Jusqu'au 3 Janvier 2005 se tient à la Galerie nationale du Grand palais (Place Clémenceau, 8eme arrondissement de Paris ) une exposition de peintures sur paravent et rouleaux et 150 estampes du Japon des 17e et 18e siecles.
En complément de cette exposition il y a 'autres maifestations tel que des conférences ou des projetions de film...
Allons allons petits parisiens, allez adimerez l'art Japonnais dans une époque où il était très épanouis.
Pour plus d'information http://www.mn.fr
ou par téléphone au: 0892 684 694
Images du monde flottant
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hiddenplace
- totoro dodendron
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Images du monde flottant
Oooh, j'avais oublié de parler de cette magnifique expo au Grand Palais...
Bon alors mis à part qu'elle est extrêmement chère (comme toute expo au grand palais qui se respecte^^) j'avais été subjuguée par la beauté des estampes: les couleurs, les motifs des tissus, la finesse du trait, les expressions paisibles voire nonchalantes des visages. Je ne connais que très sommairement les estampes japonaises, quelques classiques (Hokusaï), mais cette expo m'a bcp touchée (ça date un peu, mais je sais que sur le coup j'ai été émerveillée), et m'a donné bcp d'idées de couleurs et de motifs...s'il y en a ici qui travaillent dans le textile, ils doivent déjà s'être abondamment abreuvés des trouvailles de ces estampes...
Pour le petit côté historique, l'expo débute sur des estampes datant de l'époque d'Edo (XVIIème siècle), développée autour la culture urbaine (Edo est l'actuelle Tokyo).
Le titre de l'expo (Images du Monde flottant) provient de ce qui désignait les centres d'intérêt et divertissements de la classe montante des citadins. D'où une impression de profonde oisiveté, diffuse dans une atmosphère vaporeuse et parfois un peu audacieuse (voir les estampes érotiques, qui ne sont pas du tout dans mes préférées)
Si j'avais un reproche à faire (à part le prix bien sûr), ce serait que la scénographie, malgré quelques efforts de cohésion avec le contenu de l'expo, est parfois un peu trop "neutre"...mais c'est vrai qu'il doit être difficile de choisir une scénographie qui rende parfaitement justice à un tel pannel de couleurs et de formats. Et d'autre part je regrette que l'expo soit si longue (j'y suis restée près de 2h30, et j'ai vraiment couru sur la fin), car c'est au détriment du premier étage que j'ai d'ailleurs trouvé moins surprenant que le rez de chaussée (serait-ce justement parceque l'expo était trop longue?). D'autant plus que vu le prix, même si on est grand fan d'estampes japonaises, on hésite bcp à faire deux visites de l'expo...
Mais sinon, pas de doute, cette expo fait partie de mes coups de coeur de cette année (je m'étonne même que je ne sois pas venue en parler plus tôt...^^)
Bon alors mis à part qu'elle est extrêmement chère (comme toute expo au grand palais qui se respecte^^) j'avais été subjuguée par la beauté des estampes: les couleurs, les motifs des tissus, la finesse du trait, les expressions paisibles voire nonchalantes des visages. Je ne connais que très sommairement les estampes japonaises, quelques classiques (Hokusaï), mais cette expo m'a bcp touchée (ça date un peu, mais je sais que sur le coup j'ai été émerveillée), et m'a donné bcp d'idées de couleurs et de motifs...s'il y en a ici qui travaillent dans le textile, ils doivent déjà s'être abondamment abreuvés des trouvailles de ces estampes...
Pour le petit côté historique, l'expo débute sur des estampes datant de l'époque d'Edo (XVIIème siècle), développée autour la culture urbaine (Edo est l'actuelle Tokyo).
Le titre de l'expo (Images du Monde flottant) provient de ce qui désignait les centres d'intérêt et divertissements de la classe montante des citadins. D'où une impression de profonde oisiveté, diffuse dans une atmosphère vaporeuse et parfois un peu audacieuse (voir les estampes érotiques, qui ne sont pas du tout dans mes préférées)
Si j'avais un reproche à faire (à part le prix bien sûr), ce serait que la scénographie, malgré quelques efforts de cohésion avec le contenu de l'expo, est parfois un peu trop "neutre"...mais c'est vrai qu'il doit être difficile de choisir une scénographie qui rende parfaitement justice à un tel pannel de couleurs et de formats. Et d'autre part je regrette que l'expo soit si longue (j'y suis restée près de 2h30, et j'ai vraiment couru sur la fin), car c'est au détriment du premier étage que j'ai d'ailleurs trouvé moins surprenant que le rez de chaussée (serait-ce justement parceque l'expo était trop longue?). D'autant plus que vu le prix, même si on est grand fan d'estampes japonaises, on hésite bcp à faire deux visites de l'expo...
Mais sinon, pas de doute, cette expo fait partie de mes coups de coeur de cette année (je m'étonne même que je ne sois pas venue en parler plus tôt...^^)
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