D'amour je ne parlerais plus
Le flot depuis longtemps s'est tarri,
L'amour je ne ferais plus
Le flot depuis longtemps s'est tarri,
Seulement la télé, de sentiments jamais plus
Par la grace divine de Laurence Ferrari.
:bouhou:
Le cercle des poétes pas disparus!
-
snow crash
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- Inscription : 10 novembre 2004, 15:58
Le cercle des poétes pas disparus!
Savoir en profiter,
Sachant que personne va nous cloner,
Un hymne en forme de vie,
Que chacun peut vivre aussi.
Les arbres aux rayures bleues,
Observent le sage volant,
Qui, riant de ces cimes blanches,
Voudrait aterrir un peu.
Si il y a le but et les possibilités,
Pourvu que l´on sache marcher,
Il y a aussi le chemin,
Et se perdre en route n´est rien.
Non, car les regards aiment effleurer
Ces rails à peine esquissés,
Qui, hypnotiques et réguliers
Nous emmenerons là où nous voulons aller.
Le train de nos vies n´attend pas.
Sachant que personne va nous cloner,
Un hymne en forme de vie,
Que chacun peut vivre aussi.
Les arbres aux rayures bleues,
Observent le sage volant,
Qui, riant de ces cimes blanches,
Voudrait aterrir un peu.
Si il y a le but et les possibilités,
Pourvu que l´on sache marcher,
Il y a aussi le chemin,
Et se perdre en route n´est rien.
Non, car les regards aiment effleurer
Ces rails à peine esquissés,
Qui, hypnotiques et réguliers
Nous emmenerons là où nous voulons aller.
Le train de nos vies n´attend pas.
Le cercle des poétes pas disparus!
Il y a tellement eu d´écrits,
Des dits, des non-dits, des inédits,
Pour évoquer ce si beau thème,
Celui de l´amour, dire je t´aime.
Il n´y a rien de plus à ajouter,
Il m´a suffit de voir, l´autre hiver,
Une apparition aux allures délétère,
Qui m´a pour de vrai révélé entier.
Je sais que je ne t´ai pas assez dit,
Les mots doux,
Je sais que j´ai pas bravé,
Assez d´interdits,
Mais malgré tout,
Je veux croire,
Jusqu´au bout,
A un bel et éternel NOUS.
Je t´aime
Des dits, des non-dits, des inédits,
Pour évoquer ce si beau thème,
Celui de l´amour, dire je t´aime.
Il n´y a rien de plus à ajouter,
Il m´a suffit de voir, l´autre hiver,
Une apparition aux allures délétère,
Qui m´a pour de vrai révélé entier.
Je sais que je ne t´ai pas assez dit,
Les mots doux,
Je sais que j´ai pas bravé,
Assez d´interdits,
Mais malgré tout,
Je veux croire,
Jusqu´au bout,
A un bel et éternel NOUS.
Je t´aime
Le cercle des poétes pas disparus!
Braver les vents et les marées,
nord, sud, est, ouest,
Le vent transformé en tempete,
Tout autour un paysage illimité.
Le panoramique, en pleine nature,
Ouvre des sens sclérosés par la ville,
Il est clair que l´homme perdure,
Que s´il n´est jamais tranquille.
Si on avait le temps de vivre nos buts,
Il y aurait moins de crimes, moins de p....
Moins de désabusés, d´amers, de suicidaires,
Et plus de ´on a tous tout pour plaire´.
Avant de dire que l´on est pas content,
Faut examiner les vrais problèmes,
Ceux qui crisent tout le temps,
Je leur chanterai l´anathème.
Voir ce qui est beau,
Le prendre en photo,
Le garder en soi,
S´en faire plus qu´une joie,
Une raison de vivre.
J´aime vivre
nord, sud, est, ouest,
Le vent transformé en tempete,
Tout autour un paysage illimité.
Le panoramique, en pleine nature,
Ouvre des sens sclérosés par la ville,
Il est clair que l´homme perdure,
Que s´il n´est jamais tranquille.
Si on avait le temps de vivre nos buts,
Il y aurait moins de crimes, moins de p....
Moins de désabusés, d´amers, de suicidaires,
Et plus de ´on a tous tout pour plaire´.
