Ses grands réalisateurs!
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Ses grands réalisateurs!
Pourquoi ne pas créer un topic sur les grands réalisateurs?
Bien sûr, ce sont des choix perso, mais ça serait chouette d'en discuter entres nous et ça nous permettrais d'en découvrir un peu plus sur les grands réalisateurs de cette merveilleuse art qui est le cinéma!
Bien à vous cher(ère)s forumeur(euse)s!
Bien sûr, ce sont des choix perso, mais ça serait chouette d'en discuter entres nous et ça nous permettrais d'en découvrir un peu plus sur les grands réalisateurs de cette merveilleuse art qui est le cinéma!
Bien à vous cher(ère)s forumeur(euse)s!
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Ses grands réalisateurs!
Je me permet donc cher(ère)s ami(e)s, si vous me le permettez, de commencer ce topic avec un grand réalisateur!
Il s'agit de Paul Verhoeven....
Né en 1938 à Amsterdam, Paul Vehoeven est diplômé en mathématiques et en physique. C'est lors de ses études à l'Université de Leiden qui découvre sa vocation de cinéaste en réalisant plusieurs courts métrages, dont "One Lizard Too Many" (1959) et "The Party" (1963). Lors de son service militaire au sein de la Royale Dutch Navy, il fait, à la demande de l'armée, un documentaire vantant le tricentenaire de la marine Hollandaise. Il travaille ensuite pour la télévision où il se fait remarquer avec "Floris", une série d'aventures en douze épisodes se déroulant au Moyen-Age.
Il réalise son premier long métrage en 1971, la comédie "Business is Business". Deux ans plus tard, son second film, "Turkish Delight", obtient une nomination à l'Oscar du Meilleur Film Etranger. Paul Verhoeven poursuit sa carrière au Pays-Bas en réalisant "Cathy Tippel" (1974), "Soldier of Orange" (1977, également scénariste), "Spetters" (1980) puis "Le Quatrième Homme" (1983), un thriller pour lequel il reçoit le Los Angeles Critics Award. Les succès internationaux de ses films l'encouragent à s'installer au Etats-Eunis. Ainsi, en 1985, il écrit et met en scène son premeir long métrage américain, l'épopée médiévale "La Chair et le Sang". Deux ans plus tard, son film de science fiction "Robocop" devient un champion du box-office dans le monde entier. Dès lors, tous ses films vont connaître le succès, que ce soit "Total Recall" (1990), "Basic Insinct" (1992), "Showgirls" (1995) ou "Starship Troopers" (1998).
En 2000, Paul Verhoeven se tourne une nouvelle fois vers le cinéma fantastique avec "Hollow Man - L'Homme sans Ombre", son treizième long métrage.
Filmographie sélective:
- 2000 Hollow Man - L'Homme sans Ombre (réalisateur) de Paul Verhoeven
- 1992 Basic Instinct (réalisateur) de Paul Verhoeven
- 1985 La Chair et le Sang (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Robocop (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Showgirls (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Total Recall (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Starship Troopers (réalisateur) de Paul Verhoeven
Ce réalisateur est vraiment un gentleman.... et un grand du cinéma!
Il s'agit de Paul Verhoeven....
Né en 1938 à Amsterdam, Paul Vehoeven est diplômé en mathématiques et en physique. C'est lors de ses études à l'Université de Leiden qui découvre sa vocation de cinéaste en réalisant plusieurs courts métrages, dont "One Lizard Too Many" (1959) et "The Party" (1963). Lors de son service militaire au sein de la Royale Dutch Navy, il fait, à la demande de l'armée, un documentaire vantant le tricentenaire de la marine Hollandaise. Il travaille ensuite pour la télévision où il se fait remarquer avec "Floris", une série d'aventures en douze épisodes se déroulant au Moyen-Age.
Il réalise son premier long métrage en 1971, la comédie "Business is Business". Deux ans plus tard, son second film, "Turkish Delight", obtient une nomination à l'Oscar du Meilleur Film Etranger. Paul Verhoeven poursuit sa carrière au Pays-Bas en réalisant "Cathy Tippel" (1974), "Soldier of Orange" (1977, également scénariste), "Spetters" (1980) puis "Le Quatrième Homme" (1983), un thriller pour lequel il reçoit le Los Angeles Critics Award. Les succès internationaux de ses films l'encouragent à s'installer au Etats-Eunis. Ainsi, en 1985, il écrit et met en scène son premeir long métrage américain, l'épopée médiévale "La Chair et le Sang". Deux ans plus tard, son film de science fiction "Robocop" devient un champion du box-office dans le monde entier. Dès lors, tous ses films vont connaître le succès, que ce soit "Total Recall" (1990), "Basic Insinct" (1992), "Showgirls" (1995) ou "Starship Troopers" (1998).
En 2000, Paul Verhoeven se tourne une nouvelle fois vers le cinéma fantastique avec "Hollow Man - L'Homme sans Ombre", son treizième long métrage.
Filmographie sélective:
- 2000 Hollow Man - L'Homme sans Ombre (réalisateur) de Paul Verhoeven
- 1992 Basic Instinct (réalisateur) de Paul Verhoeven
- 1985 La Chair et le Sang (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Robocop (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Showgirls (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Total Recall (réalisateur) de Paul Verhoeven
- - - - Starship Troopers (réalisateur) de Paul Verhoeven
Ce réalisateur est vraiment un gentleman.... et un grand du cinéma!
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Ses grands réalisateurs!
Je ne pouvais aller me coucher sans vous parlez d'un autre très grand réalisateur!
Cette fois-ci il s'agit d'un réalisateur asiatique de talent. Le réalisateur Kim Ki-Duk....
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les films du coréen Kim Ki-Duk dérangent, mettent mal à l'aise. Découvert en Europe en 2000 avec "L'Ile", film à la fois très poétique mais très étrange, il confirme depuis dans les festivals qu'il est un cinéaste un peu à part, s'autorisant toutes les déviances (surtout sexuelle) et toutes les cruautés pour représenter au mieux son univers à l'écran. Bref, il ne peut laisser indifférent...
Né en 1960 à Bonghwaen (Corée du Sud), Kim Ki-Duk travaille dès l'âge de 17 ans à l'usine, puis s'engage dans la marine pendant 5 ans avant d'opter pour le metier de pasteur. Finalement, puisqu'il avait collecté assez d'argent, il décide de partir étudier à l'étranger. C'est en 1990, à l'âge de 30 ans, qu'il franchit le pas et part s'installer en France, où il vit de la vente de ses peintures pendant 2 ans. N'ayant aucune formation dans le domaine du cinéma, il se lance à tatons dans sa première réalisation en 1996, "Crocodile". Il expérimente ses idées petit à petit avant de signer une oeuvre majeur en 2000, "L'ILE", qui fit le tour du monde.
A la différence de beaucoup de ses compatriotes, Kim ne s'arrête pas sur ce coup de maître et enchaîne avec d'autres films très intéressants comme "Address Unknown" qui dépeint avec force tous les petits malheurs d'un village qui vit au contact de l'armée US en 1970. Au rythme d'un film par an, Kim est assurément un cinéaste à suivre.
