"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Je viens de voir que Eric Zemmour (que je ne connaissais pas) sort un livre intitulé "le premier sexe". Il critique le fait que desormais, les hommes sont tendres avec leur compagne, qu'ils pouponnent leur progéniture et qu'ils font attention à leur apparence pour plaire. Selon l'auteur les hommes ne sont plus des hommes! Et tout cela à cause des feministes, car se sont elles qui ont élevées les garçons et les filles d'aujourd'hui...
Je trouve cela choquant de sortir un livre aussi moyennageux et puritains en 2006
Croyez moi, un homme qui te trompe, se défoule sur toi et sent la transpiration...ça n'a rien de viril ni d'attirant
Je trouve cela choquant de sortir un livre aussi moyennageux et puritains en 2006
Croyez moi, un homme qui te trompe, se défoule sur toi et sent la transpiration...ça n'a rien de viril ni d'attirant
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Connaissant Eric Zemmour, qui est quelqu'un aux analyses plutôt fines en général, cela m'étonnerait que le contenu de son livre soit aussi brut de décoffrage et caricatural, je vais essayer de dénicher ce livre pour qu'on ne se cantonne pas à cet avis pour le moins... arrêté.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Je l'ai entendu parler. Il ne critique pas les hommes qui mettent de l'anti- rides....Non il refuse les "nouveaux péres" par exemple....En disant que desormais les hommes voient le monde comme des femmes et que c'est le declin de l'homme....C'est sa vision patriarcale et machiste du monde qui me choque.
Maintenant il est vrai que je ne l'ai pas lu
Maintenant il est vrai que je ne l'ai pas lu
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
J'ai lu le premier sexe. Je trouve que le résumé que tu en fais Olympe est un peu simple... Les questions qu'il pose sont intéressantes, les réponses qu'il donne sont plus douteuse (par exemple sa dichotomie obligée entre amour et désir chez les hommes).
Néanmoins il semble légitime d'étudier les effets de la mise en avant de valeurs dites "féminines" telles que la recherche du consensus, la recherche de la plus grande sûreté, le romantisme comme seul mode d'expression du désir, la psychologisation globale (par exemple sarko qui dit connaitre des problèmes de couple : il n'y a pas un cocu, de femme trompée ou trahie, on ne parle plus de personnes, il n'y a plus que des couples dans ce genre de discours) , au détriment des valeurs dites "viriles" comme la prise de décision, l'action positive, le goût du risque et de l'aventure.
Un des autres points de cet essais est de montrer que cette "dé"-virilisation de la société serait un sous produit des luttes féministes mal conduites. En confondant égalité des droits avec uniformité on tend à vouloir effacer des différences iréfragables. E Z essaye de montrer que par réaction de rejet les films X sont de plus en plus violents comme les rapports hommes/femmes dans les cités qui tiennent plus de la caricature que d'autre chose. Enfin dans un mode plus politique il explique la réussite de Bush (et les néoconservateurs américains) ou Berlusconi comme une revanche réactioniaire : ils incarneraient une virilité disparue ce qui leur vaudrait un avantage électoral.
Je trouve qu'une limite de cet essais est d'être principalement négatif. En effet, il ne parle pas de ce que serait une virilité constructive. C'est dommage mais ce genre d'essais "coup de pied" dans la fourmillière est intéressant à condition de ne pas le lire avec des préjugés en forme de lunettes.
Néanmoins il semble légitime d'étudier les effets de la mise en avant de valeurs dites "féminines" telles que la recherche du consensus, la recherche de la plus grande sûreté, le romantisme comme seul mode d'expression du désir, la psychologisation globale (par exemple sarko qui dit connaitre des problèmes de couple : il n'y a pas un cocu, de femme trompée ou trahie, on ne parle plus de personnes, il n'y a plus que des couples dans ce genre de discours) , au détriment des valeurs dites "viriles" comme la prise de décision, l'action positive, le goût du risque et de l'aventure.