Avant de dire que l´on est pas content,
Faut examiner les vrais problèmes,
Ceux qui crisent tout le temps,
Je leur chanterai l´anathème.
Voir ce qui est beau,
Le prendre en photo,
Le garder en soi,
S´en faire plus qu´une joie,
Une raison de vivre.
J´aime vivre
-
Clark Gable
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- Inscription : 15 octobre 2004, 18:30
Le cercle des poétes pas disparus!
mille mots s'échappent
s'envolent, se perdent
et jamais ne reviennent
sont ils heureux là bas ?
qu'importe
si aux lueurs bien pâles
d'un néon azurin
je tiens ta main
ma rose électrique
de pétales et d'argent
de métal et de toi
mille mots s'évaporent
futiles, se souviennent
qu'entre ces quatres murs
sur ce marbre si blanc
j'ai ma main dans la tienne.
s'envolent, se perdent
et jamais ne reviennent
sont ils heureux là bas ?
qu'importe
si aux lueurs bien pâles
d'un néon azurin
je tiens ta main
ma rose électrique
de pétales et d'argent
de métal et de toi
mille mots s'évaporent
futiles, se souviennent
qu'entre ces quatres murs
sur ce marbre si blanc
j'ai ma main dans la tienne.
Le cercle des poétes pas disparus!
Envier les chagrins damour
Les tremolos des curs brisés
Quand la chaire exhibe sa douleur
Convulsions et mains crispées
Sanglots sans fin
Du pantin harassé
Adieu vue , ouïe et odorat
Adieu saveur
Adieu les sens
Au cur du bois
A même le sol
Gît le tronc mort
Dans le silence
Il suffit parfois
Quune main
Autrefois potelée
Dispense un peu de sa chaleur
Au dos décharné
Que sa voix douce murmure
Le nom des fleurs
Quon lui a enseigné
La couleur des guirlandes et des berlingots
Que par inadvertance
Une écriture amie rappelle
La douceur des oreilles
Des souris minuscules
La délicatesse, lélégance
Et puis la légèreté
Des choses imperceptibles
Fortifiant le squelette
Assouplissant les muscles
Nourrissant une bulle
Dans la boîte crânienne pragmatique
Un îlot dimages inventées
De secrets et despoirs chuchotés
Sans mensonges
Et sans cynisme
Ces mains promettent
Que si rien na de sens
Tous nest pas vain
Et sur une branche morte en hiver
On peut dire sans mentir
Avoir aperçu un bourgeon
Précoce ou tardif
Seul mais déterminé
Attendre le printemps
Les tremolos des curs brisés
Quand la chaire exhibe sa douleur
Convulsions et mains crispées
Sanglots sans fin
Du pantin harassé
Adieu vue , ouïe et odorat
Adieu saveur
Adieu les sens
Au cur du bois
A même le sol
Gît le tronc mort
Dans le silence
Il suffit parfois
Quune main
Autrefois potelée
Dispense un peu de sa chaleur
Au dos décharné
Que sa voix douce murmure
Le nom des fleurs
Quon lui a enseigné
La couleur des guirlandes et des berlingots
Que par inadvertance
Une écriture amie rappelle
La douceur des oreilles
Des souris minuscules
La délicatesse, lélégance
Et puis la légèreté
Des choses imperceptibles
Fortifiant le squelette
Assouplissant les muscles
Nourrissant une bulle
Dans la boîte crânienne pragmatique
Un îlot dimages inventées
De secrets et despoirs chuchotés
Sans mensonges
Et sans cynisme
Ces mains promettent
Que si rien na de sens
Tous nest pas vain
Et sur une branche morte en hiver
On peut dire sans mentir
Avoir aperçu un bourgeon
Précoce ou tardif
Seul mais déterminé
Attendre le printemps
Le cercle des poétes pas disparus!
Grrr se fait rare en ce moment.
Mais quand il poste ici-bas, c'est très touchant.
Mais quand il poste ici-bas, c'est très touchant.
-
hiddenplace
- totoro dodendron
- Messages : 746
- Inscription : 26 novembre 2003, 21:19
- Contact :
Le cercle des poétes pas disparus!
oh, moi aussi je trouve que ce poème est joli... reviens plus souvent, Grrr! Le cercle des poétes pas disparus!
