totoro dodendron
- Messages : 746
- Inscription : 26 novembre 2003, 21:19
- Contact :
les choristes [film]
Je relance le topic, car j'ai vu les Choristes cette semaine (merci le bouche à oreilles favorable)...
Eh bien, non Ninjardin, ni le bouche à oreille ni ta critique enthousiaste n'ont entamé le grand plaisir que j'ai éprouvé pdt ce film.
Les enfants sont tous très attachants, Gérard Jugnot très fort dans ce rôle, et en effet, je crois que je vais finir par m'acheter la BO. Je trouve de plus que le film soulève des questionnements tout en apportant des réponses (ce n'est pas qu'une comédie familiale!) à savoir, comment repêcher des enfants qui ont perdu presque tous leurs repères; ce n'est alors plus un cliché de dire que la musique adoucit les moeurs, et je pense sincèrement que rendre des enfants créatifs et attirer leur attention sur leurs talents et les développer, ce n'est pas complètement dérisoire...
Certes, dans ce film, la situation est idyllique; mais en règle générale, l'art (toutes les formes d'art) ne sert pas qu'à décorer, je pense sincèrement qu'il peut construire quelqu'un, même à moindre échelle.
J'aimerais voir le film original (La cage aux rossignols, si mes souvenirs sont bons), car je crois et qu'il doit être quand même bien différent et qu'il serait intéressant de le mettre en parallèle avec les Choristes (d'ailleurs, est-ce en regard de La cage au Rossignols que les Choristes est en fait fondé sur un souvenir des protagonistes, remontant à 1949?).
J'ai de la chance, La cage aux rossignols est projeté dans une salle à Paris, profitons-en!
Eh bien, non Ninjardin, ni le bouche à oreille ni ta critique enthousiaste n'ont entamé le grand plaisir que j'ai éprouvé pdt ce film.
Les enfants sont tous très attachants, Gérard Jugnot très fort dans ce rôle, et en effet, je crois que je vais finir par m'acheter la BO. Je trouve de plus que le film soulève des questionnements tout en apportant des réponses (ce n'est pas qu'une comédie familiale!) à savoir, comment repêcher des enfants qui ont perdu presque tous leurs repères; ce n'est alors plus un cliché de dire que la musique adoucit les moeurs, et je pense sincèrement que rendre des enfants créatifs et attirer leur attention sur leurs talents et les développer, ce n'est pas complètement dérisoire...
Certes, dans ce film, la situation est idyllique; mais en règle générale, l'art (toutes les formes d'art) ne sert pas qu'à décorer, je pense sincèrement qu'il peut construire quelqu'un, même à moindre échelle.
J'aimerais voir le film original (La cage aux rossignols, si mes souvenirs sont bons), car je crois et qu'il doit être quand même bien différent et qu'il serait intéressant de le mettre en parallèle avec les Choristes (d'ailleurs, est-ce en regard de La cage au Rossignols que les Choristes est en fait fondé sur un souvenir des protagonistes, remontant à 1949?).
J'ai de la chance, La cage aux rossignols est projeté dans une salle à Paris, profitons-en!
les choristes [film]
Les Choristes
Réalisation : Christophe Barratier
Avec : Gérard Jugnot, François Berléand, Jacques Perrin, Jean-Baptiste Maunier, Kad Merad
Genre : Comédie
Durée : 95 mn
Un flash-back riche en émotions.
New York, de nos jours. Quelques instants avant dentrer en scène, Pierre Morhange (Jacques Perrin), grand chef dorchestre, se concentre allongé sur un sofa. On lui annonce alors que sa mère sest éteinte, en France, et cest lair impassible mais le cur sans nul doute déchiré quil dirige ses musiciens. A son retour au pays natal, un homme vient lui rendre visite, la soixantaine grisonnante, comme lui. Il se nomme Pépinot et tous deux ont en commun davoir fréquenté le même pensionnat il y a de cela cinquante ans : « Fond de lEtang ». Se plaisant à retrouver leur visage juvénile dantan sur une photo vieillie, ils en viennent à parler de leur ancien pion, un certain Clément Mathieu. Cest dailleurs lobjet de la visite de Pépinot : remettre à Morhange ce qui lui revient, le journal que Mathieu a tenu durant son séjour à Fond de lEtang. Alors que le chef dorchestre tourne la première page de ce journal, il nous dirige loin en arrière et nous nous retrouvons propulsés au 15 janvier 1949, dans cet « internat de rééducation réservé à des enfants en difficulté », le jour où Clément Mathieu, après plusieurs années déchec professionnel, arrive aux grilles du Fond de lEtang.
Je vous parle dun temps...
