merci pour le gif Lestat...

Reeves a créé une fondation pour les tétraplégiques , c'est ça que tu entends par sa médiatisation due à des "actions populaires" ?Harookaï a écrit : Je pense aussi que la médiatisation Christophe Reeve repose sur son accident (et sa nouvelle quête) et sur ses films en collant bleus.
Si, l'intérêt pour quelqu'un reposait uniquement sur la qualité reconnue de son oeuvre, et non pas sur une importante médiatisation (due à des actions populaires), on aurait autant voir plus parler de la mort de Dérrida.
Et là, faut reconnaître que Superman écrase l'ex de madame Jospin.
Moi ce qui m'a étonné dans certains articles c'est qu'ils évoquaient énormément le fait qu'il était très connu aux USA.Comme si son existence médiatique ou au moins la reconnaissance qui avait là-bas justifiait de l'importance de son travailMme Gore a écrit :les philosophes ne touchent pas autant de monde qu'une superproduction hollywoodienne. c'est loin d'être une révélation.
Belfégore a écrit :juste une remarque à propos de Derrida : pourquoi comparer ce qui n'est pas comparable ? quand Bourdieu est mort, en a-t-on parlé autant qu'un acteur de ciné ? les philosophes ne touchent pas autant de monde qu'une superproduction hollywoodienne. c'est loin d'être une révélation.![]()
c'est tout à fait ça que je ressens...Selena a écrit :Le cinéma c'est du rêve. Quand un acteur meurt (Marlon Brando, Jean Lefebvre, Charles Branson, Reeves etc.) c'est un peu de rêve qui s'échappe, un peu d'enfance ou d'une "partie de notre vie" qui se voile dans la mesure où certains ont grandi et ont rêvé avec eux et d'autres les ont même admiré et se sont identifiés à eux. Les modèles qu'offre le cinéma sont des modèles parmi d'autres.
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