Un des autres points de cet essais est de montrer que cette "dé"-virilisation de la société serait un sous produit des luttes féministes mal conduites. En confondant égalité des droits avec uniformité on tend à vouloir effacer des différences iréfragables. E Z essaye de montrer que par réaction de rejet les films X sont de plus en plus violents comme les rapports hommes/femmes dans les cités qui tiennent plus de la caricature que d'autre chose. Enfin dans un mode plus politique il explique la réussite de Bush (et les néoconservateurs américains) ou Berlusconi comme une revanche réactioniaire : ils incarneraient une virilité disparue ce qui leur vaudrait un avantage électoral.
Je trouve qu'une limite de cet essais est d'être principalement négatif. En effet, il ne parle pas de ce que serait une virilité constructive. C'est dommage mais ce genre d'essais "coup de pied" dans la fourmillière est intéressant à condition de ne pas le lire avec des préjugés en forme de lunettes.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Il passe chez Ardisson ce soir, c'est pas très culturel certes, mais il "affrontera" une féministe, bras droit de Delanoé. Débat intéressant donc.
Je vois la mort sourire sous le lit de nos Souvenirs.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Castel a écrit :Connaissant Eric Zemmour, qui est quelqu'un aux analyses plutôt fines en général, cela m'étonnerait que le contenu de son livre soit aussi brut de décoffrage et caricatural, je vais essayer de dénicher ce livre pour qu'on ne se cantonne pas à cet avis pour le moins... arrêté.
J'ai lu le premier sexe. Je trouve que le résumé que tu en fais Olympe est un peu simple...
Elle ne fait pas de résumé. Olympe rend compte des paroles de l'auteur face au caméras, si j'ai bien compris, puisqu'elle n'a pas lu le livre.
Je viens de voir à l'émission arret sur image que Olympe n'a pas été la seule choquée par les propos de Eric Zemmour. L'émission a dédié un petit sujet à ses déclarations, que je rapporte ici :
"Avant, quand l'homme avait une pulsion virile, une pulsion sexuelle, et qu'il trompait sa femme, il disait à celle ci : ce n'est rien, ce n'est qu'une passade, ce n'est qu'un coup comme on dit en langage masculin, et c'est toi que j'aime. Ce discours a tellement été brocardé, ridiculisé... En fait, il avait une grande part de sincérité. Aujourd'hui les hommes - toutes les femmes me portent ce témoignage là -, qu'est ce qu'ils disent ? "Mais tu ne peux pas comprendre chérie, je suis tombé amoureux". Ca c'est le discours des femmes, que les femmes ont porté pendant des milliers d'années".
Je trouve cela logique de s'indigner face à de pareilles inepties et à une "analyse" beaucoup plus machiste que virile sur le coup...
Source : http://www.france5.fr/asi/007548/27/133057.cfm
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Otis a écrit :Il passe chez Ardisson ce soir, c'est pas très culturel certes, mais il "affrontera" une féministe, bras droit de Delanoé. Débat intéressant donc.
Débat intéressant effectivement, où Zemmour est passé pour un gros macho reac pour ensuite se faire laminer par un Francis Huster attéré, la féministe dont j'ai oublié le nom et Michelle Bernier qui n'est pourtant pas la dernière pour la déconne. Les théories politico pouet pouet de l'auteur me sont passé au dessus (l'avortement va supprimer les Italiens, gnéééé ?), la féministe a enfoncer des portes ouvertes, Francis Huster était attéré -il l'a dit au moins trois fois-, je retiendrai donc Michelle Bernier qui a dit en substance que finalement, les hommes qui veulent se féminiser, on s'en fout un peu. Ce fut bien là la phrase la plus intelligente de la soirée.
"Michael Bay a une grosse queue, Mais j'aime à penser que la mienne est encore plus grosse." - McG
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Je n'ai pas lu ce livre, mais je compte bien le faire.