... que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Derrière les grilles de ce pensionnat, nous découvrons avec Clément Mathieu, interprété par Gérard Jugnot, un environnement des plus austères, tant par la nature inhospitalière des murs qui nous entourent que par lacariâtreté et la méchanceté gratuite de celui qui règne en maître sur ces lieux, le directeur Rachin (François Berléand qui joue ici de manière efficace). Toute humanité semble avoir disparu. Les gamins, en mal de vivre et pour la plupart orphelins, subissent la loi de l « action réaction ». Entendez par là, une répression sévère, unique réponse aux débordements intempestifs. Ce qui est formidable dans ce film, cest la manière avec laquelle le réalisateur a su rendre ce manque dhumanité aussi intense. Il faut savoir que le fait de situer laction du film en 1949 nest pas anodin. Cest en effet durant laprès-guerre que sont apparues les fameuses maisons de correction. Entre corvée de ménage, mise au cachot et autres sévices corporels, les sanctions ne manquent pas... Pourtant, Mathieu va tenter de transgresser ces règles pénitentiaires.
La musique adoucit les murs.
Comment réveiller la sensibilité chez ceux qui semblent en être exempts et dont le quotidien ne se résume quà brutalité, impolitesse et rigueur ? Est-il possible de faire revivre linnocence de ces enfants perdus sentimentalement ? Face à ces questions, Clément Mathieu ne dispose pas de réponses assurées mais lespoir, que dis-je lespoir... la foi, va le faire croire en ces gamins. Modeste compositeur, il tente de transmettre son amour pour la musique en créant une chorale. Là repose tout le charme de ce film authentique. La musique est signée Bruno Coulais (à qui lon doit également la bande originale de films tels que Le peuple migrateur, Les rivières pourpres, Himalaya lenfance dun chef et Microcosmos) et colore le film de mélodies riches en émotions. Une voix vous fera frémir : celle de Jean-Baptiste Maunier qui tient le rôle de François Morhange jeune. Cristallin et dépouillé de toute fioriture, le timbre de ce gamin de douze ans frappe par sa pureté. Tous les chants sont dailleurs dune telle qualité et si bien intégrés à lhistoire quon en oublie presque la poncivité du scénario.
Des acteurs irréprochables, une musique céleste et transcendante, il nen fallait pas plus pour que Les Choristes rencontre un tel succès auprès du public français. Gérard Jugnot, débordant de sincérité et dhumanité, est formidable en surveillant romantique. Si le film vous plaît, nul doute que le CD de la bande originale aura très prochainement sa place sur lune de vos étagères. Et ceux qui doutent encore que la musique procure une âme aux films trouveront ici une implacable preuve...
Note : 7.2/10
Réalisation : Christophe Barratier
Avec : Gérard Jugnot, François Berléand, Jacques Perrin, Jean-Baptiste Maunier, Kad Merad
Genre : Comédie
Durée : 95 mn
Un flash-back riche en émotions.
New York, de nos jours. Quelques instants avant dentrer en scène, Pierre Morhange (Jacques Perrin), grand chef dorchestre, se concentre allongé sur un sofa. On lui annonce alors que sa mère sest éteinte, en France, et cest lair impassible mais le cur sans nul doute déchiré quil dirige ses musiciens. A son retour au pays natal, un homme vient lui rendre visite, la soixantaine grisonnante, comme lui. Il se nomme Pépinot et tous deux ont en commun davoir fréquenté le même pensionnat il y a de cela cinquante ans : « Fond de lEtang ». Se plaisant à retrouver leur visage juvénile dantan sur une photo vieillie, ils en viennent à parler de leur ancien pion, un certain Clément Mathieu. Cest dailleurs lobjet de la visite de Pépinot : remettre à Morhange ce qui lui revient, le journal que Mathieu a tenu durant son séjour à Fond de lEtang. Alors que le chef dorchestre tourne la première page de ce journal, il nous dirige loin en arrière et nous nous retrouvons propulsés au 15 janvier 1949, dans cet « internat de rééducation réservé à des enfants en difficulté », le jour où Clément Mathieu, après plusieurs années déchec professionnel, arrive aux grilles du Fond de lEtang.
Je vous parle dun temps...
... que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Derrière les grilles de ce pensionnat, nous découvrons avec Clément Mathieu, interprété par Gérard Jugnot, un environnement des plus austères, tant par la nature inhospitalière des murs qui nous entourent que par lacariâtreté et la méchanceté gratuite de celui qui règne en maître sur ces lieux, le directeur Rachin (François Berléand qui joue ici de manière efficace). Toute humanité semble avoir disparu. Les gamins, en mal de vivre et pour la plupart orphelins, subissent la loi de l « action réaction ». Entendez par là, une répression sévère, unique réponse aux débordements intempestifs. Ce qui est formidable dans ce film, cest la manière avec laquelle le réalisateur a su rendre ce manque dhumanité aussi intense. Il faut savoir que le fait de situer laction du film en 1949 nest pas anodin. Cest en effet durant laprès-guerre que sont apparues les fameuses maisons de correction. Entre corvée de ménage, mise au cachot et autres sévices corporels, les sanctions ne manquent pas... Pourtant, Mathieu va tenter de transgresser ces règles pénitentiaires.