Régulier et sincère,
A l'écoute de ses pensées,
Le petit renard joue des nuits entières,
Sur de vaines toiles d'araignées,
Futiles, blanches, ensensées,
De toutes sortes de joies tissées,
Ce chasseur de rêves éperdus
Se nourrit de larmes perdues.
De par ces jeux innocents
Toujours sérieux pourtant,
Il sait que la reconnaissance est d'or,
Et, fier d'être au monde, jamais ne s'endort.
Le sourire aux babines,
Tout au long de ces nuits infinies,
Il fait la paix avec les araignées,
Et, avec elles, apprend à voler.
A l'écoute de ses pensées,
Le petit renard joue des nuits entières,
Sur de vaines toiles d'araignées,
Futiles, blanches, ensensées,
De toutes sortes de joies tissées,
Ce chasseur de rêves éperdus
Se nourrit de larmes perdues.
De par ces jeux innocents
Toujours sérieux pourtant,
Il sait que la reconnaissance est d'or,
Et, fier d'être au monde, jamais ne s'endort.
Le sourire aux babines,
Tout au long de ces nuits infinies,
Il fait la paix avec les araignées,
Et, avec elles, apprend à voler.
Le cercle des poétes pas disparus!
Jeannot Lapin est mort,
Encore maintenant, je l´adore,
Il cuit dans la casserole,
Etre mangé, c´est son role.
Je me souviens de ses narines frétillantes,
De ses pattes pliées, ses oreilles aimantes,
Son air mutin et son pelage brun,
Le fait qu´il ne demandait rien.
Pourtant, entre mes jambes je l´ai installé,
J´ai remercié Dieu, et je l´ai égorgé.
Veut-on de cette barbarie encore ?
Que dire, on est aussi carnivores ...
Encore maintenant, je l´adore,
Il cuit dans la casserole,
Etre mangé, c´est son role.
Je me souviens de ses narines frétillantes,
De ses pattes pliées, ses oreilles aimantes,
Son air mutin et son pelage brun,
Le fait qu´il ne demandait rien.
Pourtant, entre mes jambes je l´ai installé,
J´ai remercié Dieu, et je l´ai égorgé.
Veut-on de cette barbarie encore ?
Que dire, on est aussi carnivores ...
Le cercle des poétes pas disparus!
En haut de cette immense grue,
Perché et attentif jai vu,
Des hommes en fourmis affairés,
Seuls, petits, pressés et atterrés,
Courants vers un but personnel,
Sûrement important et confidentiel.
Alors que le vent voulait me faire tomber,
Me faire retourner à eux jai lutté,
Pour garder ce point de vue privilégié,
Et rester loin de cette condition damnée.
Quitter une micro-échelle est vital,
Pour se rapprocher des divinités perdues,
De leur esprit aimant, inconnu et global,
Pour continuer, en route vers linconnu.
Alors que les branches mortes témoignent,
De la fin du cycle automnal,
Par des senteurs enfuies,
Des feuilles au sol, jaunies,
La promesse de renaissance à venir
Emplis nos curs dune liesse, à ravir
Au temps notre ennemi,
Pour une nouvelle vie,
Tels des bourgeons en autant de joies,
Tels des hommes redevenant des rois,
Trouvant dans le vert un nouveau toit,
La raison dêtre du cur, lémoi.
Perché et attentif jai vu,
Des hommes en fourmis affairés,
Seuls, petits, pressés et atterrés,
Courants vers un but personnel,
Sûrement important et confidentiel.
Alors que le vent voulait me faire tomber,
Me faire retourner à eux jai lutté,
Pour garder ce point de vue privilégié,
Et rester loin de cette condition damnée.
Quitter une micro-échelle est vital,
Pour se rapprocher des divinités perdues,
De leur esprit aimant, inconnu et global,
Pour continuer, en route vers linconnu.