Filmographie:
Réalisateur:
- Wild Animals (1996)
- Crocodile (1996)
- The Birdcage Inn (1998)
- L'Ile (2000)
- Real Fiction (2000)
- Address unknown (2001)
- Bad Guy (2001)
- The Coast Guard (2002)
- Printemps, Eté, automne, Hiver... et Printemps (2003)
- La Samaritaine (2004)
- Bin Jip (2004)
Interprète:
- Printemps, Eté, Automne, Hiver... et Printemps (2003)
Producteur:
- Bin Jip (2004)
- La Samaritaine (2004)
Scénariste:
- Crocodile (1996)
- Wild Animals (1996)
- The Birdcage Inn (1998)
- Real Fiction (2000)
- L'Ile (2000)
- Address Unknown (2001)
- Bad Guy (2001)
- La Samaritaine (2004)
- Bin Jip (2004)
Directeur Artistique:
- Wild Animals (1996)
- Address Unknown (2001)
Kim Ki-Duk s'est mérité au Festival de Berlin le prix du Meilleur Réalisateur pour son film "La Samaritaine" et au Festival de Venise le prix du Meilleur Réalisateur pour son film "Bin Jip".
Voilà pour ce grand réalisateur asiatique Kim Ki-Duk.
Cette fois-ci il s'agit d'un réalisateur asiatique de talent. Le réalisateur Kim Ki-Duk....
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les films du coréen Kim Ki-Duk dérangent, mettent mal à l'aise. Découvert en Europe en 2000 avec "L'Ile", film à la fois très poétique mais très étrange, il confirme depuis dans les festivals qu'il est un cinéaste un peu à part, s'autorisant toutes les déviances (surtout sexuelle) et toutes les cruautés pour représenter au mieux son univers à l'écran. Bref, il ne peut laisser indifférent...
Né en 1960 à Bonghwaen (Corée du Sud), Kim Ki-Duk travaille dès l'âge de 17 ans à l'usine, puis s'engage dans la marine pendant 5 ans avant d'opter pour le metier de pasteur. Finalement, puisqu'il avait collecté assez d'argent, il décide de partir étudier à l'étranger. C'est en 1990, à l'âge de 30 ans, qu'il franchit le pas et part s'installer en France, où il vit de la vente de ses peintures pendant 2 ans. N'ayant aucune formation dans le domaine du cinéma, il se lance à tatons dans sa première réalisation en 1996, "Crocodile". Il expérimente ses idées petit à petit avant de signer une oeuvre majeur en 2000, "L'ILE", qui fit le tour du monde.
A la différence de beaucoup de ses compatriotes, Kim ne s'arrête pas sur ce coup de maître et enchaîne avec d'autres films très intéressants comme "Address Unknown" qui dépeint avec force tous les petits malheurs d'un village qui vit au contact de l'armée US en 1970. Au rythme d'un film par an, Kim est assurément un cinéaste à suivre.
Filmographie:
Réalisateur:
- Wild Animals (1996)
- Crocodile (1996)
- The Birdcage Inn (1998)
- L'Ile (2000)
- Real Fiction (2000)
- Address unknown (2001)
- Bad Guy (2001)
- The Coast Guard (2002)
- Printemps, Eté, automne, Hiver... et Printemps (2003)
- La Samaritaine (2004)
- Bin Jip (2004)
Interprète:
- Printemps, Eté, Automne, Hiver... et Printemps (2003)
Producteur:
- Bin Jip (2004)
- La Samaritaine (2004)
Scénariste:
- Crocodile (1996)
- Wild Animals (1996)
- The Birdcage Inn (1998)
- Real Fiction (2000)
- L'Ile (2000)
- Address Unknown (2001)
- Bad Guy (2001)
- La Samaritaine (2004)
- Bin Jip (2004)
Directeur Artistique:
- Wild Animals (1996)
- Address Unknown (2001)
Kim Ki-Duk s'est mérité au Festival de Berlin le prix du Meilleur Réalisateur pour son film "La Samaritaine" et au Festival de Venise le prix du Meilleur Réalisateur pour son film "Bin Jip".
Voilà pour ce grand réalisateur asiatique Kim Ki-Duk.
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Ses grands réalisateurs!
Yo à tous!
Voici un autre très grand réalisateur:
Il s'agit de Steven Spielberg, ça vous dit quelque chose?
Steven "Allan" Spielberg
Acteur / Réalisateur / Producteur
Né le 28 Décembre 1946
Lieu: Cincinnati dans l'Ohio
Son père: Arnold Spielberg est un ingénieur électricien.
Sa mère: Leah Adler (née Posner) est une ancienne pianiste de concert et possède un restaurant laitier casher, La Voie Lactée à Los Angeles.
Femme: L'actrice Kate Capshaw depuis le 12 octobre 1991 (5 enfants).
Ex femme: L'actrice Amy Irving marié du 27 novembre 1985 à 1989 (1 enfant).
1959 avec la caméra de son père, Steven Spielberg tourne en 8mm 3 ou 4 films, c'est le début de sa passion et fréquente régulièrement les salles de cinéma.
1969 il tourne un court métrage en 35 mm, remporte un prix au festival d'Atlanta et de Venice en Californie et travaille pour la télévision pendant quelques années.
1974 sa carrière débute comme réalisateur et son succès commerciaux que sa carrière tout entière semble placée sous une bonne étoile. Avec au cinéma "Sugarland Express" et "Jaws".
1998 il reçois "Bundesverdienstkreuz mit Sévère" pour sa représentation sensible de l'histoire de l'Allemagne dans son film "La Liste de Schindler".
Le 1er Décembre 1996: Naissance d'un 6ème enfant, Destry Allyn. Steven a fait don 100,000$ au parti démocratique.
1998 César d'Honneur pour "Saving Private Ryan" et oscar du Meilleur Réalisateur, Steven Spielberg est décoré de l'insigne d'Officier des Arts et des Lettres.
Dimanche 5 Septembre 2004, Steven Spielberg a reçu les insignes de Chevalier de la Légion d'Honneur des mains du président de la république Jacques Chirac.
Ce mec fait partit des très grands réalisateurs de cette planète!
Voici un autre très grand réalisateur:
Il s'agit de Steven Spielberg, ça vous dit quelque chose?
Steven "Allan" Spielberg
Acteur / Réalisateur / Producteur
Né le 28 Décembre 1946
Lieu: Cincinnati dans l'Ohio
Son père: Arnold Spielberg est un ingénieur électricien.
Sa mère: Leah Adler (née Posner) est une ancienne pianiste de concert et possède un restaurant laitier casher, La Voie Lactée à Los Angeles.
Femme: L'actrice Kate Capshaw depuis le 12 octobre 1991 (5 enfants).
Ex femme: L'actrice Amy Irving marié du 27 novembre 1985 à 1989 (1 enfant).
1959 avec la caméra de son père, Steven Spielberg tourne en 8mm 3 ou 4 films, c'est le début de sa passion et fréquente régulièrement les salles de cinéma.
1969 il tourne un court métrage en 35 mm, remporte un prix au festival d'Atlanta et de Venice en Californie et travaille pour la télévision pendant quelques années.
1974 sa carrière débute comme réalisateur et son succès commerciaux que sa carrière tout entière semble placée sous une bonne étoile. Avec au cinéma "Sugarland Express" et "Jaws".
1998 il reçois "Bundesverdienstkreuz mit Sévère" pour sa représentation sensible de l'histoire de l'Allemagne dans son film "La Liste de Schindler".
Le 1er Décembre 1996: Naissance d'un 6ème enfant, Destry Allyn. Steven a fait don 100,000$ au parti démocratique.
1998 César d'Honneur pour "Saving Private Ryan" et oscar du Meilleur Réalisateur, Steven Spielberg est décoré de l'insigne d'Officier des Arts et des Lettres.
Dimanche 5 Septembre 2004, Steven Spielberg a reçu les insignes de Chevalier de la Légion d'Honneur des mains du président de la république Jacques Chirac.