La musique adoucit les murs.
Comment réveiller la sensibilité chez ceux qui semblent en être exempts et dont le quotidien ne se résume quà brutalité, impolitesse et rigueur ? Est-il possible de faire revivre linnocence de ces enfants perdus sentimentalement ? Face à ces questions, Clément Mathieu ne dispose pas de réponses assurées mais lespoir, que dis-je lespoir... la foi, va le faire croire en ces gamins. Modeste compositeur, il tente de transmettre son amour pour la musique en créant une chorale. Là repose tout le charme de ce film authentique. La musique est signée Bruno Coulais (à qui lon doit également la bande originale de films tels que Le peuple migrateur, Les rivières pourpres, Himalaya lenfance dun chef et Microcosmos) et colore le film de mélodies riches en émotions. Une voix vous fera frémir : celle de Jean-Baptiste Maunier qui tient le rôle de François Morhange jeune. Cristallin et dépouillé de toute fioriture, le timbre de ce gamin de douze ans frappe par sa pureté. Tous les chants sont dailleurs dune telle qualité et si bien intégrés à lhistoire quon en oublie presque la poncivité du scénario.
Des acteurs irréprochables, une musique céleste et transcendante, il nen fallait pas plus pour que Les Choristes rencontre un tel succès auprès du public français. Gérard Jugnot, débordant de sincérité et dhumanité, est formidable en surveillant romantique. Si le film vous plaît, nul doute que le CD de la bande originale aura très prochainement sa place sur lune de vos étagères. Et ceux qui doutent encore que la musique procure une âme aux films trouveront ici une implacable preuve...
Note : 7.2/10
les choristes [film]
jolie critique, presque aussi belle que la mienne 
les choristes [film]
hiddenplace a écrit : J'aimerais voir le film original (La cage aux rossignols, si mes souvenirs sont bons), car je crois et qu'il doit être quand même bien différent et qu'il serait intéressant de le mettre en parallèle avec les Choristes (d'ailleurs, est-ce en regard de La cage au Rossignols que les Choristes est en fait fondé sur un souvenir des protagonistes, remontant à 1949?).
J'ai de la chance, La cage aux rossignols est projeté dans une salle à Paris, profitons-en!
J'ai vu la "cage aux rossignols" c'est renversant! A part l'introduction (qui est un peu plus longue) et les 3 dernières minutes du film les 2 films ont à de très legers détails pret la même intrigue à 60 ans d'interval !
Autant de sensibilité dans les 2 versions. Noel Noel est aussi émouvant que Jugnot (en moins chauve). Les second rôles sont eux aussi tout aussi réussis. Seul le jeu des enfants à un petit peu vieilli en regard des canons actuels.
In fine la seule différence notable réside dans la bande son.
Cela pose une problématique bien intéressante : 2 films quasi identique aussi bien réalisés et joués : l'un est un énorme succès l'autre est passé sans laissé de traces dans la mémoire du public
les choristes [film]
Je suis d'accord avec vous, Les Choristes est un excellent film, voire LE film français de l'année.... mais p.... qu'est ce qu'on n'arrête pas d'en parler. Un peu beaucoup trop à mon goût... Il ne doit pas se passer deux jours sans qu'on nous passe un extrait à la radio, en nous rabbatant les oreilles avec ce film, et que la musique est belle (oui c'est vrai !), et le Cd vient de sortir, et que le film est beau, et que le DVD est sorti pour Noël et que c'est la meilleur vente de DVD des fêtes...... sans oublier (ça date un peu mais bon !) l'émission TV sur les chorales (comme si elles n'avaient jamais existées avant la sortie du film !!) avec Monsieur Jugnot et ses choristes (qui n'ont d'ailleurs fait qu'une très brêves apparitions)....
Bon allez c'est bon !! Je le répète : Les Choristes est un excellent film, cousu de film blanc comme il a été dit plus haut. Si vous ne l'avez pas encore vu (si ! si ! y'en a encore qui ne l'ont pas vu), je le conseille aussi, c'est un bon moment de détente. Mais franchement ça s'arrête là !
Quenath
Bon allez c'est bon !! Je le répète : Les Choristes est un excellent film, cousu de film blanc comme il a été dit plus haut. Si vous ne l'avez pas encore vu (si ! si ! y'en a encore qui ne l'ont pas vu), je le conseille aussi, c'est un bon moment de détente. Mais franchement ça s'arrête là !
Quenath
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 2 invités