après nous avoir pondu deux films sublimes: Sixième Sens et Incassable, voilà qu'il nous propose une sorte de parodie des films de sf des années 50... le générique de début polante d'entrée le décor... alors on part du principe qu'il ne faut pas prendre le film au sérieux... et puis en fait si, parce qu'il y a une tentative de réflexion sur un homme qui retrouve la foi en Dieu parce que des extraterrestres envahissent la Terre et qu'il semble que l'humanité sera bientôt totalement exterminée... parce qu'il a vu çà avec son fils dans un bouquin pour adolescents en manque de sensations fortes... Ce film m'a profondément déçu. Le scénario a de quoi être déroutant... la réalisation de Shyamalan n'a plus trop ce côté original qui m'avait tant plu -excepté LA scène de "la lampe torche" avec la petite fille qui la ramasse et qui donne l'impression de ramasser la caméra-... et puis certaines scènes sont vraiment navrantes et n'ont vraiment pas leur place ici... la scène du "tronc d'arbre" -la scène ou Mel Gibson se rend compte qu'il va parler "pour la dernière fois à sa femme"- ne peut émouvoir personne: les dialogues sont pitoyables et la façon de présenter l'évènement, navrante... Et que dire des mots que Mel Gibson tient à ses enfants avant que leur maison ne soit envahie... honnêtement, j'en ai rigolé, et je m'en excuse... Et je ne parle pas de l'intervention en personne du réalisateur dans le film, de la façon dont il est parvenu à capturer un ET. Et en plus il connaît leur point faible... parce qu'évidemment il fallait quie quelqu'un le dise au héros...
Bon la fin est à l'image du film tout entier... seul point fort de Signes: la petite fille, qui est vraiemnt attendrissante...
Voilà désolé pour le roman mais j'aurais bien d'autres choses à dire si je ne devais pas aller en cours maintenant...
Sur ce, j'attends vos réactions....
). Egalement quand le pasteur decouvre dans le bouquin un dessin ressemblant a s'y meprendre à sa maison. L'idée aurait gagné a être developpé. Et puis je ne sais pas, mais au debut le film parait un peu bidon, on y croit pas trop, et dans son fauteuil on extrapole dejà sur la fin qu'on pense -a tort-trouer le cul (oups desolé).
La connais-tu 
Marchons ensemble ma vieille araignée, vers le crépuscule flamboyant de nos existences obsolètes 