Ce mec fait partit des très grands réalisateurs de cette planète!
Ses grands réalisateurs!
Bon, je vais être faignant et ne pas faire une belle autobiographie ou une filmographie complète. Je vais juste citer un réalisateur extrêmement talentueux, à savoir Ridley Scott.
Il a réalisé entre autres:
Alien, le 8ème passager
Blade Runner
Thelma et Louise
Black Rain
Gladiator
La chute du faucon noir
Et la liste peut être rallongée. Pas mal
Il a réalisé entre autres:
Alien, le 8ème passager
Blade Runner
Thelma et Louise
Black Rain
Gladiator
La chute du faucon noir
Et la liste peut être rallongée. Pas mal
Et alors ?
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Ses grands réalisateurs!
C'est vrai que Ridley Scott est un très grand réalisateur......
Né le 30 Novembre 1937, Sir Ridley Scott a obtenu récement sa 3ème citation à l'Oscar du Meilleur Réalisateur et sa 2ème aux prix de la Directors Guild pour sa spectaculaire recréation de la bataille de Mogadishu dans "La Chute Du Faucon Noir", un des plus grands succès de la saison 2001. L'année d'avant, Scott avait remporté sa 2ème citation à l'Oscar, assortie de citations au British Academy Award et au Directors Guild Award, pour "Gladiator", autre succès mondial qui totalisa 5 Oscars sur 12 nominations (dont une au titre de Meilleur film).
Né à South Shields, dans le Northumberland, Ridley Scott passe son enfance à Londres, dans le Pays de Galles et en Allemagne avant de s'installer à Stockton-on-Tees, dans le nord est de l'angleterre. Animé d'un intérêt précoce pour le dessin, il entre au West Hartpool College of Art, puis s'inscrit au Royal College of Art de Londres, où il côtoie notamment le peintre David Hockney. Il suit aussi les cours de la section cinéma de l'établissement, et y réalise son premier court métrage "Boy on a Bicycle", avec le concours de son père et de son frère cadet, Tony, futur réalisateur de "Top Gun" USS Alabama, etc.
A sa sortie du Royal College, Scott obtient une bourse qui lui permet de vivre 1 an à New York. Il effectue durant cette période un stage à la Bob Drew Associates et travaille chez Time-Life avec 2 grands documentaristes américains, Richard Leacock et D.A. Pennebaker.
De retour à Londres, Ridley Scott entre à la BBC comme chef décorateur. Promu réalisateur au bout de queqlues mois, il collabore pendant 3 ans à des séries comme "The Informer" ou "Z-Car", puis fonde sa propre société de production de spots publicitaires: RSA, qui devient rapidement l'une des plus importantes d'Europe. Il y réalisa pour celle-ci plus de 3000 spots, fréquement primés au Festivals de Cannes et Venise, et y formera de nombreux jeunes réalisateurs, décorateurs et techniciens de haut niveau. RSA occupe aujourd'hui encore une place de choix sur le marché mondial et représente certains des réalisateurs les plus cotés du cinéma publicitaire et de fiction.
Après avoir accumulé une vaste expérience technique et artistique - photo, dessin, décoration, cinéma publicitaire -, Ridley Scott débute dans le long métrage avec le somptueux "Duellistes" qui remporte le Grand Prix du Jury au Festival de Cannes 1977. En 1979, il signe "Alien", un des films fondateurs de la S.F. moderne qui obtient l'Oscar des effets spéciaux, et révèle Sigourney Weaver. 3 ans plus tard, il donne au genre un nouveau chef-d'oeuvre: "Blade Runner", avec Harrison Ford, qui obtient une citation à l'Oscar du meilleur décor et des effets visuels et sera le film le plus récent inclus aux Archives Nationales du Cinéma. Suivront, en l'espace de 5 ans: le conte fantastique "Legend" avec Tom Cruise, les films policiers "Traquée", avec Tom Berrenger et Mimi Rogers, et "Black Rain", avec Michael Douglas et Andy Garcia.
En 1987, Ridley Scott fonde la société Percy Main Productions orientée vers le développement et la production de longs métrages. Le premeir sera le jubilatoire road movie féministe "Thelma et Louise", pour lequel Susan Sarandon et Geena Davis seront toutes deux citées à l'Oscar. Le film remportera l'Oscar du meilleur scénario et vaudra à Scott sa première citation à l'Oscar du meilleur réalisateur ainsi qu'une citation au British Academy Award. Scott tourne ensuite "1492 Christophe Colomb", avec Gérard Depardieu, et produit le drame psychologique de Mike Figgis "Les Leçons de la Vie", interprété par Albert Finney et Greta Scacchi. En 1995, il fonde avec son frère Tony la société Scott Free Productions, qui produira ses 3 prochaines réalisations: "Lame de Fond", avec Jeff Bridges, "À Armes Égales", avec Demi Moore, et "Hannibal", ainsi que "Clay Pigeons" de David Dobkin, "En Toute Complicité" de Marek Kanievska, avec Paul Newman et Linda Fiorentino.
Scott Free a aussi produit la collection "Les Prédateurs", dérivée du film homonyme de Tony Scott, et le téléfilm "Citizen Welles", une recréation du tournage de "Citizen Kane" primée à l'Emmy et au Golden Globe, et dont la distribution rassemblait Liev Scheriber, James Cromwell, Mélanie Griffith et John Malkovich. Scott Free a assuré en outre la production exécutive du téléfilm de Richard Loncraine "The Gathering Storm", primé à l'Emmy et au Golden Globe, où Albert Finney tenait le rôle de Winston Churchill et Vanessa Redgrave celui de sa femme, Clemmie. Les Productions Scott Free ont signé recemment un accord de développement sur 2 ans avec CBS. Ridley Scott est coprésident de Mill Film, une des principaux studios de production et postproduction numérique de Londres. Fondé en 1987, Mill Film a remporté l'Oscar des effets visuels pour "Gladiator" et a contribué a des dizaines de films, dont "Shakespeare in Love", "Babe - Le Cochon dans la Ville", "Pitch Black", "Harry Potter et la Chambre des Sorciers", "Lara Croft: Tomb Raider, etc.
Les frères Scott ont fait partie du consortium qui racheta en 1995 les légendaires Studios de Shepperton. Ceux-ci ont fusionné en 2001 avec ceux de Pinwood , donnant naissance à la Pinwood-Shepperton Holdings Ltd., dont Ridley Scott est aujourd'hui coprésident. Ce vaste ensemble offre 42 plateaux, terrains et décors extérieurs ainsi que les moyens techniques les plus avancés en matière de postproduction et d'aide à la production. En reconnaissance de sa contribution aux arts, Ridley Scott a été fait Chevalier en 2003.
Né le 30 Novembre 1937, Sir Ridley Scott a obtenu récement sa 3ème citation à l'Oscar du Meilleur Réalisateur et sa 2ème aux prix de la Directors Guild pour sa spectaculaire recréation de la bataille de Mogadishu dans "La Chute Du Faucon Noir", un des plus grands succès de la saison 2001. L'année d'avant, Scott avait remporté sa 2ème citation à l'Oscar, assortie de citations au British Academy Award et au Directors Guild Award, pour "Gladiator", autre succès mondial qui totalisa 5 Oscars sur 12 nominations (dont une au titre de Meilleur film).