Je pense que Zemmour ne fait que poser un constat et réserve au lectorat le parti de l'engagement. J'ai détesté la féministe qui colle des étiquettes à tout va, et un Huster incapable de s'ouvrir au dialogue. Finalement, les gens autour de la table n'ont fait qu'illustrer les propos d'un auteur assez courageux.
Je pense que Zemmour ne fait que poser un constat et réserve au lectorat le parti de l'engagement. J'ai détesté la féministe qui colle des étiquettes à tout va, et un Huster incapable de s'ouvrir au dialogue. Finalement, les gens autour de la table n'ont fait qu'illustrer les propos d'un auteur assez courageux.
Je vois la mort sourire sous le lit de nos Souvenirs.
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Otis a écrit :et un Huster incapable de s'ouvrir au dialogue
Parfois, face à quelqu'un que l'on perçoit comme extrêmement totalitaire dans ses idées (machisme, racisme, homophobie), c'est l'indignation qui prend le pas sur l'envie de convaincre ou même juste celle d'écouter.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Lestat a écrit :Otis a écrit :Il passe chez Ardisson ce soir, c'est pas très culturel certes, mais il "affrontera" une féministe, bras droit de Delanoé. Débat intéressant donc.
Débat intéressant effectivement, où Zemmour est passé pour un gros macho reac pour ensuite se faire laminer par un Francis Huster attéré, la féministe dont j'ai oublié le nom et Michelle Bernier qui n'est pourtant pas la dernière pour la déconne. Les théories politico pouet pouet de l'auteur me sont passé au dessus (l'avortement va supprimer les Italiens, gnéééé ?), la féministe a enfoncer des portes ouvertes, Francis Huster était attéré -il l'a dit au moins trois fois-, je retiendrai donc Michelle Bernier qui a dit en substance que finalement, les hommes qui veulent se féminiser, on s'en fout un peu. Ce fut bien là la phrase la plus intelligente de la soirée.
Phrase la plus intelligente de la soirée ? Vraiment ?
Hé beeeen...
Moi je pensais justement que c'était la parfaite illustration de l'absence volontaire de réflexion inculquée à notre bonne vieille société à base de "Hooo mais on s'en fout en fait !". ça marche toujours, c'est imparable (celui qui s'en fout a toujours l'air plus cool que l'objecteur de conscience, donc on l'aime. C'est beau les réflexes grégaires qui nous font naturellement aimé la facilité - y a des consortiums qui ont très bien su utilisé cela au siècle dernier).
Donc, l'intelligence se résume à :
"Hooo, mais on s'en fout, si les mecs ont décidé de s'épiler, tant mieux pour eux, tant mieux pour les femmes qui aiment, on s'en fout hein !!!!!".
Face à un mec qui parle d'évolution ethno-sociologique non programmée par l'environnement de l'homme mais, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, par l'homme lui-même (ce qui, en passant, prouve définitivement que l'homme a pris le dessus sur son milieu ; hélas ?), elle parle d'épilation... Mais comme elle est drôle, comme elle soutient le discours facile de Autain ("tu critiques la société [faussement] égalitaire, c'est pas bien", elle s'attire les faveurs du public.
Il devient flagrant que le dialogue est impossible entre les gens concernés uniquement par leur nez et ce qui ne va pas plus loin et ceux qui se posent des questions en se rappelant que le monde ne se limite pas au quartier St-Michel et qu'il s'est passé des choses avant leur naissance...
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Je trouve que généraliser les hommes, même sous l'apparence d'une étude sociologique sérieuse, est une erreur à la base. Ça ne me donne pas vraiment envie de le lire. Peut-être que la description qu'il en fait corespond à certaines personnes, une majorité même, proche de l'auteur (car en définitive, il s'analyse lui-même), mais, par exemple, où trouve-t-il la féminité et le respect de la femme chez un violeur récidiviste, un mac, ou un nombriliste puceau ? Est-ce que son étude correspond aussi à l'éleveur de lamas péruvien, aux baba-hyppies polygames, aux stars du X ?