Alors que les branches mortes témoignent,
De la fin du cycle automnal,
Par des senteurs enfuies,
Des feuilles au sol, jaunies,
La promesse de renaissance à venir
Emplis nos curs dune liesse, à ravir
Au temps notre ennemi,
Pour une nouvelle vie,
Tels des bourgeons en autant de joies,
Tels des hommes redevenant des rois,
Trouvant dans le vert un nouveau toit,
La raison dêtre du cur, lémoi.
-
Clark Gable
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- Inscription : 15 octobre 2004, 18:30
Le cercle des poétes pas disparus!
je méprise
nos pitoyables existences
notre fastidieux quotidien
d'ennui et de misère
j'abhorre chacun de nos jours
pauvre et ordinaire
insipides desseins
petites tragédies
indignes et dérisoires
notre médiocre lot
de malheur ridicule
et de bonheur abject
tellement quelconque
tellement
insignifiant
je hais
nos vaines tentatives
de paraître meilleurs
nos principes et nos règles
nos navrantes utopies
la triste inanité
de nos pensées stériles
j'execre tout le vide
de nos actions risibles
nos suffisantes
et minuscules
satisfactions
mais j'aime
quand à la nuit venue
de nos chants alcooliques
nous abreuvons le monde
quand les chimères instables
de nos barbares instincts
content nos absences
nos narcotiques errances
cette déchéance
psychédélique
quand dans un requiem
bestial et primitif
nous clamons en concert
une liberté acide
sauvage litanie
d'opium en mescaline
si rien n'est vrai
tout est permis.
nos pitoyables existences
notre fastidieux quotidien
d'ennui et de misère
j'abhorre chacun de nos jours
pauvre et ordinaire
insipides desseins
petites tragédies
indignes et dérisoires
notre médiocre lot
de malheur ridicule
et de bonheur abject
tellement quelconque
tellement
insignifiant
je hais
nos vaines tentatives
de paraître meilleurs
nos principes et nos règles
nos navrantes utopies
la triste inanité
de nos pensées stériles
j'execre tout le vide
de nos actions risibles
nos suffisantes
et minuscules
satisfactions
mais j'aime
quand à la nuit venue
de nos chants alcooliques
nous abreuvons le monde
quand les chimères instables
de nos barbares instincts
content nos absences
nos narcotiques errances
cette déchéance
psychédélique
quand dans un requiem
bestial et primitif
nous clamons en concert
une liberté acide
sauvage litanie
d'opium en mescaline
si rien n'est vrai
tout est permis.
Le cercle des poétes pas disparus!
D´une base ferme et construite,
D´un esprit soit trop grand,
soit trop étriqué,
L´homme surnage,
Tourne les pages,
D´une vie qui ne promet rien,
D´une mort qui n´apporte rien,
Pas meme le salut.
A l´affut de révélations,
Qui donneraient un sens,
A ce vide de la vie,
Les sulfures volcaniques,
Des substances de Shulgin,
D´Hoffmann ou de Timothy,
Arrivent au secours,
De notre condition androgyne,
Pour nous ouvrir des portes,
Utopiques, infinies, libres et imagées,
Mais qui, sans doute,
Perd celui à la guenon sur l´épaule,
Signe de dépendance,
Impersonnelle,
Irréelle,
Sans autre avenir que de tenter de se recoller,
Que d´essayer de lutter,
Pour retrouver sa réalité.
Le bras armé et fragile,
Phénéthylamine,
La pelle irrélle, infinie,
Tryptamine,
Autant d´instruments qui apprennent à creuser,
Ce que l´ame au fond sait,
Et qui, à la longue,
Usent un potentiel depuis longtemps révélé.
Désolé pour toi Clark,
D´avoir préféré la condition de la bete,
A celle de l´homme.
Est juste, le retour dans l´effort.
D´un esprit soit trop grand,
soit trop étriqué,
L´homme surnage,
Tourne les pages,
D´une vie qui ne promet rien,
D´une mort qui n´apporte rien,
Pas meme le salut.
A l´affut de révélations,
Qui donneraient un sens,
A ce vide de la vie,
Les sulfures volcaniques,
Des substances de Shulgin,
D´Hoffmann ou de Timothy,
Arrivent au secours,
De notre condition androgyne,
Pour nous ouvrir des portes,
Utopiques, infinies, libres et imagées,
Mais qui, sans doute,
Perd celui à la guenon sur l´épaule,
Signe de dépendance,
Impersonnelle,
Irréelle,
Sans autre avenir que de tenter de se recoller,
Que d´essayer de lutter,
Pour retrouver sa réalité.