Né à South Shields, dans le Northumberland, Ridley Scott passe son enfance à Londres, dans le Pays de Galles et en Allemagne avant de s'installer à Stockton-on-Tees, dans le nord est de l'angleterre. Animé d'un intérêt précoce pour le dessin, il entre au West Hartpool College of Art, puis s'inscrit au Royal College of Art de Londres, où il côtoie notamment le peintre David Hockney. Il suit aussi les cours de la section cinéma de l'établissement, et y réalise son premier court métrage "Boy on a Bicycle", avec le concours de son père et de son frère cadet, Tony, futur réalisateur de "Top Gun" USS Alabama, etc.
A sa sortie du Royal College, Scott obtient une bourse qui lui permet de vivre 1 an à New York. Il effectue durant cette période un stage à la Bob Drew Associates et travaille chez Time-Life avec 2 grands documentaristes américains, Richard Leacock et D.A. Pennebaker.
De retour à Londres, Ridley Scott entre à la BBC comme chef décorateur. Promu réalisateur au bout de queqlues mois, il collabore pendant 3 ans à des séries comme "The Informer" ou "Z-Car", puis fonde sa propre société de production de spots publicitaires: RSA, qui devient rapidement l'une des plus importantes d'Europe. Il y réalisa pour celle-ci plus de 3000 spots, fréquement primés au Festivals de Cannes et Venise, et y formera de nombreux jeunes réalisateurs, décorateurs et techniciens de haut niveau. RSA occupe aujourd'hui encore une place de choix sur le marché mondial et représente certains des réalisateurs les plus cotés du cinéma publicitaire et de fiction.
Après avoir accumulé une vaste expérience technique et artistique - photo, dessin, décoration, cinéma publicitaire -, Ridley Scott débute dans le long métrage avec le somptueux "Duellistes" qui remporte le Grand Prix du Jury au Festival de Cannes 1977. En 1979, il signe "Alien", un des films fondateurs de la S.F. moderne qui obtient l'Oscar des effets spéciaux, et révèle Sigourney Weaver. 3 ans plus tard, il donne au genre un nouveau chef-d'oeuvre: "Blade Runner", avec Harrison Ford, qui obtient une citation à l'Oscar du meilleur décor et des effets visuels et sera le film le plus récent inclus aux Archives Nationales du Cinéma. Suivront, en l'espace de 5 ans: le conte fantastique "Legend" avec Tom Cruise, les films policiers "Traquée", avec Tom Berrenger et Mimi Rogers, et "Black Rain", avec Michael Douglas et Andy Garcia.
En 1987, Ridley Scott fonde la société Percy Main Productions orientée vers le développement et la production de longs métrages. Le premeir sera le jubilatoire road movie féministe "Thelma et Louise", pour lequel Susan Sarandon et Geena Davis seront toutes deux citées à l'Oscar. Le film remportera l'Oscar du meilleur scénario et vaudra à Scott sa première citation à l'Oscar du meilleur réalisateur ainsi qu'une citation au British Academy Award. Scott tourne ensuite "1492 Christophe Colomb", avec Gérard Depardieu, et produit le drame psychologique de Mike Figgis "Les Leçons de la Vie", interprété par Albert Finney et Greta Scacchi. En 1995, il fonde avec son frère Tony la société Scott Free Productions, qui produira ses 3 prochaines réalisations: "Lame de Fond", avec Jeff Bridges, "À Armes Égales", avec Demi Moore, et "Hannibal", ainsi que "Clay Pigeons" de David Dobkin, "En Toute Complicité" de Marek Kanievska, avec Paul Newman et Linda Fiorentino.
Scott Free a aussi produit la collection "Les Prédateurs", dérivée du film homonyme de Tony Scott, et le téléfilm "Citizen Welles", une recréation du tournage de "Citizen Kane" primée à l'Emmy et au Golden Globe, et dont la distribution rassemblait Liev Scheriber, James Cromwell, Mélanie Griffith et John Malkovich. Scott Free a assuré en outre la production exécutive du téléfilm de Richard Loncraine "The Gathering Storm", primé à l'Emmy et au Golden Globe, où Albert Finney tenait le rôle de Winston Churchill et Vanessa Redgrave celui de sa femme, Clemmie. Les Productions Scott Free ont signé recemment un accord de développement sur 2 ans avec CBS. Ridley Scott est coprésident de Mill Film, une des principaux studios de production et postproduction numérique de Londres. Fondé en 1987, Mill Film a remporté l'Oscar des effets visuels pour "Gladiator" et a contribué a des dizaines de films, dont "Shakespeare in Love", "Babe - Le Cochon dans la Ville", "Pitch Black", "Harry Potter et la Chambre des Sorciers", "Lara Croft: Tomb Raider, etc.
Les frères Scott ont fait partie du consortium qui racheta en 1995 les légendaires Studios de Shepperton. Ceux-ci ont fusionné en 2001 avec ceux de Pinwood , donnant naissance à la Pinwood-Shepperton Holdings Ltd., dont Ridley Scott est aujourd'hui coprésident. Ce vaste ensemble offre 42 plateaux, terrains et décors extérieurs ainsi que les moyens techniques les plus avancés en matière de postproduction et d'aide à la production. En reconnaissance de sa contribution aux arts, Ridley Scott a été fait Chevalier en 2003.
Ses grands réalisateurs!
Un très grand réalisateur (à mon humble avis): le hong-kongais John Woo.
John Woo commence sa carrière en 1969 en tant qu'assistant réalisateur et met en scène son premier film en 1974 (the Dragon Tamer , une comédie). John Woo continue sa carrière en étant très prolifique et touche un peu à tous les genres.
Il est déjà très connu à Hong-Kong lorsque sort en 1986 l'un de ses chef d'oeuvres: Le syndicat du crime (A better tomorrow en VO). Ce film d'action change radicalement la carrière de John Woo, il sort un film ultra violent et c'est limite s'il n'invente pas un nouveau genre en sortant ce film. C'est un film de mafia ultra violent, sans concession qui touche des thèmes que l'on retrouvera dans tous les autres films de John Woo: l'amitié, la confiance, la trahison, la rédemption, etc...
Fort de son succès, John Woo met en scène Le syndicat du Crime 2 l'année d'après. C'est un nouveau succès, malgré le fait que le film ressemble fort au premier opus (mêmes acteurs, autant de violence, mêmes thèmes). Ce film est un nouveau succès (a noter que le syndicat du crime 1 et 2 font parties des plus gros succès ciné à Hong Kong).
John Woo continue dans les polars ultra violents et survoltés lorsque sort en 1989 ce que je considère comme son meilleur film, le chef d'oeuvre de John Woo: The Killer. Encore un polar nerveux et ultra violent qui porte les mêmes thèmes que ses précédents films. Mais ce qui change radicalement dans ce film, c'est le désespoir qui le caractérise. Ce film est à la fois un ôde à l'amitié, à la persévérance, à la rédemption, mais également un énorme moment de mélancolie et de désespoir.
Grâce à ce film, John Woo est enfin reconnu hors Asie comme un grand réalisateur de talent. Les deux films suivant seront ses deux derniers films asiatiques (pour l'instant...). Parmi eux notons le sublime Bullet in the head (encore un chef d'oeuvre).
A partir de 1993, John Woo commence à déconner. En 1993 il tourne Chasse à l'homme avec l'innénarable JCVD (comprenez Jean-Claude Van Damma ), son premier film 'moyen', voir 'mauvais' depuis Le syndicat du crime .
Le réalisateur se rattrappe en 1996 avec Brokken Arrow, film efficace et bien construit, même si ce n'est un bijou ni un chef d'oeuvre.