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Je me suis abstenu, ne layant pas lu et à peine vu des interview, mais je dois avouer avoir confusément le même sentiment que Protos, et surtout ça me rappelle en tout cas ce roman de Egan « lénigme de lunivers » ou certains choisse de faire des opérations pour être hypervirile, hyperféminine ou androgyne, car ils en ont marre que des gens au nom de tous les hommes, de toutes les femmes etc
(jexplique évidemment infiniment plus mal que lauteur ce concept, et je recommande chaleureusement la lecture.)
(jexplique évidemment infiniment plus mal que lauteur ce concept, et je recommande chaleureusement la lecture.)
La bactérie est la culture du futur !
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Il y a aussi des contre-exemples : les femmes routiers, les femmes commissaires, le sport féminin avec la montée du foot féminin, la boxe féminine (au ciné, le plus grand exemple est peut être Million Dollar Baby), des femmes en politique...
Une féminisation ou une masculanisation ?
On saluera quand même l'effort de Zemmour de mettre les pieds dans le plat.
Une féminisation ou une masculanisation ?
On saluera quand même l'effort de Zemmour de mettre les pieds dans le plat.
Je vois la mort sourire sous le lit de nos Souvenirs.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Otis a écrit :Une féminisation ou une masculanisation ?
Justement plus que féminisation masculinisation, c'est une "standardisation" qui est dénonçable.
Rêve américain. Cauchemar indien. Pogo avec les loups.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Voici donc quelques extraits de son livre Le premier sexe :
C'est tout le paradoxe féminin.
Les femmes conduisent quand la vitesse est limitée ; elles fument quand le tabac tue ; elles obtiennent la parité quand la politique ne sert plus à grand-chose; elles votent à gauche quand la Révolution est finie; elles deviennent un argument de marketing littéraire quand la littérature se meurt ; elles découvrent le football quand la magie de mon enfance est devenue un tiroir-caisse.
Il y a une malédiction féminine qui est l'envers d'une bénédiction. Elles ne détruisent pas, elles protègent. Elles ne créent pas, elles entretiennent. Elles n'inventent pas, elles conservent. Elles ne forcent pas, elles préservent. Elles ne transgressent pas, elles civilisent. Elles ne règnent pas, elles régentent. En se féminisant, les hommes se stérilisent, ils s'interdisent toute audace, toute innovation, toute transgression. ils se contentent de conserver.
On explique en général la stagnation intellectuelle et économique de l'Europe par le vieillissement de sa population. Mais Cervantes écrivit Don Quichotte à soixante-quinze ans; de Gaulle revint au pouvoir à soixante-huit, et le chancelier allemand Adenauer à plus de soixante-dix.
On ne songe jamais - ou on n'ose jamais songer - à sa féminisation.
Comme tous les petits mâles depuis le début de l'Humanité, les jeunes Arabes ont peur des femmes.
Peur de ces machines à castrer, peur de ne pas être à la hauteur de leur appétit qu'ils espèrent et craignent insatiable. Autour de la Méditerranée, on règle depuis toujours cette peur de la féminité en exprimant une virilité exacerbée, surjouée, et en dissimulant les attraits de la sensualité féminine, cheveux et chevilles, poitrines et hanches, sous des vêtements amples, informes. Nos Arabes réagissent ainsi. Les plus religieux obligent leurs surs à se voiler; les autres exigent des filles qu'elles portent les mêmes vêtements qu'eux, survêtements, tennis. Ainsi, grimées en garçons, elles leur font moins peur.
