
(c'est vous, toujours imperturbable, toujours silencieux, ne crie jamais, ne chie jamais dans son froc, terminator incarné)
Impeccable, hormis quelques ralentissement lors des boss géant, comme le gardien des enfer, avec les détails moyens, en 800*600 sur mon Athlon 2400 à 1Go de ram et Radeon 9550.
Pour profiter de tout les détails en haute résolution, il faudra y rejouer plus tard avec les cartes 3D et processeurs de prochaine générations. Mais cest déjà jouable avec du matos actuel.
La longueur du jeu ? Il ma fallut 1 mois pour le finir, en y jouant tout les soirs 3 heures la première semaine, un soir sur deux la deuxième pendant 2 heures, et un soir sur 3 pendant une heure les dernières. Cest donc assez long, pour un jeu de ce genre. Il y a bien une trentaine de sous-niveaux, ce qui signifie autant de décors différents dans leurs structures. Ca à un peu près la même longueur de jeu quun Max Payne, pour vous donner une idée.
Les mouvements sont trop limités par contre. Pas de sauts acrobatiques, ni d'escalade façon Lara Croft, et encore moins de bullet-time à la Max Payne, ou de grimpette de Splinter Cell. On ne peut pas non plus ramper, mais il y a quand même la possibilité de s'accroupir.

En conclusion.
Ce Doom 3 est le digne successeur de ses ancêtres. On y retrouve les mêmes monstres, lUAC aussi, et la même philosophie : tire le premier ou part te cacher. On sent quil a été longuement peaufiné, dans la déco et les animations, dans lambiance sonore aussi (réellement impressionnante), et les jeux de lumières toujours sombres et angoissants. Comme dans les anciens Doom, à un moment, ça devient lassant, bien que les premiers moments aient été jouissif. On doit parfois se forcer pour y rejouer (gavage de labos on doit parcourir les labos alpha, bêta, gamma et delta, manque de variétés dans les monstres), mais quand on arrive là, la fin du jeu nest plus très loin. Donc le plaisir ludique ne sest pas trop amoindris, et au final on a été content dy jouer.
Protos, en directe de Mars, pour Krinein International.