En 1997, John Woo livre son meilleur film américain pour l'instant: Volte/Face. Un superbe face à face entre Travolta et Nicolas Cage, un thriller hallucinant de maitrise. Encore un polar ultra violent avec de superbe scènes de gunfights. Bref c'est un John Woo au mieux de sa forme qui nous donne ce petit bijou du cinéma d'action. On à l'impression de retrouver John Woo du temps de The Killer. Et là on se dit 'Ça y est, John est de retour, il va nous faire que du bon".
Malheureusement non, les producteurs en décideront autrement. Il confie au réalisateur hong-kongais le soin de tourner Mission: Impossible 2. Et là...c'est le drame. John Woo nous donne un film avec un scénario navrant, des cascades bien maitrisées mais tellement invraissemblable que c'est risible, un suspense à deux balles (pour ceux qui ont vu le film, souvenez vous de la scène des masques dans le bunker...j'ai vu le film en Irlance, tous les français étaient mort de rire, y avait que 2 ou 3 Irlandais pour applaudir...), mais surtout le plus horrpillant, c'est qu'il n'y en a que pour une personne...T** C*****. Bref il se la joue L'Oréal et superstar et ça donne un film qui ressemble plus à une comédie qu'à un vrai film d'espionnage. Le film est tout de même un petit succès auprès du public, mais un échec critique.
En 2001, John Woo devient audacieux et nous livre un film excellent (attention c'est pas un chef d'oeuvre) qui semble plus personnel: Windtalker. Une histoire d'amitié et de courage dans la seconde guerre mondiale. Les scènes de batailles sont assez froides et réelles, les acteurs sont très bons (Cage et Slater).
On se dit que John Woo est redevenu un bon réalisateur après les deux mauvais films américains qu'il a fait ( Chasse à l'homme et M:I2) mais on se trompe encore. En 2003 sort Paycheck. Et là c'est la consternation. Ce film n'est pas mauvais en soi, mais on a l'impression de voir un mix des anciens films de John Woo: une histoire basée sur de la science fiction (comme Volte/Face), des super cascades limites nanardes (M:I2), des colombes dans les scènes d'action (tous les films de John Woo). Bref, la réalisation est maîtrisée mais John Woo n'arrive pas à se réinventer.
Nous verrons bien par la suite si John Woo n'est plus qu'un réalisateur à la solde des gros producteurs hollywoodiens ou s'il peut retrouver le génie d'un Volte/Face et le talent d'un grand réalisateur comme dans The Killer
Filmographie:
The War of the Red Cliff (2006)
Metroid (2005)
He-Man (2005)
Rainbow six (2004)
Paycheck (2003)
Blind pot (2003)
The Divide (2002)
Windtalkers, les messagers du vent (2001)
Mission : impossible 2 (2000)
Volte-face (1997)
Broken Arrow (1996)
Chasse à l'homme (1993)
A toute epreuve (1992)
Les Associes (1991)
Une balle dans la tête (1990)
The Killer (1989)
Just Heroes (1989)
Le Syndicat du crime 2 (1987)
Le Syndicat du crime (1986)
Les Larmes d'un heros (1983)
La Derniere Chevalerie (1978)
Shao Lin men (1976)
Princesse Chang Ping (1976)
The Dragon Tamers (1974)
King's Ransom
Spy hunter
John Woo commence sa carrière en 1969 en tant qu'assistant réalisateur et met en scène son premier film en 1974 (the Dragon Tamer , une comédie). John Woo continue sa carrière en étant très prolifique et touche un peu à tous les genres.
Il est déjà très connu à Hong-Kong lorsque sort en 1986 l'un de ses chef d'oeuvres: Le syndicat du crime (A better tomorrow en VO). Ce film d'action change radicalement la carrière de John Woo, il sort un film ultra violent et c'est limite s'il n'invente pas un nouveau genre en sortant ce film. C'est un film de mafia ultra violent, sans concession qui touche des thèmes que l'on retrouvera dans tous les autres films de John Woo: l'amitié, la confiance, la trahison, la rédemption, etc...
Fort de son succès, John Woo met en scène Le syndicat du Crime 2 l'année d'après. C'est un nouveau succès, malgré le fait que le film ressemble fort au premier opus (mêmes acteurs, autant de violence, mêmes thèmes). Ce film est un nouveau succès (a noter que le syndicat du crime 1 et 2 font parties des plus gros succès ciné à Hong Kong).
John Woo continue dans les polars ultra violents et survoltés lorsque sort en 1989 ce que je considère comme son meilleur film, le chef d'oeuvre de John Woo: The Killer. Encore un polar nerveux et ultra violent qui porte les mêmes thèmes que ses précédents films. Mais ce qui change radicalement dans ce film, c'est le désespoir qui le caractérise. Ce film est à la fois un ôde à l'amitié, à la persévérance, à la rédemption, mais également un énorme moment de mélancolie et de désespoir.
Grâce à ce film, John Woo est enfin reconnu hors Asie comme un grand réalisateur de talent. Les deux films suivant seront ses deux derniers films asiatiques (pour l'instant...). Parmi eux notons le sublime Bullet in the head (encore un chef d'oeuvre).
A partir de 1993, John Woo commence à déconner. En 1993 il tourne Chasse à l'homme avec l'innénarable JCVD (comprenez Jean-Claude Van Damma ), son premier film 'moyen', voir 'mauvais' depuis Le syndicat du crime .
Le réalisateur se rattrappe en 1996 avec Brokken Arrow, film efficace et bien construit, même si ce n'est un bijou ni un chef d'oeuvre.
En 1997, John Woo livre son meilleur film américain pour l'instant: Volte/Face. Un superbe face à face entre Travolta et Nicolas Cage, un thriller hallucinant de maitrise. Encore un polar ultra violent avec de superbe scènes de gunfights. Bref c'est un John Woo au mieux de sa forme qui nous donne ce petit bijou du cinéma d'action. On à l'impression de retrouver John Woo du temps de The Killer. Et là on se dit 'Ça y est, John est de retour, il va nous faire que du bon".
Malheureusement non, les producteurs en décideront autrement. Il confie au réalisateur hong-kongais le soin de tourner Mission: Impossible 2. Et là...c'est le drame. John Woo nous donne un film avec un scénario navrant, des cascades bien maitrisées mais tellement invraissemblable que c'est risible, un suspense à deux balles (pour ceux qui ont vu le film, souvenez vous de la scène des masques dans le bunker...j'ai vu le film en Irlance, tous les français étaient mort de rire, y avait que 2 ou 3 Irlandais pour applaudir...), mais surtout le plus horrpillant, c'est qu'il n'y en a que pour une personne...T** C*****. Bref il se la joue L'Oréal et superstar et ça donne un film qui ressemble plus à une comédie qu'à un vrai film d'espionnage. Le film est tout de même un petit succès auprès du public, mais un échec critique.
En 2001, John Woo devient audacieux et nous livre un film excellent (attention c'est pas un chef d'oeuvre) qui semble plus personnel: Windtalker. Une histoire d'amitié et de courage dans la seconde guerre mondiale. Les scènes de batailles sont assez froides et réelles, les acteurs sont très bons (Cage et Slater).
On se dit que John Woo est redevenu un bon réalisateur après les deux mauvais films américains qu'il a fait ( Chasse à l'homme et M:I2) mais on se trompe encore. En 2003 sort Paycheck. Et là c'est la consternation. Ce film n'est pas mauvais en soi, mais on a l'impression de voir un mix des anciens films de John Woo: une histoire basée sur de la science fiction (comme Volte/Face), des super cascades limites nanardes (M:I2), des colombes dans les scènes d'action (tous les films de John Woo). Bref, la réalisation est maîtrisée mais John Woo n'arrive pas à se réinventer.