Le bras armé et fragile,
Phénéthylamine,
La pelle irrélle, infinie,
Tryptamine,
Autant d´instruments qui apprennent à creuser,
Ce que l´ame au fond sait,
Et qui, à la longue,
Usent un potentiel depuis longtemps révélé.
Désolé pour toi Clark,
D´avoir préféré la condition de la bete,
A celle de l´homme.
Est juste, le retour dans l´effort.
-
Clark Gable
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- Inscription : 15 octobre 2004, 18:30
Le cercle des poétes pas disparus!
"Celui qui se transforme en bete, se délivre de la douleur d'etre un homme."
-Samuel Johnson
-Samuel Johnson
Le cercle des poétes pas disparus!
Ce bon Dr. Johnson ....
Trop de Fear & Loathing est mauvais pour la santé
La délivrance peut être dans l'homme-bête, dans l'homme instinctif qui ne peut s'arrêter de souffir qu'en courant derrière un but qui, une fois atteind, devrait être renouvelé.
Le chemin de la bête est une solution sans condition ni identité, perdue avant d'atteindre quoi que ce soit.
Trop de Fear & Loathing est mauvais pour la santé
La délivrance peut être dans l'homme-bête, dans l'homme instinctif qui ne peut s'arrêter de souffir qu'en courant derrière un but qui, une fois atteind, devrait être renouvelé.
Le chemin de la bête est une solution sans condition ni identité, perdue avant d'atteindre quoi que ce soit.
Le cercle des poétes pas disparus!
Un silence absolu
Permettait à la dame de coeur,
De s´entendre fonctionner,
Une machine biologique,
En tams-tams magiques.
Fixant ses pieds en autant de ponts,
Elle attendait que l´étranger sans nom,
Frappe à sa porte,
Et lui apporte,
La réponse :
'Pourquoi de mes pieds nus,
Partent ces hommes ridicules,
A la recherche des anciens,
Fuyant de mes mains,
Mes pourtant justes desseins ? '
Mais l´étranger lui aussi,
Etait parti
De lui meme,
Quittant l´amour de la dame de coeur,
Laissant les tams-tams émettre seuls,
Leur inavouable et sourde ardeur.
L´étranger a aujourd´hui trouvé,
La réponse à sa question,
Qui depuis toujours le harcelait;
Et du haut de son piedestal
Il contemple la reine,
Qui n´en est plus une,
Et à partir des tams-tams magiques,
Crée sa propre musique.
Permettait à la dame de coeur,
De s´entendre fonctionner,
Une machine biologique,
En tams-tams magiques.
Fixant ses pieds en autant de ponts,
Elle attendait que l´étranger sans nom,
Frappe à sa porte,
Et lui apporte,
La réponse :
'Pourquoi de mes pieds nus,
Partent ces hommes ridicules,
A la recherche des anciens,
Fuyant de mes mains,
Mes pourtant justes desseins ? '
Mais l´étranger lui aussi,
Etait parti
De lui meme,
Quittant l´amour de la dame de coeur,
Laissant les tams-tams émettre seuls,
Leur inavouable et sourde ardeur.
L´étranger a aujourd´hui trouvé,
La réponse à sa question,
Qui depuis toujours le harcelait;
Et du haut de son piedestal
Il contemple la reine,
Qui n´en est plus une,
Et à partir des tams-tams magiques,
Crée sa propre musique.
Le cercle des poétes pas disparus!
Epitaphe à un exilé.
Fais d'une femme ta patrie
Dessine sur son corps des lacs et des rivières
Dans son dos, une clairière
Pour te reposer du mépris.
Car sans racine, tu t'affaiblis
Et les autres ces cruels
Sans arrêt te le crient
Tu n'as pas de Patrie.
Les Parques ont coupé le fil de ta vie
Et vers l'Hadès tu t'enfonces
Le coeur planté sur une ronce,
O toi qui n'avait pas de pays.