Si elles persistent à se vouloir féminines, à vouloir leur faire peur, à mettre au défi leur virilité incertaine et fragile, alors, pour pouvoir les désirer, pour être sûr de bander, ils appliquent l'autre méthode masculine, le plan B des hommes depuis l' Homo sapiens, l'irrespect militant, d'autant plus furieux, violent même, qu'il est inquiet. Seules la « salope », la « pute» peuvent réveiller le désir fragile du mâle.
Analyse caricaturale de ce journaliste du Figaro ou réalité hallucinante ?
C'est tout le paradoxe féminin.
Les femmes conduisent quand la vitesse est limitée ; elles fument quand le tabac tue ; elles obtiennent la parité quand la politique ne sert plus à grand-chose; elles votent à gauche quand la Révolution est finie; elles deviennent un argument de marketing littéraire quand la littérature se meurt ; elles découvrent le football quand la magie de mon enfance est devenue un tiroir-caisse.
Il y a une malédiction féminine qui est l'envers d'une bénédiction. Elles ne détruisent pas, elles protègent. Elles ne créent pas, elles entretiennent. Elles n'inventent pas, elles conservent. Elles ne forcent pas, elles préservent. Elles ne transgressent pas, elles civilisent. Elles ne règnent pas, elles régentent. En se féminisant, les hommes se stérilisent, ils s'interdisent toute audace, toute innovation, toute transgression. ils se contentent de conserver.
On explique en général la stagnation intellectuelle et économique de l'Europe par le vieillissement de sa population. Mais Cervantes écrivit Don Quichotte à soixante-quinze ans; de Gaulle revint au pouvoir à soixante-huit, et le chancelier allemand Adenauer à plus de soixante-dix.
On ne songe jamais - ou on n'ose jamais songer - à sa féminisation.
Comme tous les petits mâles depuis le début de l'Humanité, les jeunes Arabes ont peur des femmes.
Peur de ces machines à castrer, peur de ne pas être à la hauteur de leur appétit qu'ils espèrent et craignent insatiable. Autour de la Méditerranée, on règle depuis toujours cette peur de la féminité en exprimant une virilité exacerbée, surjouée, et en dissimulant les attraits de la sensualité féminine, cheveux et chevilles, poitrines et hanches, sous des vêtements amples, informes. Nos Arabes réagissent ainsi. Les plus religieux obligent leurs surs à se voiler; les autres exigent des filles qu'elles portent les mêmes vêtements qu'eux, survêtements, tennis. Ainsi, grimées en garçons, elles leur font moins peur.
Si elles persistent à se vouloir féminines, à vouloir leur faire peur, à mettre au défi leur virilité incertaine et fragile, alors, pour pouvoir les désirer, pour être sûr de bander, ils appliquent l'autre méthode masculine, le plan B des hommes depuis l' Homo sapiens, l'irrespect militant, d'autant plus furieux, violent même, qu'il est inquiet. Seules la « salope », la « pute» peuvent réveiller le désir fragile du mâle.
Analyse caricaturale de ce journaliste du Figaro ou réalité hallucinante ?
Je vois la mort sourire sous le lit de nos Souvenirs.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Je dirais... que c'est un tissu de préjugés, ça va faire plaisir aux petits vieux comme lecture.
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
Et dire qu'il est diplomé chez Science Po Paris...
Je vois la mort sourire sous le lit de nos Souvenirs.
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Otis a écrit :Et dire qu'il est diplomé chez Science Po Paris...
Faut croire que ça n'empêche pas d'être c..!
"Le premier sexe" d'Eric Zemmour
La féminisation d'une société a toujours était synonyme de déclin pour les plus conservateurs. C'est ce que Freud soulignait déjà en évoquant le Vienne de 1900.
Bref Monsieur Z. n'a rien inventé, mais sortir un livre polémique (car il ne s'agit que de rien d'autre) est toujours un bon moyen d'en vendre non ?
Bref Monsieur Z. n'a rien inventé, mais sortir un livre polémique (car il ne s'agit que de rien d'autre) est toujours un bon moyen d'en vendre non ?
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