Nous verrons bien par la suite si John Woo n'est plus qu'un réalisateur à la solde des gros producteurs hollywoodiens ou s'il peut retrouver le génie d'un Volte/Face et le talent d'un grand réalisateur comme dans The Killer
Filmographie:
The War of the Red Cliff (2006)
Metroid (2005)
He-Man (2005)
Rainbow six (2004)
Paycheck (2003)
Blind pot (2003)
The Divide (2002)
Windtalkers, les messagers du vent (2001)
Mission : impossible 2 (2000)
Volte-face (1997)
Broken Arrow (1996)
Chasse à l'homme (1993)
A toute epreuve (1992)
Les Associes (1991)
Une balle dans la tête (1990)
The Killer (1989)
Just Heroes (1989)
Le Syndicat du crime 2 (1987)
Le Syndicat du crime (1986)
Les Larmes d'un heros (1983)
La Derniere Chevalerie (1978)
Shao Lin men (1976)
Princesse Chang Ping (1976)
The Dragon Tamers (1974)
King's Ransom
Spy hunter
Je suis une ombre latérale...ça se voit pas peut-être^^
Ses grands réalisateurs!
heu si je peux me permettre..on peut critiquer ou pas? ce topic est 'il juste dédié à l'historique de ces réalisateurs... ?? si non et bien juste
paul verhoeven..non désoler..c'était un "bon" réalisateur, pas un grand....mais "c'était avant" quand tu vois un hollow man, ou showgirl...c'est assez pathétique...pour moi..
( ps, si je me suis trompé et qu'il n'y ai pas possibilité de critiquer..virer moi ce message.... )
paul verhoeven..non désoler..c'était un "bon" réalisateur, pas un grand....mais "c'était avant" quand tu vois un hollow man, ou showgirl...c'est assez pathétique...pour moi..
( ps, si je me suis trompé et qu'il n'y ai pas possibilité de critiquer..virer moi ce message.... )
Ses grands réalisateurs!
Effectivement showgirl c'est vraiment misérable comme film. Aucune nouveauté (histoire cent fois répétée de la petite jeune qui débarque et se fait une place au soleil), un peu de cul pour attirer le chaland... Il devait voguer sur la vague de Basic Instinct et à voulu comme son héroïne se faire du fric rapidement et sans douleurs
Ses grands réalisateurs!
J'aime bien Hollow Man, moi.
Bon Showgirl, effectivement...quoique certains y voient un message caché
Bon Showgirl, effectivement...quoique certains y voient un message caché
"Michael Bay a une grosse queue, Mais j'aime à penser que la mienne est encore plus grosse." - McG
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Ses grands réalisateurs!
doll a écrit :heu si je peux me permettre..on peut critiquer ou pas? ce topic est 'il juste dédié à l'historique de ces réalisateurs... ?? si non et bien juste
paul verhoeven..non désoler..c'était un "bon" réalisateur, pas un grand....mais "c'était avant" quand tu vois un hollow man, ou showgirl...c'est assez pathétique...pour moi..
( ps, si je me suis trompé et qu'il n'y ai pas possibilité de critiquer..virer moi ce message.... )
Tu as parfaitement le droit de critiquer et d'avoir ta propre opinion sur les grands réalisateurs! Ce topic est créer pour donner aussi notre avis sur les réalisateurs et non juste pour leurs historiques!
À mon humble avis, tous les réalisateurs qu'ils soient grands ou ordinaires, ont fait de bons et de moins bons films, personne n'est parfait! Sauf que certains réalisateurs ce démarquent beaucoup plus que d'autres c'est tout!
Ses grands réalisateurs!
et c'est bien là le probleme, il me semble, non? pourquoi, verhoeven qui avait un style, une pate bien à lui, se retrouve à faire de semblable navets....
ce type était un des rares à se permettre d'être violent tout en y faisant passer un message...
pour hollow man, lui même là dit, il n'a pu aller jusqu'au bout de ses idées...il était muselé par le studio...( sf voir la scéne ou kevin becon utilise son invulnérabilité sur une pauvre demoiselle à demi nue...) lui voulait explorer tout le côté noir de l'histoire...
je crois que verhoeven pourrait etre classé parmis les réalisateur qui dérangent..
ok pour dire que chaque réalisateur à un moment à vide....
mais dans ce cas...comment définir un vrais grand réalisateur?
ce type était un des rares à se permettre d'être violent tout en y faisant passer un message...
pour hollow man, lui même là dit, il n'a pu aller jusqu'au bout de ses idées...il était muselé par le studio...( sf voir la scéne ou kevin becon utilise son invulnérabilité sur une pauvre demoiselle à demi nue...) lui voulait explorer tout le côté noir de l'histoire...
je crois que verhoeven pourrait etre classé parmis les réalisateur qui dérangent..
ok pour dire que chaque réalisateur à un moment à vide....
mais dans ce cas...comment définir un vrais grand réalisateur?
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Ses grands réalisateurs!
Oui mais, selon moi, ce n'est pas parce qu'un réalisateur fait 2 ou 3 "mauvais films", qu'il devient un jambon ou quoique ce soit d'autre! Non, un grand réalisateur reste un grand réalisateur non?
Prenons le cas d'un joueur de football par exemple, si il connaît une excellente carrière, mais que les 2 ou 3 dernières saisons sont môches, il reste quand même un excellent joueur de football, sa carrière reste ce qu'elle est!
Donc, pour moi, Paul Verhoeven reste parmis les plus grands réalisateurs de cet art qui est le cinéma.
Prenons le cas d'un joueur de football par exemple, si il connaît une excellente carrière, mais que les 2 ou 3 dernières saisons sont môches, il reste quand même un excellent joueur de football, sa carrière reste ce qu'elle est!
Donc, pour moi, Paul Verhoeven reste parmis les plus grands réalisateurs de cet art qui est le cinéma.
Ses grands réalisateurs!
Proportionnellement à son oeuvre (qui n'est pas encore achevée), Verhoeven a mis au monde des films qui colorent le paysage cinématographique plus qu'ils ne l'aseptisent.
Je suis d'accord pour dire que Show Girl (pour lequel il obtient le Razzie Awards 1996 quand même lol), c'est pas son meilleur film^^. Je partage aussi l'avis de Lestat : paraît qu'il y a un message caché derrière... très bien caché quoi.
Hollow Man n'est pas un mauvais film : il montre le légendaire homme invisible sous un angle original et pessimiste que seul Verhoeven pouvait avoir, car propre à son style. Je dirai de ce film qu'il est percutant pendant les 3/4 et banal pour le restant. La fin huit clos est d'une convention affligeante, mais ça aurait pu être pire : l'homme sans ombre se faisant pourchasser dans la ville par l'armée (cf. Godzilla).
En dehors de ces deux films, le reste de sa filmo est génialement sulfureuse : Basic Instinct, La Chair et le Sang, Robocop, Total Recall, Starship Troopers (s'il est pris au second degré en tant que satire). Je parle même pas des films hollandais que John Carpenter (lol, ca fait bizarre d'écrire ce nom en tant que Pseudo d'un membre) à évoquer dans la bio de Verhoeven. De ce côté là, y'a aussi du spectacle déroutant et encore plus choquant que ses réalisations américaines.
Je suis d'accord pour dire que Show Girl (pour lequel il obtient le Razzie Awards 1996 quand même lol), c'est pas son meilleur film^^. Je partage aussi l'avis de Lestat : paraît qu'il y a un message caché derrière... très bien caché quoi.