Fais d'une femme ta patrie
Dessine sur son corps des lacs et des rivières
Dans son dos, une clairière
Pour te reposer du mépris.
Car sans racine, tu t'affaiblis
Et les autres ces cruels
Sans arrêt te le crient
Tu n'as pas de Patrie.
Les Parques ont coupé le fil de ta vie
Et vers l'Hadès tu t'enfonces
Le coeur planté sur une ronce,
O toi qui n'avait pas de pays.
-
Clark Gable
- Messages : 0
- Inscription : 15 octobre 2004, 18:30
Le cercle des poétes pas disparus!
laissez moi m'oublier
dans ce paradis perdu
factice et derisoire
laissez mon coeur battre
en cet instant extatique
dans des lambeaux atmospheriques
de psychotropes somnescences
donnez moi un monde
qui n'est pas meilleur
mais différent
je pleure des larmes de sang,
c'est d'un ineffable ennui.
dans ce paradis perdu
factice et derisoire
laissez mon coeur battre
en cet instant extatique
dans des lambeaux atmospheriques
de psychotropes somnescences
donnez moi un monde
qui n'est pas meilleur
mais différent
je pleure des larmes de sang,
c'est d'un ineffable ennui.
Le cercle des poétes pas disparus!
Texte pour mon groupe... Au passage
THE POPPERS - Enjoy and let it be
(Joe)
C'est la nuit de noël,
Trois punks dans un cadi
Juste à côté d'Aldi,
A trois ils se les pélent,
Le rhum fait qu'on oublie
Et ça réchauffe aussi.
Ils boivent, boivent et chancellent,
Coca-Cola l'a dit:
"Enjoy and let it be"
Jesus, jesus mais où est tu?
Jesus, jesus bouge ton gros cul!
La même nuit, le même ciel,
Nos punks sont loin d'ici,
Il est presque minuit.
Voilà, le pére noël,
Ils l'aiment pas c't'abruti,
C'est sa fête aujourd'hui
Sortant de la poubelle
Le gros bonhomme leur dit:
"Enjoy and let it be"
Jesus, jesus mais où est tu?
Jesus, jesus qu'est-ce t'as foutu??
Que cette nuit est belle,
Leurs corps sont refroidis,
Et leurs yeux endormis.
La lumiére au bout du tunnel,
C'est ici que fini leur vies.
Aller direct pour le paradis.
Là-haut il foutent le bordel
Dieu lui même leur a dit:
"Enjoy and let it be"
Jesus, jesus mais où est tu?
Jesus, jesus qu'est que t'as bu?
THE POPPERS - Enjoy and let it be
(Joe)
C'est la nuit de noël,
Trois punks dans un cadi
Juste à côté d'Aldi,
A trois ils se les pélent,
Le rhum fait qu'on oublie
Et ça réchauffe aussi.
Ils boivent, boivent et chancellent,
Coca-Cola l'a dit:
"Enjoy and let it be"
Jesus, jesus mais où est tu?
Jesus, jesus bouge ton gros cul!
La même nuit, le même ciel,
Nos punks sont loin d'ici,
Il est presque minuit.
Voilà, le pére noël,
Ils l'aiment pas c't'abruti,
C'est sa fête aujourd'hui
Sortant de la poubelle
Le gros bonhomme leur dit:
"Enjoy and let it be"
Jesus, jesus mais où est tu?
Jesus, jesus qu'est-ce t'as foutu??
Que cette nuit est belle,
Leurs corps sont refroidis,
Et leurs yeux endormis.
La lumiére au bout du tunnel,
C'est ici que fini leur vies.
Aller direct pour le paradis.
Là-haut il foutent le bordel
Dieu lui même leur a dit:
"Enjoy and let it be"
Jesus, jesus mais où est tu?
Jesus, jesus qu'est que t'as bu?
Le cercle des poétes pas disparus!
Ca sent la rebéllitude ! 
Le cercle des poétes pas disparus!
Gallu a écrit :Ca sent la rebéllitude !
En tout cas j'aime bien. Je trouve les paroles euh j'ai failli dire sympas mais je crois que le terme ne convient pas bien. J'espère que c'est punk
Rêve américain. Cauchemar indien. Pogo avec les loups.
Qui est en ligne ?
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