Hollow Man n'est pas un mauvais film : il montre le légendaire homme invisible sous un angle original et pessimiste que seul Verhoeven pouvait avoir, car propre à son style. Je dirai de ce film qu'il est percutant pendant les 3/4 et banal pour le restant. La fin huit clos est d'une convention affligeante, mais ça aurait pu être pire : l'homme sans ombre se faisant pourchasser dans la ville par l'armée (cf. Godzilla).
En dehors de ces deux films, le reste de sa filmo est génialement sulfureuse : Basic Instinct, La Chair et le Sang, Robocop, Total Recall, Starship Troopers (s'il est pris au second degré en tant que satire). Je parle même pas des films hollandais que John Carpenter (lol, ca fait bizarre d'écrire ce nom en tant que Pseudo d'un membre) à évoquer dans la bio de Verhoeven. De ce côté là, y'a aussi du spectacle déroutant et encore plus choquant que ses réalisations américaines.
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Robocop,
- Pointez votre arme sur l'ED 209
- Oui monsieur
- JETEZ VOTRE ARME, VOUS AVEZ 20 SEC POUR OBEIR
-...
- Vous ferez mieux de faire ce qu'il dit...
(..)
- VOUS N'AVEZ PLUS QUE 15 SEC
- ???
- VOUS VIOLEZ L'ARTICLE 113 DU CODE PENAL..5, 4 ,3, 2,1...
- !!!!!
- J'AI MAINTENANT LE DROIT d'UTILISER LA FORCE !
Ractacttactactactactac !
"Michael Bay a une grosse queue, Mais j'aime à penser que la mienne est encore plus grosse." - McG
- sven
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petite parenthèse sur Robocop: je l'ai revu récemment... et ce que je craignais s'est produit, malheureusement: CA A VIEILLI!!!
mais bon, ça passe encore, j'ai encore mon âme d'enf... heu... non pas là, non...
mais bon, ça passe encore, j'ai encore mon âme d'enf... heu... non pas là, non...
Être de metolz
Ses grands réalisateurs!
Tiens moi aussi je l'ai vu étant gamin
(A la télé ! Il devait avoir un carré blanc aussi loin que je me souvienne)
Que de souvenir, le massacre de Murphy, le gars qui tombe dans l'acide, Robocop qui vise les parties...
Pour info le DVD est moins de 10 avec le directors cut dedans
Quelque part un crime se commet...
(A la télé ! Il devait avoir un carré blanc aussi loin que je me souvienne)
Que de souvenir, le massacre de Murphy, le gars qui tombe dans l'acide, Robocop qui vise les parties...
Pour info le DVD est moins de 10 avec le directors cut dedans
Quelque part un crime se commet...
"Michael Bay a une grosse queue, Mais j'aime à penser que la mienne est encore plus grosse." - McG
Ses grands réalisateurs!
:lol: Un petit peu, c'est vrai. Surtout au niveau des FX, mais ça reste raisonnable. Par contre, sur le fond, la critique est toujours aussi acide et bien pensée. Les Media Flash (les actualités qui passent au milieu du film pour expliquer les interactions entre les personnages et le contexte futuriste) sont hilarantes.sven a écrit :[Robocop] CA A VIEILLI!!!
:ooops: Ca me rappelle que Robocop m'a servi de matière filmique (entre autres) pour mon mémoire de Maîtrise sur les univers dystopiques (contraire de l'utopie) au ciné USA des années 80... Vous m'avez donné envi de pondre une critique de Robocop pour faire partager ce film phare du ciné SF chargé de poésie et de subtilité
PS : la Director's Cut est encore plus violente et prolonge de plusieurs minutes les séquences gore du film (Le pétage de plomb de ED-209 ; l'exécusion de Murphy...). Miam miam !
-
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Ses grands réalisateurs!
Et voilà un autre grand réalisateur:
Renny Harlin:
Né le 15 mars1959 à Riihimäki en Finlande (il deviendre par la suite citoyen américain), Renny Harlin se lance dans la production en créant sa propre société alors qu'il n'est encore qu'étudiant en cinéma à l'université d'Helsinki. Il produit ainsi de nombreuses publicités, des documentaires et des courts métrages. À l'étroit dans son pays natal, il gagne les Etats-Unies au millieu des années 80 et se lance dans la direction de films à petits budgets. Il connaît la censure au cinéma dès son premier film, "Frontière Interdite", une coproduction américano-finlandaise qui sera interdite en Finlande pour "affront à l'Union Soviétique".... il enchaîne avec "Prison", avant de connaître son premier succès populaire avec la réalisation du 4ème épisode de la saga du zinzin masqué, "Le Cauchemar de Freddy". Autre sequelle, autre succès, il revint en 1990 pour "58 Minutes pour Vivre", le blockbuster où Bruce Willis pourchasse des mercenaires qui ont pris en otages tout un aéroport pour faire crasher les avions candidats à l'attérrissage... Années fastes, Renny Harlin redonne dans le grand spectacle au service d'un autre mastodonte abonné au genre, Sylvester Stallone, avec "Cliffhanger", le faisant courir le long des parois rocheuses avec la virtuosité du chamois tout content de recartonner au box-office.
Parallèlement, Harlin produit en 1991 un film à petit budget, "Rambling Rose", un drame de Martha Coolidge avec Laura Dern, sa compagne d'alors. En 1993, il épouse Geena Davis, avec laquelle il produit la comédie romanesque "Speechless", de Ron Underwood, 1 an après avoir laissé passer sa chance de diriger le 3ème volet de "Alien", finalement échu à David Fincher. En 1995, autre déveine aux côtés de son épouse qu'il dirige dans "L'île aux Pirates", onéreux flop planètaire dont Harlin tente de se remettre en changeant de registre (mais pas d'actrice) avec, l'année suivante, "Au Revoir, à Jamais", thriller plus personnel où Geena perd la mémoire pendant 8 ans, avant de la recouvrer auprès d'un détective (Samuel L. Jackson) qui commence à faire la lumière sur son passé plutôt tumultueux. En 1999, c'est le retour aux grosses machines avec "Peur Bleue", où des scientifiques luttant pour la bonne cause modifient le ciboulot de monumentaux requins dans le but d'effectuer facilement des observations biologiques. Résultat des courses, les requins connaissent leurs tables de multiplication et s'en prennent aux bipèdes responsables de leurs QI phénoménal, dont Saffron Burrows et de nouveau Samuel L. Jackson. Renny Harlin revient aujourd'hui avec "Driven", thriller musclé installé dans le millieu des courses automobiles, qu'il produit et réalise et dans lequel on retrouve Sylvester Stallone, pour sa seconde entreprise de rattrapage de carrière.
Filmographie selective:
- Frontière Interdite (1985)
- Prison (1987)
- Freddy 4: Les Cauchemars de Freddy (1988)
- Ford Fairlane, Rock 'N' Roll Detective (1990)
- 58 Minutes pour Vivres (1990)
- Cliffhanger (1993)
- L'îli aux Pirates (1995)
- Au Revoir, à Jamais (1996)
- Peur Bleue (1999)
- Driven (2001)
Renny Harlin:
Né le 15 mars1959 à Riihimäki en Finlande (il deviendre par la suite citoyen américain), Renny Harlin se lance dans la production en créant sa propre société alors qu'il n'est encore qu'étudiant en cinéma à l'université d'Helsinki. Il produit ainsi de nombreuses publicités, des documentaires et des courts métrages. À l'étroit dans son pays natal, il gagne les Etats-Unies au millieu des années 80 et se lance dans la direction de films à petits budgets. Il connaît la censure au cinéma dès son premier film, "Frontière Interdite", une coproduction américano-finlandaise qui sera interdite en Finlande pour "affront à l'Union Soviétique".... il enchaîne avec "Prison", avant de connaître son premier succès populaire avec la réalisation du 4ème épisode de la saga du zinzin masqué, "Le Cauchemar de Freddy". Autre sequelle, autre succès, il revint en 1990 pour "58 Minutes pour Vivre", le blockbuster où Bruce Willis pourchasse des mercenaires qui ont pris en otages tout un aéroport pour faire crasher les avions candidats à l'attérrissage... Années fastes, Renny Harlin redonne dans le grand spectacle au service d'un autre mastodonte abonné au genre, Sylvester Stallone, avec "Cliffhanger", le faisant courir le long des parois rocheuses avec la virtuosité du chamois tout content de recartonner au box-office.
Parallèlement, Harlin produit en 1991 un film à petit budget, "Rambling Rose", un drame de Martha Coolidge avec Laura Dern, sa compagne d'alors. En 1993, il épouse Geena Davis, avec laquelle il produit la comédie romanesque "Speechless", de Ron Underwood, 1 an après avoir laissé passer sa chance de diriger le 3ème volet de "Alien", finalement échu à David Fincher. En 1995, autre déveine aux côtés de son épouse qu'il dirige dans "L'île aux Pirates", onéreux flop planètaire dont Harlin tente de se remettre en changeant de registre (mais pas d'actrice) avec, l'année suivante, "Au Revoir, à Jamais", thriller plus personnel où Geena perd la mémoire pendant 8 ans, avant de la recouvrer auprès d'un détective (Samuel L. Jackson) qui commence à faire la lumière sur son passé plutôt tumultueux. En 1999, c'est le retour aux grosses machines avec "Peur Bleue", où des scientifiques luttant pour la bonne cause modifient le ciboulot de monumentaux requins dans le but d'effectuer facilement des observations biologiques. Résultat des courses, les requins connaissent leurs tables de multiplication et s'en prennent aux bipèdes responsables de leurs QI phénoménal, dont Saffron Burrows et de nouveau Samuel L. Jackson. Renny Harlin revient aujourd'hui avec "Driven", thriller musclé installé dans le millieu des courses automobiles, qu'il produit et réalise et dans lequel on retrouve Sylvester Stallone, pour sa seconde entreprise de rattrapage de carrière.
Filmographie selective:
- Frontière Interdite (1985)
- Prison (1987)
- Freddy 4: Les Cauchemars de Freddy (1988)
- Ford Fairlane, Rock 'N' Roll Detective (1990)
- 58 Minutes pour Vivres (1990)
- Cliffhanger (1993)
- L'îli aux Pirates (1995)
- Au Revoir, à Jamais (1996)
- Peur Bleue (1999)
- Driven (2001)
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Ses grands réalisateurs!
Je suis obligé de remonter mes topics à cause de ce mec! :mad:
Ses grands réalisateurs!
J'ai revu dernièrement "Le plaisir" Max Ophuls une réalisation qui m'a bluffer
Bien sur il y a quelques grand réalisateurs Américain comme Woddy Allen Copolla, Kubrick, Tim Burton ou les frères Coen mais je suis surpris que les réalisateurs du vieux continent ne trouvent pas grace à vos yeux.
Entre autre la richesse le talent et la diversité de Blier, Ozon, Etore Scola, Felini, Jeunet, Mocky, Ken Loach,Antonioni et j'en passe
mais peut être que ces réalisateurs n'utilisent pas assez les effets spéciaux et les combats de Kung fu à vos yeux
Par exemple pour Verhoeven seul "Total Recall trouve grace à mes yeux.
Spielberg est capable du pire (Terminal, Ryan) comme du meilleur (Duel, 1941 etc..).Ridley sorti de Blade Runner et Thelma et Louise a enchainé de grosses daubes (Alien, Gi-Jane, Hannibal sans compter l'imonde Gladiator). Quand à Jhon Woo je m'abstiendrait du moindre commentaire.
Bien sur il y a quelques grand réalisateurs Américain comme Woddy Allen Copolla, Kubrick, Tim Burton ou les frères Coen mais je suis surpris que les réalisateurs du vieux continent ne trouvent pas grace à vos yeux.
Entre autre la richesse le talent et la diversité de Blier, Ozon, Etore Scola, Felini, Jeunet, Mocky, Ken Loach,Antonioni et j'en passe
mais peut être que ces réalisateurs n'utilisent pas assez les effets spéciaux et les combats de Kung fu à vos yeux
Par exemple pour Verhoeven seul "Total Recall trouve grace à mes yeux.
Spielberg est capable du pire (Terminal, Ryan) comme du meilleur (Duel, 1941 etc..).Ridley sorti de Blade Runner et Thelma et Louise a enchainé de grosses daubes (Alien, Gi-Jane, Hannibal sans compter l'imonde Gladiator). Quand à Jhon Woo je m'abstiendrait du moindre commentaire.
Ses grands réalisateurs!
Quand à Jhon Woo je m'abstiendrait du moindre commentaire.
:lol:Dommage.
Ses grands réalisateurs!
Migou a écrit : mais peut être que ces réalisateurs n'utilisent pas assez les effets spéciaux et les combats de Kung fu à vos yeux
Ca c'est typiquement le genre de remarque dont, je pense, on se passerait volontiers.
bon...
les europeens sont egalement tres talentueux, et aussi des asiatiques je suis d'accord, mais je pense pas de des querelles de chapelles fassent avancer le shmilblick. Pour ma part un bon realisateur est un bon realisateur quelque soit son origine (ou plutot, un bon film est un bon film, tant il est vrai que certains "grands" du cinema ont pu comettre quelques infamites).
Par ailleurs, niveau effets speciaux, Jeunet ne se prive pas je crois. Seulement et c'est a mon sens une de ses grandes qualites, ils ne prennent pas le pas sur le rete du film.
Enfin, il va falloir m'expliquer en quoi Alien est un grosse daube!
Parceque la... va falloir de sacre bons argument pour me convaincre.
Ses grands réalisateurs!
Wax a écrit : Ca c'est typiquement le genre de remarque dont, je pense, on se passerait volontiers.
....
Par ailleurs, niveau effets speciaux, Jeunet ne se prive pas je crois. Seulement et c'est a mon sens une de ses grandes qualites, ils ne prennent pas le pas sur le rete du film.
Enfin, il va falloir m'expliquer en quoi Alien est un grosse daube!
Parceque la... va falloir de sacre bons argument pour me convaincre.
Ce n'est pas une remarque apportant un jugement c'est un simple constat à la lecture de vos posts.
Je ne suis pas contre les effets spéciaux quand ils sont utilisés comme un ingrédient qui valorise un scénario ou des idées
par contre les réalisateurs à la Pitof ou à la John Woo crache de l'effet spécial pour de l'effet spécial au détriment de l'histoire
ca peut être tolérable pour un clip c'est bcp plus discutable pour un long métrage.
pour Alien je reconnais que mon avis est un peu brut de fonderie et qu'il aurait été plus juste de dire que je n'aime pas ce film (ni ses avatars) plutôt que de le traiter de grosse daube
Je ne l'aime pas car je trouve l'histoire assez bateau et que si à le voir il peut arriver de sursauter le déroulement et plutôt convenu et sans surprise : la méchante bebete venue d'on ne sais où et qui casse tout et que peronne ne semble en mesure d'arreter j'ai déjà vu ce thème traité un peu souvent ; de la guerre des monde (génial) à Godzilla (navrant) en passant par Mars Attack (hilarant)
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